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De la pudicité
XIII.
Nous connaissons ici toutes leurs vaines conjectures. Ils soupçonnent en effet que l'Apôtre Paul, pardonnant, dans sa seconde Epître aux Corinthiens, a ce même fornicateur que dans la première il avait livré à Satan pour la ruine de sa chair, parce qu'il avait été l'impie héritier du mariage de son père, change ici de langage, lorsqu'il écrit: « Si l'un de vous m'a contristé, il ne m'a pas contristé seul; mais je ne dis pas tout pour ne pas vous accabler. Il suffit actuellement à celui qui m'a affligé d'avoir reçu cette correction. Et vous devez plutôt le traiter maintenant avec indulgence et le consoler, de peur qu'il ne soit accablé par une trop grande tristesse. C'est pourquoi je vous conjure de lui donner des témoignages de votre charité. Et je ne vous en parle qu'afin de vous éprouver et de reconnaître si vous êtes obéissants en toutes choses. Ce que vous lui accorderez, je le lui accorde aussi. Car si j'ai donné quelque chose, je l'ai donné à cause de vous, au nom de Jésus-Christ, afin que nous ne soyons pas surpris par Satan, dont nous n'ignorons pas les pensées. »
Où est-il question ici d'un fornicateur? Où est-il question de l'impie qui a souillé la couche paternelle? Où est-il question d'un Chrétien qui a surpassé l'impudeur des païens? L'Apôtre n'eût-il pas absous par un pardon spécial celui qu'il avait condamné par une colère spéciale! Sa pitié est plus obscure que son indignation. Sa rigueur est plus manifeste que sa douceur. D'ordinaire cependant la colère prend des voies plus détournées que l'indulgence; la tristesse hésite plus que la joie. C'est qu'il s'agissait ici d'une indulgence légère. Nous pouvons nous en convaincre aujourd'hui mieux que jamais, où les plus grands crimes ne sont pas remis sans être proclamés hautement, à plus forte raison sans être mentionnés. Eh quoi! si tu introduis dans l'Eglise la pénitence d'un fornicateur pour fléchir l'indignation de l'assemblée chrétienne, prenant par la main le coupable, caché sous un cilice, couvert de cendre, et annonçant par son extérieur le deuil et l'abattement, tu l'obliges de se prosterner publiquement devant les veuves et les prêtres, d'implorer l'assistance de nos frères, de baiser les pas de chacun d'eux, de se rouler humblement à leurs pieds! Ce n'est pas tout. Pasteur bienveillant, évêque miséricordieux, tu harangues l'assemblée chrétienne, afin d'émouvoir la pitié en faveur du criminel, et tu cherches tes chèvres dans la parabole de la brebis; tu fais promettre à ta brebis qu'elle ne s'échappera plus du bercail, comme si ce qui n'avait pas été permis même une fois ne l'était plus à l'avenir; enfin, au moment où tu es le plus indulgent, tu t'efforces d'effrayer les autres sur les conséquences d'une chute. L'Apôtre, au contraire, aurait pardonné sur-le-champ un crime si abominable, qui à la souillure de la fornication ajoute celle de l'inceste, sans même exiger du prévaricateur ces marques extérieures, qui sont comme les ambassadrices de la pénitence, et que tu devrais avoir apprises de lui, sans le menacer à l'avenir, sans l'avertir de ses devoirs!
---- Il y a mieux, répliques-tu. Il demande aux Corinthiens de donner à cet homme des témoignages de charité, plutôt pour satisfaire à ce devoir, que pour lui remettre sa faute.
---- Toutefois, j'ai entendu le mot de Charité, et non pas de Communion. Il écrit aux Thessaloniciens: « Que si quelqu'un n'obéit point à ce que nous ordonnons par notre lettre, notez-le, et n'ayez point de commerce avec lui, afin qu'il en ait de la confusion. Ne le regardez pas néanmoins comme un ennemi, mais reprenez-le comme un frère. » Tant il est vrai qu'il aurait pu dire que la charité seule était accordée au fornicateur, sans la communion. Mais à l'incestueux, il aurait refusé jusqu'à la charité, puisqu'il « leur recommanda de le bannir du milieu d'eux, » à plus forte raison de leur cœur. ---- Mais non; il craignait probablement que Satan ne les frustrât dans la perte de celui qu'il avait livré à Satan, ou que celui « qu'il avait condamné à la perdition de sa chair, ne fût accablé par une tristesse trop grande. » Ici nos adversaires voient dans « cette perdition de la chair » les exercices de la pénitence, qui, par les jeûnes, l'humiliation, le deuil et les mortifications de toute nature, semble satisfaire à Dieu en immolant la chair, afin de conclure de là que ce fornicateur, ou pour mieux dire cet incestueux, n'a pas été livré par l'Apôtre à Satan pour sa perdition, mais pour son amendement, puisqu'il devait mériter par cette mortification de la chair un pardon qu'il obtint réellement.
