3.
Considérant ensuite cette flamme d’amour qu’allume dans son coeur la parole de Dieu: « Votre parole est un feu ardent, et votre serviteur l’a aimée1 ». C’est donc avec raison que le coeur impénitent de ses ennemis stimulait son zèle: ils avaient, eux, oublié la parole de Dieu, et il brûlait de les amener à ce qu’il aimait lui-même avec tant d’ardeur.
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Ps. CXVIII, 140. ↩