• Accueil
  • Œuvres
  • Introduction Instructions Collaboration Sponsors / Collaborateurs Copyrights Contact Mentions légales
Bibliothek der Kirchenväter
Recherche
DE EN FR
Œuvres Tertullien (160-220) Scorpiace

Traduction Masquer
Le scorpiâque, antidote contre la morsure des scorpions

IX.

Pour dépouiller l'antiquité de son mystère, il ne reste plus qu'à soutenir que le christianisme est une nouveauté, importée par un Dieu étranger, sans lien commun avec la loi première, et où « la Sagesse ne sait pas immoler ses propres enfants. » ---- La divinité, nous dit-on, est bien différente dans le Christ, ainsi que sa volonté et son école. Chez lui point de martyre, ou bien il a voulu qu'on le comprît autrement. Cela est si vrai, que jamais il n'exhorte les siens à braver ce péril; il ne promet pas de rétribution à ces souffrances, parce que ces souffrances il ne les veut pas.----Voilà pourquoi sans doute il débute dans ses préceptes par cette exclamation: « Bienheureux ceux qui souffrent pour la justice, parce que le royaume du ciel est à eux! » Paroles qui, dans leur généralité, s'appliquent à tous; ensuite il s'adresse plus spécialement à ses Apôtres: « Vous serez heureux, lorsque les hommes vous maudiront et vous persécuteront, et diront faussement toute sorte de mal de vous à cause de moi. Réjouissez-vous en ce jour-là et soyez dans l'allégresse: voici que votre récompense est grande dans le ciel; car leurs pères traitaient ainsi les prophètes. » N'était-ce pas leur prédire qu'il seraient immolés à la manière des prophètes?

Mais, je vous l'accorde; cette persécution, toute conditionnelle, ne concerne que les Apôtres. Eh bien! puisque les Apôtres nous ont transmis le sacrement de la foi tout entier, et la propagation du nom chrétien, et les communications du Saint-Esprit, disciples héréditaires et rejetons de la semence apostolique, nous sommes liés par la loi qui enchaînait les Apôtres. Ils étaient martyrs; donc nous devons être martyrs comme eux. Jésus-Christ leur dit ailleurs: « Voilà que je vous envoie comme des brebis au milieu des loups; soyez en garde contre les hommes. Car ils vous feront comparaître dans leurs assemblées, et ils vous flagelleront dans leurs synagogues. Et vous serez conduits devant les magistrats et devant les rois, pour me rendre témoignage en leur présence et au milieu des nations. » Mais lorsqu'il ajoute: «Le frère livrera le frère à la mort, et le père le fils; les enfants s'élèveront contre les parents, et les feront mourir; » il est manifeste qu'il applique à d'autres cette iniquité, que les Apôtres n'ont pas éprouvée. Aucun d'eux n'a été livré par un père, par un frère, ce qui est arrivé à la plupart d'entre nous. Jésus-Christ revient ensuite à ses Apôtres: « Vous serez en haine à tous à cause de mon nom; » à plus forte raison nous-mêmes qui devons être livrés par nos parents. Ainsi, par le mélange de ces dispositions qui concernent tantôt les Apôtres, tantôt chacun des fidèles, il a fait pour tous ceux dans lesquels son nom siège comme en un sanctuaire, avec la haine du monde, une loi universelle de confesser son nom jusqu'à la mort. «Celui qui persévérera jusqu'à la fin, sera sauvé?» Persévérer, mais dans quelles souffrances? Dans la persécution, dans la trahison, dans l'immolation. Persévérer ne signifie, pas autre chose qu'endurer jusqu'à la fin. Voilà pourquoi « le disciple n'est pas au-dessus du Maître, ni le serviteur au-dessus de son Seigneur, » ajoute-t-il sur-le-champ. La cause en est toute simple. Le Maître et le Seigneur ayant été persécuté, trahi, immolé, à plus forte raison les serviteurs et les disciples devront-ils subir les mêmes épreuves, de peur qu'ils ne passent pour être d'une nature supérieure s'ils sont affranchis de la tribulation de l'iniquité, surtout quand il doit suffire à leur gloire d'être traités comme le Seigneur et le Maître qui les encourage ainsi à la patience: « Ne craignez point ceux qui tuent le corps et ne peuvent tuer l'ame; mais plutôt craignez celui qui peut précipiter l'ame et le corps dans l'enfer. » Ceux qui ne peuvent tuer que le corps, quels sont-ils, sinon les magistrats et les rois nommés plus haut? Ce sont des hommes, j'imagine. Quel est, au contraire, le souverain dominateur de l'ame, sinon Dieu seul? Qui nous menace des flammes vengeresses, sinon le Dieu « sans la volonté duquel l'un des deux passereaux ne tombe point à terre, » c'est-à-dire ni l'une ni l'autre des deux substances de l'homme, son corps ou son ame? Tous les cheveux de notre tête étant comptés devant lui, « ne craignez donc pas, » puisqu'il ajoute: «Vous valez plus que beaucoup de passereaux. » C'est nous promettre que nous ne tomberons pas vainement ni sans profit dans la terre, si nous aimons mieux être immolés par les hommes que par Dieu. « Quiconque confessera en moi devant les hommes, moi aussi je confesserai en lui devant mon Père qui est dans les cieux; et celui qui me renonce devant les hommes, je le renoncerai devant mon Père qui est dans les cieux. » Ici du moins, j'imagine, tout est clair dans la définition de la confession ainsi que du désaveu, quoique l'énonciation diffère. L'homme qui fait profession de christianisme se reconnaît pour le disciple du Christ. Celui qui est à Jésus-Christ, est nécessairement en Jésus-Christ. S'il est dans le Christ, il confesse donc dans le Christ, au moment où il confesse qu'il est Chrétien. Car il ne peut l'être, à moins d'être dans le Christ. Or, en confessant dans le Christ, il confesse aussi le Christ qui est dans le Christ, puisqu'il réside en lui en qualité de Chrétien. Prononcez le mot jour, sans avoir nommé la lumière elle-même, vous avez montré un effet de la lumière qui donne le jour. De même, quoique le Seigneur n'ait pas dit formellement: «Celui qui me confessera, » l'acte d'une confession journalière ne laisse point de s'accorder avec le sens des paroles du Seigneur. Quiconque en effet confesse ce qu'il est, c'est-à-dire Chrétien, confesse par là même ce par quoi il l'est, c'est-à-dire le Christ. Conséquemment quiconque se désavoue pour Chrétien, nie dans le Christ en niant qu'il soit dans le Christ, quand il désavoue son titre de Chrétien. D'autre part, celui qui niera que le Christ réside en lui-même, en niant qu'il réside dans le Christ, désavouera également Jésus-Christ. Donc nier dans le Christ, équivaut à nier le Christ; donc confesser dans le Christ, équivaut à confesser le Christ.

