3.
Enfin: «Affermissez votre serviteur dans le bien, que les superbes ne me calomnient pas1 ». Ils me poussent afin de me faire succomber au mal; pour vous, affermissez-moi dans le bien. Ceux qui ont traduit: Non calumnientur me, au lieu de mihi, ont suivi le mot grec, moins usité dans la langue latine. Ou peut-être: Non calumnientur me aurait-il la même énergie que si l’on disait: Qu’ils ne me surprennent point par leurs calomnies?
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Id. CXVIII, 122. ↩