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Le scorpiâque, antidote contre la morsure des scorpions
XIV.
Il est bien vrai qu'il écrit aux Romains: « Que toute ame soit soumise aux puissances supérieures; car il n'y a point de puissance qui ne soit de Dieu. Ce n'est pas en vain qu'elle porte le glaive. Le prince est le ministre de Dieu, mais pour exécuter sa vengeance, ajoute-t-il, en punissant celui qui fait le mal. » En effet, il avait dit plus haut: « On n'a rien à craindre du prince en faisant le bien, mais en faisant le mal. Voulez-vous donc n'avoir point à craindre la puissance, faites le bien et vous en recevrez des louanges. Le prince est le ministre de Dieu pour votre bien; que si vous faites le mal, vous avez raison de craindre. » Conséquemment, ce n'est pas pour te fournir l'occasion d'échapper au martyre qu'il te recommande la soumission aux puissances, mais pour t'exhorter à bien vivre, parce que les puissances sont les auxiliaires de la justice, et les ministres du jugement divin, qui s'exerce d'avance ici-bas sur les criminels. Ensuite il détermine la nature et les limites de cette soumission: « Rendez à chacun ce qui lui est dû, le tribut à qui vous devez le tribut, les impôts à qui vous devez les impôts, » c'est-à-dire: « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu; » mais l'homme n'appartient qu'à Dieu. Pierre avait dit également: «Tu honoreras le roi. » Mais de quelle manière l'entend-il? Quand le monarque reste sur son domaine, quand il ne prétend pas aux honneurs divins. Nous aimons aussi notre père et notre mère, pourvu cependant qu'ils ne soient pas mis en parallèle avec Dieu. Au reste, il n'est pas permis de chérir son ame elle-même plus que Dieu.
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Arznei gegen Skorpionstich (BKV)
14. Kap. Das Martyrium streitet nicht gegen den Gehorsam, den man der Obrigkeit nach Röm. 13, 1-4 schuldet.
Allerdings ermahnt er die Römer, allen Gewalten Untertan zu sein, weil es keine Gewalt gibt als von Gott, weil sie nicht ohne Grund das Schwert trägt und eines göttlichen Amtes waltet; „aber sie ist auch“, sagt er, „eine Rächerin zum Zorne für den, der Unrecht tut“. Denn er hatte vorausgeschickt: „Die Fürsten sind nicht furchtbar dem guten Werke, sondern dem bösen. Willst du aber die Gewalt nicht zu fürchten haben, so tue Gutes, und du wirst Lob von ihr erhalten. Sie ist also eine Dienerin Gottes dir zum besten. Wenn du aber Böses tust, so fürchte“1. Er befiehlt dir also, den Gewalten untertan zu sein, nicht um Gelegenheit zu geben, das Martyrium illusorisch zu machen, sondern, als Aufforderung, gut zu leben, selbst in Rücksicht auf sie als Helferinnen der Gerechtigkeit, als Dienerinnen des göttlichen Gerichtes, welche schon hienieden über die Schuldigen zum voraus aburteilen. Sodann fährt er fort und gibt an, wie du nach seiner Lehrmeinung den Gewalten Untertan sein sollst, indem er dich Steuer geben heißt, wem Steuer gebührt, und Zoll, wem Zoll, d. h. „dem Kaiser, was des Kaisers ist, und Gott, was Gottes ist“; der Mensch aber gehört Gott allein zu. So hatte nämlich auch Petrus gesagt: „Daß man den König zwar ehren müsse“2, doch so, daß er als König geehrt werde, wenn er bei seinen Angelegenheiten bleibt und sich vom Verlangen nach göttlicher Ehre fernhält. Auch Vater und Mutter sollen geliebt werden mit Gott, nicht aber ihm gleichgestellt werden; übrigens mehr als Gott darf man nicht einmal seine eigene Seele lieben.