Übersetzung
ausblenden
Des Mystères
8.
Qu'as-tu vu ? De l'eau, oui, mais pas seulement cela : les lévites qui faisaient là leur service, le grand-prêtre qui interrogeait et qui consacrait. Tout d'abord l'apôtre t'a appris qu'il ne faut pas regarder ce qu'on voit, mais ce qu'on ne voit pas, car ce qu'on voit est temporel, tandis que ce qu'on ne voit pas est éternel. Tu trouves encore ailleurs : « Les choses invi-sibles de Dieu, depuis la création du monde, sont comprises au moyen de ce qui a été fait. Sa puissance éternelle aussi et sa divinité sont estimées d'après ses oeuvres. » Aussi le Seigneur lui-même dit-il : « Si vous ne me croyez pas, croyez du moins mes oeuvres. » Crois donc qu'il y a là la présence de la divinité. Tu crois à son action, tu ne crois pas à sa présence ? D'où viendrait alors l'action, si la présence ne la précédait ?
Übersetzung
ausblenden
Über die Mysterien (BKV)
8.
S. 279 Was hast du geschaut? Wasser — ja, doch nicht allein, Leviten (sahst du), wie sie daselbst Dienste taten, den Hohenpriester, wie er Fragen stellte und die Weihe (des Taufwassers) vornahm. Allen voran belehrte dich schon der Apostel, daß wir „nicht auf das Sichtbare, sondern auf das Unsichtbare sehen“ sollten; „denn das Sichtbare ist zeitlich, das Unsichtbare aber ewig“1. Auch anderswo liest man ja: „Denn das Unsichtbare an Gott läßt sich seit der Weltschöpfung an den geschaffenen Dingen wahrnehmen, desgleichen seine ewige Macht und Gottheit“2 an den Werken ermessen. Daher spricht auch der Herr selbst: „Wenn ihr mir nicht glaubt, glaubt wenigstens meinen Werken!“3 So glaube denn an Gottes Gegenwart dortselbst! An seine Wirksamkeit glaubst du: an seine Gegenwart wolltest du nicht glauben? Wie könnte seine Wirksamkeit folgen, wenn nicht erst seine Gegenwart vorausginge?