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Histoire ecclésiastique
CHAPITRE XLVI : AUTRES LETTRES DE DENYS
[1] Voilà ce que Denys écrivit encore à Novat; il lit aussi une lettre à ceux d'Egypte Sur la pénitence dans laquelle il établit ce qu'il avait décidé au sujet des tombés, après avoir décrit les degrés de culpabilité.1 [2] On a aussi de lui un écrit spécial Sur la pénitence adressé à Colon (celui-ci était evêque des Hermopolitains), puis un autre qui est une exhortation à son troupeau d'Alexandrie. Parmi ces épîtres, il y a encore la lettre écrite à Origène Sur le martyre; il en adressa encore une aux frères de Laodicée, que présidait l'évêque Thélymidre, et à ceux d'Arménie, également Sur la pénitence ; Mérusane était leur évêque.2 [3] En outre de toutes celles-là, il écrivit aussi à Corneille de Rome, après avoir reçu do lui la lettre contre Novat; il lui mande qu'il a été con- 289 voqué par Hélénus, evêque de Tarse en Cilicie, et les autres qui sont avec lui, Firmilien, evêque de Cappadoce, Théoctiste, de Palestine, afin de se rencontrer avec eux au concile d'Antioche, où certains tentaient d'affermir le schisme de Novat.3 [4] En outre de ceci, il écrivit qu'il lui avait été annoncé que Fabius était mort et que Démétrianus avait été établi son successeur au siège épiscopal d'Autiché. Il écrit encore au sujet de l'evêque de Jérusalem ces paroles : « Quant à Alexandre, cet homme admirable qui était en prison, il y est mort saintement. »
[5] Après celle-ci, une autre lettre diaconale de Denys est portée à ceux de Rome par Hippolyte. Il en rédige une autre pour les mêmes Sur la paix, puis également une Sur la pénitence; une autre encore aux confesseurs de ce pays qui favorisaient encore le sentiment de Novat, puis deux autres aux mêmes après leur conversion à l'Église. Il entretint pareillement un commerce épistolaire avec beaucoup d'autres, et il laissa a ceux qui aiment ses ouvrages, l'occasion d'un multiple profit.4
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Voy. FELTOE, p. xxxi. ↩
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Κόλωνα BDM arm. Κόλλωνα SVNCELLE, Κόνωνα AERT1 JEROME, De uiris, LXIX. Colon, peut-être forme abrégée de Colluthus, est confirmé par les mss. des canons (SCHWARTZ, p. LXIX). Sur cet écrit, vov. FELTOE, p. 59. ↩
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Lettre à Corneille, FELTOE, p. 39. ↩
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Cette lettre diaconale et le rôle d'Hippolyle ont donné lieu à beaucoup de discussions. Les solutions sont incertaines. Voy. MCGIFFERT, p. 291, n. 14; FELTOE, p. xxx. - Lettre aux confesseurs, FELTOE, p. 62. ↩
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Kirchengeschichte (BKV)
46. Kap. Die übrigen Briefe des Dionysius.
Er schrieb auch an die Brüder in Ägypten einen Brief über die Buße. Hierin setzt er seine Meinung über die Gefallenen auseinander und unterscheidet verschiedene Grade von Verschuldungen. Weiter wird noch S. 319 ein besonderes Schreiben über die Buße an Kolon, den Bischof der Diözese Hermupolis, und ein Mahnschreiben an seine Herde in Alexandrien überliefert. Hierher gehört auch die Schrift an Origenes über das Martyrium. An die Brüder in Laodicea, denen Bischof Thelymidres vorstand, und ebenso an die Brüder in Armenien, deren Bischof Meruzanes war,1 schrieb er über die Buße. Außer an alle diese schrieb er noch an Bischof Kornelius in Rom, nachdem er dessen Brief gegen Novatus erhalten hatte. In diesem Schreiben berichtet er, daß er von Helenus, dem Bischof von Tarsus in Cilicien, und den übrigen mit ihm verbundenen Bischöfen, von Firmilian in Kappadozien und Theoktist in Palästina eingeladen worden sei, zur Synode nach Antiochien zu kommen, wo einige das Schisma des Novatus zu befestigen suchten. Ferner teilt er in dem Briefe mit, er habe die Nachricht erhalten, Fabius sei gestorben und Demetrianus zu seinem Nachfolger auf dem bischöflichen Stuhle zu Antiochien ernannt worden. Über den Bischof von Jerusalem schreibt er wörtlich: „Der bewundernswerte Alexander ist im Gefängnis eines seligen Todes gestorben.“ Weiterhin existiert noch ein anderer Brief des Dionysius an die Römer: derselbe behandelt den Kirchendienst und wurde durch Hippolyt überbracht.2 An die gleiche Adresse richtete er noch einen Brief „Über den Frieden“ und einen Brief „Über die Buße“, ferner ein Schreiben an die dortigen Bekenner, welche noch S. 320 der Lehre des Novatus anhingen. Nachdem diese wieder zur Kirche zurückgekehrt waren, richtete er an sie zwei weitere Briefe. Aber auch mit vielen anderen stand Dionysius in schriftlichem Verkehr und hat so denen, die heute noch mit Eifer um seine Worte sich mühen, mannigfache und nutzbringende Schätze hinterlassen. S. 321
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Dieser Brief ist das älteste Zeugnis für die Existenz einer armenischen Kirche. Vgl. H. Geizer, „Die Anfänge der armenischen Kirche“, in „Berichte über die Verhandlungen der Kgl. Sächs. Gesellsch. der Wiss. zu Leipzig, Philol. hist. Kl. (1895) 171—174. ↩
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G. Morin, „L’origine des Canons d’Hippolyte“, in Revue Bénéd. 17 (1900) 241—251, hält diesen Brief für jene kirchenrechtlich-liturgische Schrift, welche in der Folge Canones Hippolyti genannt wurde. Vgl. dagegen F. X. Funk, „Das Testament unseres Herrn und die verwandten Schriften“ (Mainz 1901) 290 f. ↩