HOMÉLIE VI.
MAIS TOI QUI PORTES LE NOM DE JUIF, QUI TE REPOSES SUR LA LOI ET TE GLORIFIES EN DIEU, QUI CONNAIS SA VOLONTÉ, ET QUI, INSTRUIT PAR LA LOI, SAIS DISCERNER CE QUI EST LE PLUS UTILE. (II, 17, 18, JUSQU'À III, 8.)
Analyse
1 et 2. La simple connaissance extérieure de la loi sans l'application à s'y conformer, ne servira de rien au Juif, et il en est de même de la circoncision.
3. Ce n'est qu'à l'homme vertueux qu'elle donne un avantage particulier.
4. Objection : quel avantage reste-t-il donc au Juif ? — Réponse.
5. Autre objection : Mais si nos prévarications ont servi à faire paraître la justice de Dieu, Dieu n'est-il pas injuste de faire tomber sur nous sa colère ? — Réponse.
6. C'est par la pureté de leur vie que les chrétiens convertiront les infidèles. — Que l'avarice est une véritable idolâtrie.
