CHAPITRE LVII.
A POLLENTIUS, SUR LES MARIAGES ADULTÈRES. — DEUX LIVRES.
J’ai écrit deux livres sur les mariages adultères, en suivant autant que je l’ai pu les Ecritures et désirant élucider une question très-difficile. Je ne sais si j’y suis parvenu; mais je sais que je suis resté loin de la perfection, bien que j’aie ouvert plusieurs aspects de la question, ce dont tout lecteur intelligent pourra juger. Le premier livre de cet ouvrage commence ainsi : « La première question, mon cher frère Pollentius; » le second : « A ce que vous m’aviez écrit. »