Il est bien vrai que le même Apôtre « livra Hyménée et Alexandre à Satan, afin de leur apprendre à ne plus blasphémer. » Ainsi l'écrit-il à son cher Timothée. Mais ne déclare-t-il pas, en parlant de lui-même, « qu'un ange de Satan a été mis dans sa chair pour lui donner comme des soufflets, de peur qu'il ne vînt à s'enorgueillir?» Si nos adversaires allèguent cette autorité dans le but de nous faire comprendre que ces hommes ont été livrés à Satan pour leur amendement et non pour leur perdition, quelle communauté le blasphème et l'inceste peuvent-ils avoir avec une ame étrangère à ces souillures; je ne dis point assez, avec une ame qui, ne pouvant s'enorgueillir que de la plus haute sainteté comme de l'innocence la plus pure, si elle était souffletée, pour ainsi dire, dans l'Apôtre, ne l'était que par une douleur de tête ou d'oreille, ainsi que s'exprime le proverbe? Il n'en va pas de même de l'inceste et du blasphème. Ils ont mérité de remettre l'homme tout entier en possession de Satan, et non de le livrer à son ange. En effet, que l'Apôtre, dit-il, les ait livrés à Satan lui-même, ou qu'à l'Apôtre il ait donné seulement un ange de Satan, la différence importe, ou, pour mieux dire, la différence est essentielle.
Enfin, lorsque Paul conjure le Seigneur de le lui retirer, quelle réponse en reçoit-il? « Ma grâce te suffit; la force se perfectionne dans la faiblesse. » Ceux qui sont livrés à Satan ne peuvent entendre ces paroles. D'ailleurs, si le crime d'Hyménée et d'Alexandre est irrémissible dans le siècle présent et dans le siècle à venir, puisque c'est un blasphème, l'Apôtre, en opposition avec la déclaration du Seigneur, « n'eût pas livré à Satan, avec espoir de pardon, ceux qui, par leur blasphème, avaient déjà fait naufrage dans la foi. » Voilà pourquoi il appela « naufragés de la foi » ceux qui n'avaient plus l'espérance de rentrer dans le vaisseau de l'Eglise. Il n'y a plus de pardon à attendre pour ceux qui sont tombés de la foi dans lé blasphème, quoique d'ailleurs les païens et les hérétiques reçoivent tous les jours leur grâce après avoir blasphémé.
Si l'Apôtre à dit: « Je les ai livrés à Satan pour leur apprendre à ne plus blasphémer, » il l'a dit afin que ces hommes livrés à Satan, c'est-à-dire chassés de l'Eglise, servissent aux autres d'enseignement qu'il ne fallait pas blasphémer. Par conséquent, ce n'est point pour son amendement, mais pour sa perdition éternelle, qu'il livra le fornicateur incestueux à Satan, auquel il était déjà passé par un crime plus abominable que ceux des païens, afin que l'on sût qu'il fallait éviter la fornication.
Enfin, l'Apôtre écrit « pour la perdition de sa chair,» et non pour la souffrance de sa chair, condamnant ainsi la substance elle-même qui avait failli, et qui était tombée dans la mort par la profanation de son baptême, « afin que son ame soit sauvée au jour de Notre-Seigneur, » dit-il. Après cela, il s'agit d'examiner si l'ame de cet homme sera sauvée. Quoi donc! une ame souillée d'un si grand crime serait sauvée, et la chair n'aurait été livrée à la destruction que pour lui épargner le châtiment? Si nous sacrifions ainsi la résurrection de la chair, l'opinion contraire conclura que l'âme peut souffrir sans le corps. Il ne lui reste donc plus qu'à l'assimiler à l'Esprit, qui prend naissance dans notre Eglise, et qu'elle doit rendre sain et sauf au jour du Seigneur, c'est-à-dire pur de toute contagion et de toute souillure, puisqu'elle rejette de son sein le fornicateur et l'incestueux. L'Apôtre, en effet, ajoute: « Ne savez-vous pas qu'un peu de levain aigrit toute la pâte? » Et cependant la fornication n'était pas un peu, mais beaucoup de levain.
