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Œuvres Jean Chrysostome (344-407) In epistula ad Romanos commentarius

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Commentaire sur l'épître aux Romains

2.

Vient ensuite encore une prière : « Que le Dieu d'espérance vous comble de joie et de paix, dans votre foi, afin que votre espérance abonde par la vertu du Saint-Esprit (13) » ; c'est-à-dire, afin que vous soyez affranchis de vos discordes, et que les tentations ne vous abattent jamais; vous en triompherez, si l'espérance abonde en vous. Voilà la cause de tous les biens. Voilà ce qui nous viendra du Saint-Esprit, non sans condition de la part du Saint-Esprit, mais à la condition que nous ferons tout ce qui dépend de nous; voilà pourquoi l'apôtre dit aussi : « Dans votre foi »: voulez-vous être remplis de joie, montrez votre foi, montrez votre espérance. L'apôtre ne dit pas : afin que vous espériez, mais : « Afin que votre espérance abonde » : c'est-à-dire, de manière que vous trouviez, non-seulement la consolation de vos maux, mais la joie que procure l'abondance de la foi et de l'espérance. Car c'est par là que vous attirerez l'Esprit sur vous; c'est par là qu'avec son assistance, vous conserverez tous les biens. De même que la nourriture soutient notre vie, et que c'est la vie qui distribue la nourriture, de même si nous avons les bonnes couvres, nous aurons l'Esprit; et si nous avons l'Esprit, nous aurons les bonnes oeuvres : et de même, l'inverse est également vrai, si nous n'avons pas les couvres, l'Esprit nous échappe aussi. Que nous perdions l'appui de l'Esprit, aussitôt nous clochons dans les oeuvres : une fois en effet que l'Esprit se retire, l'impur arrive. Saül en est un exemple (406) évident. Qu'importe que l'esprit immonde ne nous suffoque pas comme ce roi? Il nous étreint d'une autre manière, par les oeuvres mauvaises. Nous avons donc besoin de la harpe de David pour chanter à notre âme les divins cantiques, et la gloire de Dieu et la gloire des bonnes oeuvres. Car si nous nous bornons à louer Dieu, à entendre des chants, si nos oeuvres les démentent, si nous faisons ce que faisait Saül, le remède se changera pour nous en damnation, et notre folie deviendra plus monstrueuse. Avant que nous ayons entendu les cantiques, le démon maudit tremble, il a peur de nous voir nous corriger; mais, si malgré ce qu'entendent nos oreilles, nous demeurons les mêmes, sa crainte se dissipe alors.

Chantons donc le cantique des oeuvres, afin de chasser loin de nous le péché, plus affreux encore que le démon. Le démon en effet ne nous prive pas nécessairement du royaume des cieux, et même parfois il sert les intérêts de celui qui veille; le péché nous bannit tout à fait du ciel. Car le péché est un démon volontaire, un délire spontané; aussi ne rencontre-t-il ni miséricorde, ni pardon. Chantons donc dans ces dispositions, et tout ce que chante l'Ecriture, et ce que chante le bienheureux David; que la bouche fasse entendre les psaumes et que l'esprit s'instruise. Il n'y a pas là un secours à dédaigner; une fois que nous aurons appris à notre langue à chanter, notre âme rougira, pendant que celle-ci chante, de céder à des pensées contraires. Et ce n'est pas là le seul fruit que nous recueillerons, mais nous recueillerons grand nombre de connaissances qui nous seront utiles. Car David vous entretient et des choses présentes et des choses à venir, et des créatures visibles, et de la création invisible. Voulez-vous savoir si le ciel demeure tel qu'il est., ou subit des changements? sa réponse est claire : « Les cieux vieilliront tous comme un vêtement; vous les roulerez comme un habit dont on se couvre», ô Dieu, « et ils seront changés ». (Ps. CI, 27.) Voulez-vous connaître la forme du ciel : « Etendant le ciel comme une tente ». (Ps. CIII, 2.) Et si vous tenez à en savoir un peu plus sur la voûte extérieure , David vous dira encore : « Vous qui couvrez d'eau sa partie la plus élevée ». (Ps. CIII, 3.) Et le chantre sacré ne s'arrête pas là, mais il vous parle encore et de la largeur et de la hauteur, dont il vous montre l'égalité : « Autant l'orient est éloigné du couchant, autant il a éloigné de nous nos iniquités Autant le ciel est élevé au-dessus de la terre, autant a-t-il affermi, sa miséricorde sur ceux qui le «craignent ». (Ps. CII, 12, 11.) Si vous voulez scruter les fondements de la terre, il ne vous les tiendra pas cachés, vous l'entendrez chanter et vous dire : « Car c'est lui qui l'a fondée sur les mers ». (Ps. XXIII, 2.) Désirez-vous apprendre la cause des tremblements de terre, il ne vous laissera aucune incertitude : « Lui qui regarde la terre et la fait trembler ». (Ps. CIII, 32.) Vous cherchez à quoi sert la nuit, vous l'allez apprendre de lui : « C'est durant la nuit que toutes les bêtes de la forêt se répondent sur la terre ». (Ps. CIII, 20.) Et les montagnes, à quoi bon? il vous répond « Les hautes montagnes servent de retraite aux cerfs ». Et les rochers? « Et les rochers aux hérissons, et aux lièvres ». Pourquoi les arbres stériles? apprenez-le : « Les petits oiseaux y feront leurs nids ». (Ps. CIII, 18, 17.) Pourquoi les sources dans les déserts? « Sur leurs bords habiteront les oiseaux du ciel, et les bêtes des champs ». (Ibid. XII, 11.) Et pour quel usage; le vin? Non-seulement pour boire, car l'eau suffisait, mais pour y trouver le contentement et la joie : « Le vin réjouit le coeur de l'homme ». (Ibid. 15.) Vous saurez ainsi quelle mesure vous devez garder.