Il eût suffi que le Seigneur s'expliquât uniquement sur l'obligation de confesser. Il était facile, d'après ce texte, de préjuger son contraire, et de conclure que Dieu répondait au désaveu par un désaveu, comme à la confession par la confession. Voilà pourquoi l'énoncé de la confession amenant de soi-même la formule du désaveu, il est visible que Dieu en disant: « Celui qui me désavouera, » et non « celui qui désavouera en moi, » comme il l'avait fait pour l'aveu, appliquait ces paroles à une autre espèce d'apostasie. Il avait vu d'avance que la persécution s'armerait de toutes ses fureurs pour que le Chrétien, après avoir renié sa foi, fût aussi contraint de renier et de blasphémer le Christ. Ainsi avons-nous vu dernièrement avec horreur que, sous prétexte de réduire à l'apostasie quelques Chrétiens, on lutta contre leur foi tout entière avec une barbarie sans nom. Il vous sera donc inutile de dire: Quand même je nierais que je sois chrétien, je ne serais pas désavoué par le Christ, puisque je ne l'ai pas désavoué personnellement. Le désaveu de votre foi ne sera pas moins criminel, parce qu'en niant que vous soyez chrétien, c'est-à-dire en niant le Christ qui est en vous, vous l'avez renié lui-même. Il y a mieux. Il renvoie mépris pour mépris: « Celui qui aura rougi de moi en face des hommes, dit-il, je rougirai également de lui en face de mon Père qui est dans les deux. » L'apostasie, il ne l'ignorait pas, est fille de la honte; le front est comme le sanctuaire de l'ame, et le respect pour Dieu est mort au-dedans avant que le dehors ait défailli.

