35.
« C’est lui qui dresse mes mains au combat (Ps. XVII, 35 ) ». Il me dresse à ces oeuvres capables de vaincre ces ennemis qui s’efforcent de nous fermer le passage vers le royaume dès cieux. «Vous avez tendu mes bras comme un arc d’airain », puisque vous me rendez infatigable dans la volonté des bonnes oeuvres.