D'où vient, aux oiseaux du ciel, aux bêtes des champs, leur nourriture? Ecoutez la réponse : « Toutes les créatures attendent de vous que vous leur donniez leur nourriture, lorsque le temps en est venu ». (Ibid. 27.) Si vous dites : A quoi bon les bêtes de somme? il vous répond qu'elles sont pour votre usage. « Qui produit le foin pour les bêtes de somme, et l'herbe pour les esclaves de l'homme ? » (Ibid. 14.) Quel besoin avez-vous de la lune? Ecoutez le psalmiste : « Il a fait la lune pour les temps ». (Ibid. 19.) Et que Dieu a tout fait, toutes les choses, soit visibles, soit invisibles, c'est ce qu'il enseigne avec clarté, en disant : « Il a parlé, et toutes choses ont été faites ; il a commandé, et toutes choses ont été créées ». (Ps. XXXII, 9.) Quant à ce que la mort même sera détruite, c'est ce que le psalmiste vous apprend, en disant : « Dieu rachètera et délivrera mon âme de la puissance de l'enfer, lorsqu'il m'aura pris en sa protection ». (Ps. XLVIII, 16.) D'où nous vient notre corps? Le psalmiste le dit aussi . « Il (407) s'est souvenu que nous ne sommes que poussière». (Ps. CII, 14.) Où retourne-t-il? « Il rentrera dans sa poussière ». (Ps. CIII, 29.) En vue de quoi toutes ces choses? Pour vous. « Vous l'avez couronné de gloire et d'honneur, et vous l'avez établi sur les ouvrages de vos mains »: (Ps. VIII, 6.) Avons-nous quelque chose de commun, nous autres hommes, avec les anges? C'est ce que le psalmiste dit encore, de cette manière: « Vous ne l'avez qu'un peu abaissé au-dessous des anges ». (Ibid. 5.) Sur l'amour de Dieu : « De même qu'un père a une tendre compassion pour ses fils, le Seigneur a une tendre compassion pour ceux qui le craignent». (Ps. CII, 13.) Sur la vie qui nous attend après celle-ci, sur le tranquille repos qui sera la fin des choses : « Rentre », dit-il, « ô mon âme, dans ton repos ». (Ps. CXIV, 7.) Pourquoi le ciel est-il si grand ? Le psalmiste répondra aussi : « Les cieux racontent la gloire de Dieu ». (Ps. XVIII, 2.) Dans quel but le jour et la nuit? Ce n'est pas seulement pour que le jour brille et que la nuit nous procure le repos, c'est aussi pour nous instruire : « Il n'y a point de langue, ni de différent langage, au milieu de qui leur voix ne soit entendue ». (Ibid. 4.) Comment la mer entoure-t-elle la terre? « L'abîme l'environne comme un vêtement » (Ps. CIII, 6) ; c'est là ce que dit le texte, hébreu.

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Kommentar zum Briefe des hl. Paulus an die Römer (BKV)

2.

