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Histoire ecclésiastique
CHAPITRE II : DE LA RESTAURATION DES EGLISES
[1] Tous les hommes étaient en effet délivrés de l'oppression des tyrans et exempts des maux d'auparavant ; chacun de son côté confessait qu'il n'y avait qu'un seul Dieu véritable, celui qui avait secouru les hommes pieux. Mais, pour nous surtout qui avions placé nos espérances dans le Christ de Dieu, un contentement indicible et une joie divine s'épanouissaient en tous dans chacune des régions qui avaient été, peu avant, bouleversées par les impiétés des tyrans ; celles-ci paraissaient revivre comme après une longue dévastation qui porte la mort ; on voyait les temples se relever de nouveau de leurs ruines, et monter à une hauteur sans limite et recevoir une splendeur plus grande que ceux qui avaient autrefois été ravagés par la guerre.
[2] Mais les empereurs les plus élevés, par des lois incessantes concernant les chrétiens, rendaient pour nous ce qui venait delà munificence de Dieu, encore 77 plus étendu et plus grand. Les évêques mêmes recevaient personnellement de l'empereur des lettres, des honneurs et des richesses; le texte de ces documents, il ne sera peut-être pas hors de propos, suivant l'occasion de ce récit, après en avoir traduit les paroles du latin en grec, de l'inscrire en ce livre comme sur une stèle sacrée, afin que le souvenir en soit porté à tous ceux qui viendront après nous.1
βασιλεῖς οἱ ἀνωτάτω. Voy. ci-dessous, iv, 10. ↩
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Kirchengeschichte (BKV)
2. Kap. Der Wiederaufbau der Kirchen.
Alle Menschen waren so von der Schreckensherrschaft der Tyrannen befreit; und von den früheren Leiden erlöst, bekannte der eine in dieser, der andere in jener Weise, daß der einzige wahre Gott der sei, der für die Frommen gestritten. Vor allem aber waren wir, die ihre Hoffnung auf den Gesalbten Gottes gesetzt, von unaussprechlicher Freude erfüllt, und eine Art göttlicher Seligkeit leuchtete auf unser aller Antlitz. Sahen wir doch, wie jeglicher Ort, der noch vor kurzem von gottlosen Tyrannen zerstört darniederlag, wie aus langem und tödlichem Falle sich neu erhob und wie die Kirchen wieder von Grund aus zu unermeßlicher Höhe erstanden und viel herrlicher wurden, als die zerstörten gewesen. Ja, die höchsten Kaiser1 erweiterten und mehrten durch fortgesetzte Verfügungen zugunsten der Christen die hohe Gnade, die Gott uns geschenkt. Bischöfe empfinden kaiserliche Schreiben und Ehrungen und Geldzuweisungen. Es dürfte sich geziemen, an entsprechender Stelle in unserem Werke, wie auf heiliger Säule, die kaiserlichen Worte, aus dem Lateinischen ins Griechische übersetzt, diesem Buche einzufügen, damit sie auch bei all den Geschlechtern, die nach uns kommen, in Erinnerung bleiben.
Konstantin und Licinius. ↩