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Über die Ehrbarkeit (BKV)
13. Kap. Der Blutschänder, der im ersten Korintherbriefe genannt wird, ist nicht, wie die Psychiker glauben, dieselbe Person mit dem Sünder, der im zweiten Korintherbriefe Verzeihung erhält.
Die falschen Vermutungen, denen sie sich auch S. 420 in Bezug auf diesen Punkt hingeben, sind uns freilich genugsam bekannt. Sie machen in Wirklichkeit die törichte Annahme, der Apostel Paulus habe im zweiten Korintherbriefe demselben Hurer Vergebung erteilt, über den er im ersten die Sentenz gesprochen hatte, er sei dem Satan zum Verderben des Fleisches zu übergeben, er, der ruchloserweise als Erbe in die Ehe seines Vaters eintrat. Also hätte er seine früheren Worte später ausgestrichen1, als er schrieb: „Wenn jemand Ursache zur Betrübnis gegeben hat, so hat er sie nicht mir gegeben, sondern zum Teil -- ich will nicht beschwerlich sein -- euch allen. Es genügt für einen solchen jene Züchtigung, die von vielen ausgeht, so daß ihr im Gegenteil vielmehr vergebet und tröstet, damit ein solcher nicht durch übermäßige Traurigkeit verschlungen werde. Darum bitte ich euch, daß ihr ihm Liebe zuwendet. Denn ich habe auch deswegen an euch geschrieben, um eure Bewährung zu erkennen, ob ihr mir in allem gehorcht. Wenn ihr aber jemand Vergebung habt zuteil werden lassen, dann auch ich. Denn auch ich habe, wenn ich etwas nachgelassen, es in Christo2 nachgelassen, damit wir nicht vom Satan hintergangen würden; denn seine Einflüsterungen sind uns nicht unbekannt”3.
Wo ist hier etwas, was auf den Hurer, was auf den Verunreiniger des Ehebettes seines Vaters, was auf den Christen, der die Schamlosigkeit der Heiden überboten hatte, zu beziehen wäre? Der Apostel würde jedenfalls einen, den er in spezieller Entrüstung verurteilt, doch auch ebenso in spezieller Vergebung losgesprochen haben4. Er ist ja in seiner Barmherzigkeit undeutlicher als in seiner Entrüstung! Er ist in seiner Strenge S. 421 besummier als in seiner Milde! Nun aber pflegt sich doch der Zorn mehr versteckt zu halten als die Nachsicht. Man zögert mehr mit traurigen als mit freudigen Dingen. Es handelte sich nämlich nur um eine Nachlassung in einer geringen Sache, die vielleicht nicht einmal besondere Aufmerksamkeit erregte, während doch die Nachlassung bei den größten Verbrechen nicht einmal ohne feierliche Verkündigung zu geschehen pflegt, geschweige denn gar ohne bestimmte Bezeichnung5.
Selbst du, wenn du die Brüder in die Kirche einführst, um für den büßenden Ehebrecher Fürbitte zu leisten6, läßest ihn im härenen Bußgewand, in Asche, S. 422 im schimpflichen und schauerlichen Aufzuge sich in der Mitte niederwerfen vor den Witwen und vor den Priestern; allen sucht er Tränen zu entlocken, aller Fußstapfen küsset er, aller Knie umfasset er, und auf ein solches Schicksal dieses Menschen predigst7 du, mit allen möglichen Reizmitteln des Mitleidens als „guter Hirt und preiswürdiger Vater”8, und suchst dann im Gewände der Parabel9 vom verlorenen Schaf deine Ziegen, damit ferner dein Schaf nicht noch einmal von der Herde fortlaufe -- als ob erst von nun an nicht gestattet wäre, was keinmal gestattet war10 --, flößest S. 423 du auch den übrigen Schafen Furcht ein, in dem Augenblick, wo du doch in Wirklichkeit die größte Nachsicht übst: der Apostel dagegen soll es mit Verzeihung der verbrecherischen Lust der Hurerei, die noch durch Blutschande erschwert war, so leicht genommen haben, daß er von ihm nicht einmal die geschilderten gesetzmäßigen Übungen der Buße, die du doch von ihm erlernen sollst, verlangt, keine Drohungen für die Zukunft gemacht und keine Ermahnungen für die Folgezeit hinzugefügt hätte?! Ja er geht noch weiter, er beschwört die Korinther, sie sollen dem Betreffenden Liebe zuwenden, wie einer, der etwas wieder gut macht, nicht wie einer, der verzeiht!11 Und doch, ich höre nur das Wort Liebe, nicht das Wort Kirchengemeinschaft. Ebenso spricht er auch im Briefe an die Thessalonicher: „Wenn einer nicht hört auf mein Wort in diesem Schreiben, den weiset zurecht und verkehret nicht mit ihm, damit er in sich gehe, aber haltet ihn nicht wie einen Feind, sondern tadelt ihn wie einen Bruder”12. Also hätte er wohl sagen können, daß auch dem Hurer nur Liebe zuteil geworden sei, nicht aber die Kirchengemeinschaft; dem Blutschänder aber auch nicht einmal Liebe, da er ihn nämlich aus ihrer Mitte -- noch viel mehr also aus ihrem Sinne -- zu entfernen befohlen hatte. S. 424