Hierauf leitet der Apostel seine Rede wieder zu einem Gebete über, indem er spricht:

V. 13: „Der Gott der Hoffnung erfülle euch mit aller Freude und mit Frieden durch euren Glauben, damit ihr überreich seid an Hoffnung, in der Kraft des Heiligen Geistes.“

D. h. ihr sollt euch freimachen von Feindseligkeit gegeneinander und sollt niemals den Versuchungen unterliegen. Das wird geschehen, wenn ihr „zunehmet in der Hoffnung“. Denn diese ist die Quelle alles Guten. Sie selbst geht aus vom Hl. Geiste; aber nicht vom Hl. Geiste allein kommt sie, sondern sie wird uns zuteil, wenn auch wir von unserer Seite dazu mitwirken. Darum sagt der Apostel: „durch euren Glauben“. Das ist das Mittel, erfüllt zu werden mit Freude, wenn ihr glaubt, wenn ihr hofft. Er sagt aber nicht: wenn ihr hofft, sondern: „wenn ihr überreich seid an Hoffnung“. Ihr müßt sie in einem solchen Maße besitzen, daß ihr in ihr nicht allein Trost findet in den Beschwerden, sondern noch Freude daran habet wegen des überschwenglichen Maßes an Glauben und an Hoffnung. Auf diese Weise werdet ihr auch den Hl. Geist auf euch herabziehen; wenn nun aber der euch zuteil wird, dann ist euch alles Gute sicher.

So wie uns die Speise das Leben erhält, der Leib aber die Speise ihrer Bestimmung zuführt, so werden wir auch den Geist haben, wenn wir gute Werke haben, und wenn wir den Geist haben, werden wir auch gute Werke haben; und im Gegenteil: wenn wir keine Werke haben, wird auch der Geist von uns weichen; sind wir aber des Geistes bar, so werden wir auch der Werke entbehren. Denn wenn der Hl. Geist von uns weicht, dann kommt der unreine Geist. Das erweist sich in der Geschichte des Saul. Wenn er uns auch nicht gerade quält wie jenen, so sucht er uns doch zu ersticken durch böse Werke. Da tut uns denn die Harfe Davids not, damit wir die Seele bezaubern durch dessen gottvolle Lieder und nicht allein durch sie, sondern auch durch die guten Taten. Denn tun wir nur das eine, lauschen wir nur seinem Liede, so stellen wir uns durch unser S. d239 Tun geradeso feindselig gegen den Sänger, wie es damals Saul tat. Das Heilmittel wird uns dann zum Verderben werden; die Raserei wird noch wilder. Bevor wir die heiligen Gesänge hören, fürchtet der böse Geist, wir möchten uns bessern, wenn wir sie hören; bleiben wir aber die Alten, wenn wir sie hören, so benimmt ihm dies seine Furcht.

Laßt uns also das Lied der guten Werke singen, damit wir mit der Sünde, die ärger ist als der Teufel, aufräumen! Der Teufel beraubt uns nicht in jedem Falle des Himmels, sondern es ist sogar möglich, daß er dem Wachsamen zu dessen Erlangung behilflich ist. Die Sünde dagegen verbannt uns in jedem Falle daraus. Denn sie ist ein Teufel, den man sich selbst geschaffen, eine Tollheit, die man sich freiwillig zugezogen hat. Darum wird ihr auch kein Erbarmen und keine Verzeihung.

