CHAPITRE XXXVII. DES VIEILLARDS ET DES EMFANTS
Un sentiment naturel d'humanité nous porte à l'indulgence envers ces deux âges, la vieillesse et l'enfance. Il est bon pourtant que l'autorité de la Règle intervienne en leur faveur. On aura donc toujours égard à leur faiblesse, et on ne maintiendra aucunement pour eux les restrictions alimentaires du régime commun. Mais on usera envers eux d'une affectueuse condescendance et ils pourront devancer l'heure régulière des repas.