Traduction Masquer
Arznei gegen Skorpionstich (BKV)

9. Kap. Auch für die christliche Wahrheit kann unmöglich etwas anderes zu erwarten sein. Die Aussprüche des Herrn, worin er das Bekenntnis seines Namens fordert, gelten nicht bloß für die Apostel, wie die Gnostiker meinen, sondern für alle. Bekämpfung der gnostischen Mißdeutung von Matth. 10, 23, wonach man zwischen Verleugnung des Christentums und Verleugnung Christi unterscheiden sollte.

Damit es nicht etwa scheine, als besäße der Alte Bund dieses sein Geheimnis als ausschließliches Eigentum, so erübrigt uns noch, auch den christlichen Neuen Bund durchzugehen, ob er etwa von Gott eine andere und demnach in Bezug auf die Disziplin eine entgegengesetzte Lehre verkünde, deren Weisheit (sophia) ihre Söhne zu erwürgen nicht versteht. Fürwahr, die Gottheit, ihr Wille und ihre Schule ist ganz anders bei Christus, Martyrien befiehlt er entweder überhaupt gar nicht oder sie sind anders zu verstehen, zu einem solchen Kampfe ermahnt er niemand, und denen, die für ihn gelitten haben, verspricht er nichts, weil er ihre Leiden nicht wollte, und deshalb spricht er, wenn er seine Hauptgebote als Leitsterne verkündet1, die Worte: „Selig sind die, welche Verfolgung leiden um der Gerechtigkeit willen; denn ihrer ist das Himmelreich“?!2 Diese Worte gelten allgemein für alle; sodann speziell für die Apostel: „Selig seid ihr, wenn sie euch beschimpfen und verfolgen, und alles Schlechte gegen euch reden um meinetwillen. Freuet euch und frohlocket; denn sehr groß ist euer Lohn im Himmel, denn so haben es ihre Väter den Propheten auch gemacht“3. Damit verkündete er ihnen vorher, daß auch ihnen nach dem Vorgang der Propheten der Tod bevorstehe. Indes gesetzt, er hätte alle diese Verfolgungen, als bloß bedingte, damals nur für die Apostel bestimmt, so würde durch diese mit der gesamten Heilslehre, mit der Erbschaft des christlichen Namens, mit der Übertragung des Hl. Geistes auch die Lehre und Anleitung, sich Verfolgungen zu unterziehen, sich auf uns mitbeziehen, da wir ihre Erben und Schüler, die Schößlinge aus dem apostolischen S. 208Samen sind. Denn wenn er auch folgenden Ausspruch wiederum an die Apostel richtet: „Siehe, ich sende euch wie Lämmer mitten unter Wölfe“, und „hütet euch vor den Menschen; denn sie werden euch den Ratsversammlungen überliefern, in ihren Synagogen euch geißeln, und ihr werdet vor die Könige und Statthalter geführt um meinetwillen, zum Zeugnis für sie und die Heiden“ usw., dann aber hinzufügt: „Es wird der Bruder den Bruder zum Tode ausliefern, und es werden sich Kinder gegen ihre Eltern erheben und sie töten“4, so hat er doch diese letztere Bosheit offenbar als eine anderen Personen bevorstehende verkündigt. Denn bei den Aposteln finden wir davon nichts. An keinem von ihnen ist der Vater oder Bruder zum Verräter geworden, wie es jetzt sehr vielen von uns ergangen ist. Sodann kommt er auf die Apostel zurück mit den Worten: „Ihr werdet allen verhaßt sein um meines Namens willen.“ Um wieviel mehr noch wir, die wir sogar von unsern Eltern ausgeliefert werden sollen!