Laßt uns also der Seele, wenn sie sich in diesem Zustande befindet, vorsingen aus den andern heiligen Schriften sowohl als auch aus denen des heiligen David! Es singe der Mund, es folge der Geist! Und es ist dies nicht etwas Bedeutungsloses. Denn wenn wir die Zunge singen lehren, so wird sich die Seele schämen, etwas zu wollen, was dem Gesungenen zuwider ist. Doch nicht allein diese gute Frucht werden wir davon haben, sondern wir werden auch Wissen erlangen über verschiedene Dinge. Denn die hl. Schriften erzählen uns von Gegenwärtigem und Zukünftigem, von der sichtbaren und unsichtbaren Schöpfung, wenn du über den Himmel unterrichtet sein willst, ob er so bleiben oder verändert werden wird, so antwortet dir die Hl. Schrift klar und spricht: „Die Himmel werden veralten wie ein Gewand, und wie ein Kleid wirst du, o Gott, sie wechseln, und sie werden verändert werden“ 1. Willst du etwas über die Gestalt des Himmels hören, so vernimmst du wieder: „Er spannt aus den Himmel wie ein Fell“ 2. Willst du etwas Näheres wissen über die oberen Räume des Himmels, so sagt dir wieder der Psalmist: S. d240 „Der du seine oberen Teile bedeckst mit Wasser.“ 3 Dabei bleibt er noch nicht stehen, sondern er erzählt dir auch von der Breite und Höhe desselben und zeigt dir, daß sie gleiches Maß haben. „So weit“, heißt es, „als wie der Aufgang vom Niedergang entfernt ist, so weit hat er entfernt von uns unsere Sünden. So hoch der Himmel über der Erde ist, so hat der Herr sein Erbarmen hoch werden lassen über die, welche ihn fürchten.“ 4 Und wenn du nach den Grundfesten der Erde forschest, auch sie bleiben dir nicht verborgen, sondern du hörst den Psalmisten singen: „Über Meere hat er die Erde gegründet.“ 5 Wenn du wissen willst, woher die Erdbeben kommen, so nimmt dir der Psalmist jeden Zweifel, indem er spricht: „Indem er auf die Erde schaut, macht er sie zittern.“ 6 Wenn du fragst, wozu die Nacht gut ist, so erfährst du auch das von ihm: „In ihr schleichen die Tiere des Waldes.“ 7 Wozu die Berge? Er antwortet dir: „Die hohen Berge sind für die Hirsche.“ 8 Und die Felsen ? „Die Felsen sind eine Zuflucht für die Igel.“ 9 Wozu die unfruchtbaren Bäume? „Da nisten die Sperlinge.“ 10 Wozu gibt es Quellen in der Wüste? „An ihnen wohnen die Vögel des Himmels und die Tiere des Feldes.“ 11 Wozu der Wem? Nicht allein zum Trinken, denn dazu genügt auch das Wasser, sondern damit du dich aufheiterst: „Denn der Wein erheitert des Menschen Herz.“ 12 Daraus kannst du auch ersehen, inwieweit man den Wein genießen darf. Woher bekommen die Vögel und die Tiere des Feldes ihre Nahrung? Höre den Psalmisten, der da spricht: „Alles harret dein, daß du ihnen Speise gibst zur rechten Zeit.“ 13 Wenn du fragst, wozu das Vieh? So antwortet er dir, daß es deinetwegen da ist. „Er läßt Gras wachsen und Kräuter für das Vieh zum Dienste der Menschen.“ 14 Wozu dient der Mond? Höre den Psalmisten, wie er spricht: „Er hat gemacht S. d241 den Mond, die Zeiten mitzuteilen.“ 15 Daß Gott alles geschaffen hat, das Sichtbare und das Unsichtbare, auch das lehrt dich der Psalmist, wenn er sagt: „Er spracht und es ist geworden, er befahl, und es wurde geschaffen“ 16. Auch daß es einstmals eine Erlösung vom Tode geben wird, auch das lehrt dich der Psalmist, wenn er spricht: „Gott wird erretten meine Seele von der Macht der Hölle, wenn er mich aufnimmt“ 17. Woraus ist unser Leib geworden? Auch das sagt dir der Psalmist: „Er gedenkt, daß wir Staub sind“ 18. Was wird einmal aus ihm werden? „Er wird zurückkehren zum Staub.“ 19 Wozu sind alle Dinge da? Deinetwegen. „Mit Herrlichkeit und Ehre hast du ihn gekrönt und hast ihn gesetzt über die Werke deiner Hände.“ 20 Haben wir Menschen etwas gemeinsam mit den Engeln? Auch das sagt uns der Psalmist, indem er also singt: „Du hast ihn nur wenig unter die Engel erniedrigt.“ 21 Von der Liebe Gottes heißt es: „Wie ein Vater sich erbarmt seiner Kinder, so erbarmt der Herr sich derer, die ihn fürchten“ 22. Von dem zukünftigen Leben und jenem Zustand der Ruhe heißt es: „So kehre denn zurück, meine Seele, in deine Ruhe“ 23. Warum ist der Himmel so groß? Auch das sagt dir der Psalmist: „Die Himmel erzählen die Herrlichkeit Gottes“ 24. Wozu sind Tag und Nacht da? Nicht bloß damit jener leuchte und diese Zeit zur Ruhe gewähre, sondern auch damit sie uns etwas lehren. „Nicht Sprachen sind es ja und Reden, von deren Schall man nichts hört.“ 25 Wie das Meer um die Erde liegt? „Der Abgrund ist ihr Kleid wie ein Mantel.“ 26 So lautet nämlich der hebräische Text.


  1. Ps. 101, 27. ↩

  2. Ebd. 103, 2. ↩

  3. Ps. 103, 3. ↩

  4. Ebd. 102, 12. 11. ↩

  5. Ebd. 23, 2. ↩

  6. Ebd. 103, 32. ↩

  7. Ebd. 103, 20. ↩

  8. Ebd. 103, 18. ↩

  9. Ebd. 103, 18. ↩

  10. Ebd. 103, 17. ↩

  11. Ebd. 103, 12. ↩

  12. Ebd. 103, 15. ↩

  13. Ebd. 103. 27. ↩

  14. Ebd. 103, 14. ↩

  15. Ps. 103, 19. ↩

  16. Ebd. 32, 9. ↩

  17. Ebd. 48, 16. ↩

  18. Ebd. 102, 14. ↩

  19. Ebd. 103, 29. ↩

  20. Ebd. 8, 6. 7. ↩

  21. Ps. 8, 6. ↩

  22. Ebd. 102, 13. ↩

  23. Ebd. 114, 7. ↩

  24. Ebd. 18, 2. ↩

  25. Ebd. 18, 4. ↩

  26. Ebd. 103, 6. ↩

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