CIII. (XXXII, 20.)
Les présents de Jacob à Esaü. — Les exemplaires latins portent ce mot relatif à Jacob : « Car il disait : J'apaiserai son visage, avec les présents qui le précédaient. » Quand l'auteur du livre dit de Jacob : « Car il disait : «J'apaiserai son visage, » jusque-là on comprend que c'est Jacob qui parle; mais les mots suivants: « avec les présents qui le précédaient »sont une addition de l'écrivain : cela signifie : Avec les présents qui précédaient Jacob, « il disait j'apaiserai le visage de mon frère. » Voici donc la liaison des paroles de Jacob: « J'apaiserai son visage et après cela je le verrai, et il m'accueillera peut-être favorablement . » Ainsi avec les présents qui le précédaient sont des paroles intercalées dans le texte par l'écrivain.