Aber er fürchtete wohl, sie würden vom Satan betrogen werden, durch das Verlorengehen einer solchen Person, die er selbst dem Satan übergeben hatte -- oder der werde durch übergroße Traurigkeit verzehrt werden, den er doch selbst dem Verderben des Leibes preisgegeben hatte?! Nun deuten sie schon in der in Rede stehenden Stelle13 das „Verderben des Leibes” auf die Leistung der Bußübung, die14 durch Fasten, schmutzige Kleidung, durch jegliche Selbstvernachlässigung und absichtliche Selbstpeinigung das Fleisch gleichsam aufreibe und Gott dadurch Genugtuung leiste, um daraus den Schluß abzuleiten, der Apostel habe den Hurer, ja sogar jenen Blutschänder nicht dem Satan zum Verderben übergeben, sondern zur Besserung, als werde er nachher wegen dieses Verderbens, d. i. wegen der Kasteiungen seines Leibes Verzeihung erlangen und habe sie also auch erlangt. -- Allerdings hat derselbe Apostel den Hymenäus und Alexander dem Satan übergeben, damit sie gebessert würden und nicht mehr lästerten, wie er an seinen Timotheus schreibt15. Allein er sagt auch, daß ihm selbst „ein Pfahl beigegeben sei, ein Engel des Satans, der ihm Backenstreiche versetze, damit er sich nicht überhebe”16. Wenn sie auch auf diese letztere Stelle den Finger legen, auf daß wir die von ihm dem Satan Überlieferten als nur zur Besserung, nicht zum Verderben ihm übergeben ansehen sollen, so frage ich, welche Ähnlichkeit hat denn Gotteslästerung und Blutschande mit einer Seele, die von diesen Dingen rein ist, ja, die aus keinem anderen Grunde als wegen ihrer höchsten Heiligkeit und vollkommenen Keuschheit hoch erhoben ist17, die beim Apostel allenfalls durch S. 425 Backenstreiche gezügelt werden sollte, das ist, wie man glaubt, durch Ohren- und Kopfschmerzen? Blutschande und Lästerung aber verdienten es, daß jene Menschen ganz18 dem Satan selber, nicht etwa bloß seinem Engel als Besitz überliefert wurden. Auch darin liegt ein Unterschied, ja darauf kommt sehr viel an, daß die Genannten, wie wir lesen, vom Apostel dem Satan förmlich übergeben wurden, dem Apostel selbst aber ein Engel des Satans nur beigegeben war.
Schließlich, als Paulus zum Herrn rief, was bekam er zu hören? „Meine Gnade genügt dir; denn die Kraft vollendet sich in der Schwachheit”19. Das kann man zu denen, die dem Satan übergeben sind, nicht sagen. Wenn aber das Vergehen des Hymenäus und Alexander, nämlich die Blasphemie, unvergebbar ist, sowohl in dieser als in jener Welt20, dann hat sicherlich der Apostel sie, die sich vom Glauben ab- und der Blasphemie zugewendet hatten, nicht, entgegen der Vorschrift des Herrn, mit der Hoffnung auf Verzeihung dem Satan übergeben. Darum hat er sie auch für schiffbrüchig im Glauben erklärt, für Leute, die bereits den Trost des Schiffleins der Kirche nicht mehr besitzen. Denn die Vergebung wird denen verweigert, welche vom Glauben aus21 in die Blasphemie gefallen sind. Die Heiden und Häretiker dagegen erheben sich jeden Tag aus der Blasphemie. Wenn er aber auch gesagt hat: „Ich habe sie dem Satan übergeben, damit sie lernen, nicht zu lästern”, so hat er das auf die anderen berechnet, welche, nachdem jene dem Satan übergeben, d. h. aus der Kirche hinausgestoßen waren, lernen sollten, daß man S. 426 nicht lästern dürfe22. So also hat er auch den Blutschänder dem Satan, zu dem er durch seine mehr als heidnische Sünde bereits übergetreten war, nicht zur Besserung, sondern zum Verderben überliefert, damit man an ihm lerne, keine Unzucht zu treiben.