So hat er denn, indem er diese Auslieferung5 bald den Aposteln, bald allen in Aussicht stellt, über alle, welche den Namen Christen und den damit verknüpften Haß tragen, dasselbe Los verhängt. „Wer aber ausharret bis ans Ende, der wird gerettet werden“6. Worin denn ausharret? Doch nur in der Verfolgung, bei der Auslieferung und Hinrichtung. Denn ausharren bis ans Ende heißt nichts anderes als das Ende erleiden. Daher folgt auch sogleich die Lehre: „Der Schüler ist nicht über den Lehrer, noch der Knecht über den Herrn.“ Da der Herr und Meister Verfolgung, Auslieferung und den Tod ertragen hat, so werden die Schüler und Knechte noch um so mehr denselben Preis zahlen müssen, damit es nicht scheine, als seien sie gleichsam als Höherstehende S. 209vor Ungerechtigkeit geschützt, während ihnen doch gerade der Umstand zur Erlangung der Herrlichkeit genügen soll, daß sie im Leiden ihrem Herrn und Meister gleich geworden sind. Sie zur Erduldung desselben aufrichtend ermahnt er, „nicht diejenigen zu fürchten, welche bloß den Leib töten, die Seele aber nicht töten können, sondern Furcht lieber vor dem zu hegen, welcher imstande ist, Leib und Seele zu töten und in die Hölle zu stürzen“7. Wer sind nun diejenigen, die bloß den Leib töten, anders als die vorhergenannten8 Präsidenten und Könige, bloße Menschen, wie mich dünkt? Wer aber herrscht zugleich über die Seelen, wenn nicht Gott allein? Wer anders ist der mit dem Feuer drohende, als der, ohne dessen Willen kein Sperling, d. h. keine der beiden Substanzen des Menschen, weder Leib noch Seele, zur Erde fällt? Sogar die Zahl der Haare ist bei ihm aufgezeichnet. Wenn er außerdem noch sagt: „Fürchtet euch also nicht! Ihr seid besser als viele Sperlinge“9, so verspricht er damit, daß wir nicht vergebens, d. h. nicht ohne Nutzen zur Erde fallen sollen, im Fall wir es vorziehen, uns lieber von den Menschen als von Gott töten zu lassen.

„Jeder also, der in mir10 Bekenntnis ablegen wird vor den Menschen, in dem werde auch ich ein Bekenntnis ablegen vor meinem Vater, der im Himmel ist.“ „Und jeder, der mich vor den Menschen verleugnen wird, den werde auch ich vor meinem Vater verleugnen, der im Himmel ist.“ Klar und deutlich, sollte ich meinen, sind Begriff und Wesen, sowohl des Bekennens als des Leugnens, ausgesprochen, wenn auch die Wahl der Worte11 eine verschiedene ist. Wer sich als Christen S. 210bekennt, der bezeugt, Christo anzugehören; wer Christo angehört, der muß notwendig in Christo sein. Wer in Christo ist, der bekennt fürwahr in Christo, wenn er sich als Christen bekennt. Denn er kann dies nicht sein, wenn er nicht in Christo ist. Indem er ferner in Christo bekennt, bekennt er auch Christum, der da in ihm ist, solange er selbst, nämlich als Christ, in jenem (in Christo) ist. Spricht man z. B. das Wort Tag aus, so bezeichnet man damit, auch ohne das Wort Licht auszusprechen, die Wirkung des Lichtes, welches den Tag bewirkt. So ist auch, wenn er sich auch nicht direkt ausgedrückt hat: „Wer mich bekennt“, der Akt des täglich vorkommenden Bekennens nicht verschieden von dem, was der Ausspruch des Herrn besagt. Denn wer bekennt, was er ist, d. h. sich als Christen, der bekennt auch das, wodurch er dies ist, d. h. Christum. Mithin, wer ableugnet, ein Christ zu sein, der hat „in Christo“ verleugnet; denn er leugnet, in Christo zu sein, da er leugnet, ein Christ zu sein; indem er aber dadurch, daß er leugnet, in Christo zu sein, auch leugnet, daß Christus in ihm ist, so wird man damit auch Christus selbst verleugnen. Somit wird also der, welcher in Christo geleugnet hat, Christum selbst verleugnen, und der, welcher in Christo bekannt hat, Christum selbst bekennen.

Es hätte also genügt, wenn der Herr bloß in Betreff des Bekennens einen Ausspruch getan hätte. Denn aus der Form des Bekennens hätte man sich auch von vornherein über das Gegenteil davon, d. i. über die Verleugnung, das Urteil bilden können, daß die Verleugnung ebenso mit Verleugnung von seiten des Herrn vergolten werde, wie das Bekennen mit Bekennen. Wenn daher aus der Form des Bekennens auch das Schicksal der Verleugner erkannt wird, so ist es klar, daß die Verleugnung sich nicht deshalb auf eine andere Weise vollzieht12, weil der Ausspruch des Herrn über sie anders S. 211lautet, als der über das Bekennen, wenn er nämlich sagt: „Wer mich“, nicht „wer in mir“ verleugnen wird. Er hatte nämlich voraus erkannt, daß bei der Bekämpfung des Christentums sehr oft auch die Gewalttat erfolgen würde, daß man einen, der geleugnet hat, ein Christ zu sein, auch noch zwingen werde, sogar Christum selbst zu lästern und zu verleugnen. In solcher Weise ist vor nicht langer Zeit13, wie wir zu unserem Schrecken gesehen haben, bei einigen ihr Glaube bis auf seine letzten Fasern befehdet worden.

