LETTRE V. (Fin de l'année 388.) NÉBRIDE A AUGUSTIN.
Nébride déplore que les affaires des gens de la ville [^1] détournent trop souvent Augustin de la contemplation.
Est-ce vrai, mon cher Augustin? vous prêtez-vous aux affaires de vos compatriotes avec tant de constance et de patience, que ce loisir, tant recherché, vous échappe? Dites-moi, je vous prie,