CXXVII. (Ib. XXIX, 18.)
Sur les sacrifices de bonne odeur. — Souvent, dans l'Écriture, il est dit que les sacrifices des animaux sont en « odeur de suavité au Seigneur. » Evidemment Dieu ne prend point plaisir à l'odeur de la fumée de ces sacrifices, mais ceci doit se prendre dans un sens spirituel, c'est-à-dire qu'un sacrifice de victimes, offert dans des dispositions surnaturelles, est agréable à Dieu, en, raison des choses qu'il, symbolise. Dieu en effet n'a pas comme nous le sens matériel de l'odorat. La signification des sacrifices est donc spirituelle comme leur odeur que Dieu respire.