2.
« Bienheureux ceux dont les fautes sont s remises, et dont les péchés ont été couverts1»; dont les péchés sont mis en oubli. « Bienheureux l’homme à qui le Seigneur n’a point imputé son crime, et dont la bouche ne distille point la fraude»; dont les paroles ne font pas ostentation de justice, quand sa conscience est pleine d’iniquités.
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Id. 1 ↩