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Œuvres Zosime (historien) (460-520) Historia nea

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Histoire Romaine

50.

Les affaires d’Italie et de Pannonie étant en cet état, il prit envie à l’empereur de mener une armée contre les Palmyréniens qui étaient déjà maîtres de l’Egypte et de l’Orient jusqu’à Ancyre, ville de Galatie, et qui méditaient de s’emparer de la Bithynie, jusqu’à Chalcédoine, si les habitants de ce pays-là n’eussent refusé de se soumettre au moment qu’ils surent qu’Aurélien était parvenu à l’empire. L’empereur s’étant donc avancé avec son armée jusqu’à Ancyre, la réduisit à son obéissance, puis Tyane et toutes les autres jusqu’à Antioche, où était Zénobie avec une puissante armée. Il se prépara courageusement au combat. Mais ayant remarqué que la cavalerie des Palmyréniens était plus avantageusement armée et plus expérimentée que la sienne, il plaça son infanterie nu-delà de l’Oronte, et commanda à sa cavalerie de n’en pas venir au mains avec celle des Palmyréniens qui était toute fraîche, mais de faire semblant de fuir et de se retirer, jusqu’à ce qu’ils vissent que les chevaux fussent las, et qu’ils ne les pussent plus poursuivre, tant à cause de l’excès de la chaleur que de la pesanteur des armes. La cavalerie romaine attendit, suivant cet ordre de l’empereur, que les Palmyréniens fussent las et comme immobiles, et alors, ayant tourné bride, ils les renversèrent; écrasèrent les uns sous les pieds de leurs chevaux, et percèrent les autres avec leurs épées.

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Neue Geschichte (BKV)

Funfzigstes Kapitel.

1. Als der Kaiser auf solche Art die Sachen in Italien und Pannonien in Ordnung gebracht hatte, beschloß er einen Feldzug gegen die Palmyrener, deren Herrschaft sich über Aegypten, und ganz Morgenland und bis nach Ancyra und Galatien erstreckte. 2. Ja sie würden sich auch Bithyniens bis Chalkedon bemeistert haben; hätten nicht die Einwohner, auf die Nachricht von der Regierung des Aurelianus, die Palmyrener abgetrieben. Der Kaiser drang demnach mit seinem Heere vor, unterwarf Ancyra der Römischen Herrschaft, Tyana und der Reihe nach alles bis Antiochien. 3. In dieser Stadt fand er die Zenobia mit einem grossen Kriegsheer versehen; der, auch er wohlgerüstet zu einer Schlacht, entgegen zog. 4. Weil er sah, daß die Palmyrenische Reiterei auf ihre schwere und dabei sichere Rüstung sich verließ, zugleich auch in der Erfahrenheit des Reitens die seinige S. 85 übertraf, so stellte er sein Fußvolk abgesondert jenseits des Flusses Orontes, und gab der Römischen Reiterei absichtlich den Befehl, daß sie nicht sogleich mit den noch frischen Palmyrenischen Reitern sich einlassen, sondern den Angriff abwarten und dem Scheine nach die Flucht ergreifen sollten, und zwar so weit, 5. bis daß Mann und Pferd von der Hitze sowol als von dem schweren Gewichte der Rüstung im Verfolgen ermattet wären. Dieses geschahe auch. 6. Denn als sie bemerkten, daß die Feinde schon abließen, und auf den ermüdeten Pferden unbeweglich waren, so kehrten sie mit den ihrigen um und zertraten die von selbst ihren Pferden entsinkenden Palmyrener. 7. Es entstand also eine mannichfaltige Niederlage; indem einige durchs Schwerdt, andere durch die feindlichen, andere durch ihre eigenen Pferde umkamen.

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