2.
« J’ai juré, j’ai résolu de garder les décrets de votre justice1 ». Cette parole est d’un homme qui suit fidèlement cette lumière divine, et qui marche dans les droits sentiers. Le second verbe explique ce qu’avait commencé le précédent; comme si nous lui demandions ce que signifie « je l’ai juré », il ajoute «et je l’ai résolu». Il appelle jurement ce qu’ila confirmé par un serment; car l’âme doit être tellement déterminée à garder les jugements de la justice divine, que sa résolution soit un véritable serment.
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Ps. CXVIII, 106. ↩