5.
Ailleurs, rappelant ce que le Seigneur Jésus a fait lorsqu’il était en ce monde, j’ai ajouté: « Pourquoi ces merveilles ne s’opèrent-elles plus aujourd’hui ? » Et j’ai répondu :
« Parce qu’elles n’auraient pas la puissance d’émouvoir si elles n’étaient pas des merveilles, et elles ne seraient plus merveilles si elles étaient habituelles 1. » J’ai voulu dire qu’il ne s’en opère plus d’aussi grandes et d’aussi nombreuses, et non pas qu’il ne s’en opère plus du tout.
-
C. XVI, n. 34. ↩