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Œuvres Zosime (historien) (460-520) Historia nea

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Histoire Romaine

30.

La vue des dangers dont l’empire était menacé de toutes parts porta Valérien à associer Galien, son fils, à la souveraine puissance. Comme il n’y avait point de partie dans son état qui ne fût remplie de troubles, il partit pour aller en Orient s’opposer aux Perses, et ayant laissé à son fils toutes les troupes entretenues en Occident, il l’exhorta à résister de tout son pouvoir aux Barbares qui le viendraient attaquer. Galien ayant remarqué qu’il n’y avait point de nation aussi formidable que celle des Germains, qui faisaient des irruptions continuelles sur les Celtes, qui habitent au bord du Rhin, résolut d’aller lui-même réprimer leur insolence, et donna ordre à d’autres chefs de s’opposer à ceux qui faisaient le dégât en Italie, en Illyrie et en Grèce. S’étant donc mis à garder le Rhin, tantôt il empêcha les Barbares de le passer, et tantôt il les combattit, lorsqu’il ne put leur en empêcher le passage. Mais parce qu’il n’avait qu’un petit nombre de troupes à opposer à une effroyable multitude, il ne trouva point d’autre moyen pour se délivrer de la perplexité où il était que de faire un traité avec le chef d’une de ces nations, qui s’opposa depuis aux irruptions des autres, et les empêcha de passer le Rhin.

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Neue Geschichte (BKV)

Dreißigstes Kapitel.

[Valer. u. Gallienus.] 1. Valerianus, welcher die dem Römischen Reiche von allen Seiten drohende Gefahr bemerkte, erkohr sich seinen Sohn Gallienus zum Mitregenten. 2. Bei den nun überall entstandenen Verwirrungen, zog er selbst in die morgenländischen Provinzen, um den Persern Widerstand zu thun, seinem Sohne aber übergab er die Kriegsmacht in Europa, und ermahnte ihn mit derselben den überall eindringenden Barbaren sich zu widersetzen. 3. Weil aber Gallienus sahe, daß von allen diesen die Germanischen Völker die beschwerlichsten waren, und den am Rheine wohnenden Galliern am heftigsten zusetzten, 4. so widerstand er selbst den dortigen Feinden, denjenigen aber, welche die italiänischen, illyrischen und griechischen Ländereien zu verwüsten trachteten, stellte er seine Feldherren mit den daselbst stehenden Kriegsheeren entgegen. 5. Soviel es ihm selbst möglich war, bewachte er die Uebergänge über den Rhein, S. 64 indem er hier ihnen das Uebersetzen verwehrte, dort den Herübergedrungenen Widerstand leistete. 6. Da er aber mit einer geringern Macht gegen eine gar zu große Menge zu kämpfen hatte, und in Verlegenheit war, so beschloß er, auf der einen Seite die Gefahr zu mindern, und Frieden mit einigen Anführern des Teutschen [Germanischen] Volks zu schließen, 7. denn die übrigen Barbaren hinderte er, beständige Uebergänge über den Rhein zu machen, und widersetzte sich ihrem Angriffe. 8. In solcher Lage fanden sich die Anwohner des Rheins.

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