Daher wird es vergeblich sein, sich zu sagen, wenn ich auch geleugnet habe, ein Christ zu sein, so werde ich doch nicht von Christus verleugnet werden; denn ich habe ihn selbst nicht abgeleugnet. Kraft jener Verleugnung wird er in gleich großer Schuld verstrickt erfunden werden, weil er durch Verleugnung seiner Christenwürde leugnend, daß Christus in ihm sei, auch Christum selbst verleugnet hat. Als weiteres Moment kommt noch hinzu, daß er denen, die sich seiner schämen, auch mit Beschämung droht: „Wer sich meiner vor den Menschen geschämt hat, den werde auch ich vor meinem Vater beschämen, der im Himmel ist“; denn er wußte recht gut, daß durch Scham die Ableugnung gerade am meisten vorbereitet wird, daß der Seelenzustand sich auf der Stirn kundgibt und die Wunde des Sichschämens der Verwundung des Körpers vorausgeht.


  1. Praeceptorum principia deducens. „Deducens“ ist das griechische ὁδηγεῖν, vgl. Apol. 21 „deductor generis humani“; der Paraklet ist der „deductor omnis veritatis“ adv. Prax. 2. ↩

  2. Matth. 5, 10. – Der Satz ist ironisch gemeint. ↩

  3. Luk. 6, 23. ↩

  4. Matth. 10, 16 ff. ↩

  5. Nach der Lesart des Agob. „ipsam hanc traditionem“. T. denkt an die genannten Stellen, wo „tradent“ „tradet“ vom Heiland gebraucht wird, einmal an alle, einmal speziell an die Apostel sich richtend. Die Ausgabe des Gangneius, der die Wiener sich anschließt, liest: „ipsa hac permixtione“ = durch diesen Wechsel, indem er sich bald an die Apostel, bald an alle wandte. ↩

  6. Matth. 10, 22. ↩

  7. Matth. 10, 28. ↩

  8. in der zitierten Stelle Matth. 10, 16. ↩

  9. Ebd. 10, 31. ↩

  10. In me confessus fuerit, entsprechend dem Urtext Matth. 10,32 ὁμολογήσει ἐν ἐμοὶ, wo die Vulgata einfach me confessus fuerit hat. Die ursprüngliche Übersetzung mußte beibehalten werden, da Tertullian eine etwas gesuchte Unterscheidung dabei macht, um das unten deutlicher ausgesprochene Sophisma der Gnostiker zu widerlegen. ↩

  11. Etsi dispositio diversa est. T. denkt, wie sich auch aus dem Folgenden ergibt, an die verschiedene Ausdrucksweise, einmal „in me“, das anderemal „me“. ↩

  12. Nach der Lesart „non ad alium modum negationis pertinere“; „non“ fehlt bei Gagneius und Oehler, es darf aber nicht wegbleiben. ↩

  13. Nach olim sind im Agob. einige Buchstaben ausgeblieben, und dann folgt pro auspice. Hartel vermutet „improbo auspice“, Wissowa einen Gedanken wie folgenden: non olim praesidem aliquem diabolo auspice. ↩

  Imprimer   Rapporter une erreur
  • Afficher le texte
  • Référence bibliographique
  • Scans de cette version
Les éditions de cette œuvre
Scorpiace Comparer
Traductions de cette œuvre
Arznei gegen Skorpionstich (BKV)
Le scorpiâque, antidote contre la morsure des scorpions
Scorpiace Comparer

Table des matières

Faculté de théologie, Patristique et histoire de l'Église ancienne
Miséricorde, Av. Europe 20, CH 1700 Fribourg

© 2025 Gregor Emmenegger
Mentions légales
Politique de confidentialité