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Œuvres Jean Chrysostome (344-407) In epistulam ii ad Thessalonicenses homiliae 1-5

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Homilien über den II. Thessalonicher-Brief (BKV)

6.

16. Er aber, der Herr des Friedens, verleihe euch Frieden immerdar und aller Orten! 1

Wir sehen hier, wie der hl. Paulus, nachdem er Vorschriften gegeben, sie mit Gebet besiegelt, Gebet und Fürbitte wie ein Siegel auf das Vermächtnis seiner Anordnungen drückt. „Er verleihe euch Frieden aller Orten!“ Es ist ja gar leicht, daß Streitigkeiten entstehen, wenn die Einen zu unbescheiden im Fordern werden, die Andern aber solchen Leuten gegenüber zurückhaltender im Geben, und darum ist dieser Wunsch des Apostels ganz am Platze. „Der Herr verleihe euch Frieden immerdar!“ Das ist ja der innigste Wunsch des Apostels, daß sich die Gläubigen dieses köstlichen Gutes allzeit erfreuen möchten. Was wollen aber die Worte bedeuten: „Aller Orten?“ Allüberall soll Friede herrschen, jeder Anlaß zum Streite soll beseitigt werden. In S. 805 allweg ist es etwas Schönes um den Frieden, auch in Bezug auf Solche, die draußen sind. An einer andern Stelle ruft uns der Apostel zu: „Wenn es möglich ist, und so viel an euch liegt, lebet mit allen Menschen in Frieden!“2 Gar Nichts fördert so sehr die Ausführung jeglichen guten Vorhabens, als wenn man ein friedliches und ruhiges Leben führt, Niemand feind ist und Niemand zum Feinde hat.

17. Der Herr sei mit euch Allen! Der Gruß mit meiner, des Paulus, eigener Hand, welches das Zeichen jedes meiner Briefe ist. So schreibe ich. 18. Die Gnade unsers Herrn Jesu Christi sei mit euch allen! Amen!

So, sagt der Apostel, schreibe er in jedem Briefe, und weil er seine Unterschrift gleich einem großen Siegel daran legte, so konnte Niemand solche Briefe nachmachen. „Gruß“ nennt er den Segenswunsch, und daraus geht hervor, daß man damals allen Dingen eine religiöse und übernatürliche Bedeutung lieh, und daß man z. B. auch dem Gruße einen übernatürlichen Nutzen abzugewinnen verstand, indem man ihn nicht bloß zum Zeichen der Freundschaft, sondern zum Gebete stempelte. Mit diesem Gruß und Segenswunsche hat der Apostel den Brief angefangen, mit diesem hört er auf. So hat er den Inhalt des Briefes gleichsam mit zwei gewaltigen Mauern auf beiden Seiten eingefaßt, hat feste Fundamente gelegt und einen tüchtigen Schlußstein darauf gesetzt. „Gnade euch und Frieden!“3 hieß es oben, und hier spricht der Apostel:


  1. Nach der Lesart ἐν παντὶ τόπῳ, nicht ἐν παντὶ τρόπῳ. ↩

  2. Röm. 12, 18. ↩

  3. II. Thess. 1, 2. ↩

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Commentaire sur la deuxième épitre aux Thessaloniciens

6.

« Que le Seigneur de paix vous donne sa paix, en tout temps et en tout lieu (16) ». Voyez: après avoir dit ce qu'il faut faire , il signe pour ainsi dire avec une prière; il appose son seing à ce qu'il vient de dire, et ce seing est une prière, une supplication : « Vous donne » , dit-il, « sa paix en tout lieu ». En effet, considérant les combats qui allaient résulter de la présente lettre probablement, les uns devant se montrer intraitables et les autres moins accommodants qu'on ne le voudrait, il a raison de faire cette: prière : « Vous donne » , dit-il, « sa paix en tout temps » ; c'est là, en effet, ce qu'il cherche, à savoir qu'ils aient toujours la paix. Maintenant pourquoi : « En tout lieu? » Il veut voir la paix partout, de telle sorte qu'il ne leur vienne d'aucun côté un sujet de dispute. Partout, en effet, c'est un grand bien que la paix, même auprès des gens du dehors. Ecoutez-le disant dans un autre endroit : « Vivez en paix, si cela se peut , et, autant qu'il est en vous, avec toutes sortes de personnes ». (Rom. XII, 18.) Si nous voulons bien faire, rien n'est si utile que d'être pacifique, exempt de troubles, affranchi de toute haine, n'ayant aucun ennemi.

« Que le Seigneur soit avec vous tous; je vous salue ici de ma propre main, moi Paul; c'est là mon seing dans toutes mes lettres; j'écris ainsi; la grâce de Notre-Seigneur Jésus-Christ soit avec vous tous. Ainsi soit-il ». Il dit que c'est là ce qu'il écrit de sa main dans toutes ses lettres, afin qu'on ne puisse pas les falsifier, grâce à ces paroles, qui sont comme une grande signature. « Je vous salue », désigne la prière qu'il fait entendre, montrant par là que tout alors était spirituel dans le commerce, et, quand il fallait saluer, on y regardait au profit des âmes, et le salut était une prière, et non simplement un symbole d'amitié. Et il terminait comme il avait (270) commencé, les affermissant entre cette double muraille aux fondements solides et inébranlables; il achevait son ouvrage en le consolidant. « La grâce », dit-il, « et la paix », en commençant; et, pour finir :

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Commentaire sur la deuxième épitre aux Thessaloniciens
Homilien über den II. Thessalonicher-Brief (BKV)

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