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Histoire ecclésiastique
CHAPITRE XXX : LES APÔTRES QUI VÉCURENT DANS LE MARIAGE
[1] Cependant Clément, dont nous venons de citer les paroles, donne immédiatement après, au sujet de ceux qui condamnent les noces, les noms des apôtres qui vécurent dans le mariage, et il dit :
« Est-ce qu'ils réprouveront même les apôtres ? car Pierre et Philippe eurent des enfants ; celui-ci même maria ses filles et Paul n'hésite pas dans une épître à saluer sa femme ; il ne l'а pas emmenée avec lui pour ne pas être gêné dans son ministère. »
[2] Puisque nous rappelons ces choses, il ne sera pas sans intérêt de rapporter du même écrivain une anec- 325 dote digne d'être contée. Il l'expose ainsi, au septième livre des Stromates :
« On dit que le bienheureux Pierre voyant conduire sa femme au supplice, se réjouit de sa vocation et de son retour dans la demeure ; il l'encourageait et la consolait de toutes ses forces, l'appelant par son nom : « Ô toi, lui disait-il, souviens-toi du Seigneur. » Voilà ce qu'étaient les mariages des saints et les sentiments exquis de ceux qui s'aimaient tant (voy. l'Appendice). »1
Ce récit était assorti à mon dessein présent; voilà pourquoi je l'ai placé ici.
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τῶν φιλτάτων : faute du texte lu par Eusèbe ; μέχρι τῶν φιλτάτων, CLEMENT. ↩
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Kirchengeschichte (BKV)
30. Kap. Die verheirateten Apostel.
Klemens, dessen Worte wir soeben angeführt haben, erwähnt im Anschluß an das Gesagte um derentwillen, welche die Ehe verwerfen, jene Apostel, welche im Ehestande gelebt haben. Er sagt:1 „Werden sie auch die Apostel verurteilen? Denn Petrus und Philippus haben Kinder erzeugt. Philippus hat auch seine Töchter verheiratet. Und Paulus trug kein Bedenken, in einem seiner Briefe sich an seine Frau zu wenden,2 welche er, um im Dienste freier zu sein, nicht überall bei sich hatte.“3 Im Anschluß an diesen Bericht ist es nicht unpassend, noch eine andere erwähnenswerte Geschichte mitzuteilen, welche Klemens im siebten Buche der „Teppiche“ also wiedergibt:4 „Als der selige Petrus — so erzählte man — sah, wie seine Frau zum Tode geführt wurde, freute er sich über ihre Berufung und ihren Heimgang, rief ihr unter Namensnennung zu: ‚Gedenke, Weib, des Herrn!’ und richtete an sie sehr ermunternde und trostreiche S. 140 Worte. So sah die Ehe der Seligen aus, so die erhabene Gesinnung derer, die sich innig liebten.“
Diese Mitteilungen, welche in unser vorliegendes Werk einbezogen werden müssen, mögen an dieser Stelle ihren richtigen Platz gefunden haben.