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Homélies sur l'Hexaeméron

SOMMAIRE.

Nous voici enfin arrivés au sixième jour de la création , ou ont été créés les animaux terrestres , et l'homme destiné à être leur roi. Pans cette homélie , prononcée le soir, ait il sera question des animaux terrestres , l'orateur dit un mot de l'homélie prononcée le matin ; il attaque de nouveau ceux qui , dans tous les passages de l'Ecriture, cherchaient des sens allégoriques; après quoi, il entre en matière. Il parle d'abord de ce qui est commun aux animaux , de leur génération successive, de leur stature par rapport à celle de l'homme , du défaut de raison qui distingue l’âme des bêtes de l’âme humaine; il parcourt ensuite les traits principaux qui caractérisent certaines espèces. En faisant remarquer leurs instincts et leurs prévoyances, il fait admirer la sagesse infinie du Créateur. Elle éclate , cette sagesse , demis les différentes parties qui les composent , dans la disposition et dans l'usage de leurs membres : il finit par préparer ceux qui l'écoutent à la création de l'homme , dont il doit les occuper un autre jour. Et Dieu dit : Faisons l'homme. Il s'étend sur ces paroles, dont il tire une preuve de la divinité du Verbe, et conclut en annonçant qu'il traitera plus en détail la formation de l'homme.

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Homilien über das Hexaemeron (BKV)

Inhalt

Die Landtiere

Inhalt: Einleitung: Basilius fühlt sich als dürftigen Gastgeber. - Bibelworte nicht allegorisch, sondern S. 139 buchstäblich zu nehmen. Bibeloffenbarung befriedigt mehr als hypothetische Menschenweisheit (c. 1). Das Gesetz von der Erhaltung der Art. - Die immer produktive Erde. Die Tiere erdentstammt - erdwärts gerichtet. Des Menschen Bestimmung: himmelwärts (c. 2). Jedes Tier hat dieselbe animalische Seele; doch die Eigenschaften sind reich differenziert. Die Äußerungen des Tierinstinktes mahnen den Menschen zur Sorge für Leben und Seele (c. 3). Naturanlagen und Naturgesetze im Menschen. Durch zuwiderlaufende Sünden Entwürdigung des Menschen unter das Tier (c. 4). Die weise Ökonomie in der Gestaltung der Tierwelt zu deren Erhaltung und Fortpflanzung (c. 5). Das Wild erschaffen zur Stärkung des gläubigen Sinnes. - Die Erschaffung des Menschen gemeinsam mit der zweiten göttlichen Person, die dem Vater wesensgleich. Die jüdisch gesinnten Anomöer leugnen diese Deutung von Gen 1, 26. Schlußermahnung (c. 6).