Endlich sagt er: zum Untergang, nicht zur Peinigung des Fleisches, und verurteilt die Substanz selbst, mittels derer jener abgefallen war, welche von da an bereits dem Untergang verfallen war durch den Verlust der Taufe. „Damit der Geist”, heißt es, „gerettet werde am Tage des Herrn.” Denn auch in Bezug auf diesen Punkt muß man die Frage stellen, ob der Geist desselben23 Menschen gerettet werde? Gerettet also soll werden ein mit einem solchen Verbrechen befleckter Geist, nachdem der Leib deshalb zugrunde gerichtet worden ist? Gerettet soll er sein in der Strafe? Folglich würde die entgegengesetzte Meinung eine Bestrafung ohne Leib annehmen: damit geben wir die Auferstehung des Fleisches preis24. Es bleibt also nur eins übrig, nämlich daß er dem Geist, der unter der Kirche verstanden wird, Rettung zugesprochen habe, d. h. daß er am Tage des Herrn rein dastehen soll von der Befleckung jeglicher Unlauterkeit, nachdem der blutschänderische Unzüchtige hinausgeworfen ist. Denn er fügt hinzu: „Wißt ihr nicht, daß ein wenig Sauerteig den ganzen Teig durchsäuert?”25 Die blutschänderische Hurerei war aber doch nicht ein wenig Sauerteig, sondern eine ganze Masse.
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quasi vel ipsum postea stilum verterit, als ob er später den Griffel umgekehrt, mit umgekehrtem Griffel das früher Geschriebene später getilgt habe. ↩
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Nach der Lesart in Christo, andere lesen in persona Christi. ↩
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2 Kor. 2, 5--11. ↩
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nicht in so allgemeinen Ausdrücken sich bewegt haben, sondern ganz bestimmt das vorliegende Verbrechen bei der Verzeihung, wie bei der Strafe im 1. Korintherbriefe, bestimmt genannt haben. ↩
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De modica scilicet indulgentia agebatur, quae, si forte, nec aestimaretur, quando maxima quaeque non soleant etiam sine praedicatione donari, tanto abest sine significatione. Mit Recht liest Rauschen „nec aestimaretur”, statt „nunc aestimaretur”. Aber die Erklärung, die sowohl er wie d'Alès, L'Édit de Calliste, 1853 geben, ist unrichtig. Nach beiden soll T. ironisch sprechen, und der Sinn sei: incesti peccatum a catholicis pro modico haberi, quod, si fieri posset, ne aestimaretur quidem i. e. ne in peccatorum numero quidem censeretur. Allein das kann T. nicht sagen wollen. Der Satz ist nicht ironisch. In den vorhergehenden Sätzen hat T. zum Ausdruck gebracht, daß die Vergebung in 2 Kor. weniger ausdrücklich und feierlich sei als die Sentenz in 1 Kor., folglich nicht auf den Unzuchtssünder in 1 Kor. gehen könne. Dieselbe Folgerung zieht er im vorliegenden Satze, und der Sinn ist: Es handelte sich also um die Vergebung einer kleineren Sünde; eine solche erregt nicht so große Aufmerksamkeit und brauchte nicht in feierlicher Form zu geschehen, während doch (quando) die Vergebung schwerer Sünden überall (auch bei den Katholiken) nicht ohne feierliche Verkündigung (sine praedicatione), geschweige denn ohne bestimmte Bezeichnung zu geschehen pflegt. Daran schließt sich der folgende Satz an: Et tu quidem etc. Selbst du vergibst die schwere Sünde des Ehebruches nicht ohne große Feierlichkeit und unter bestimmten Zeremonien. So handelst du, ein so laxer Bischof, und der Apostel sollte anders gehandelt haben ?! Mit: Et tu quidem beginnt der Vordersatz, der Nachsatz beginnt mit Apostolus vero, nach maxime indulgens ist deshalb ein Doppelpunkt zu setzen. Die Übersetzung dieser Stelle bei Kellner und de Labriolle ist vollständig verfehlt. ↩
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Rauschen hat hier die richtige Lesart hergestellt ... paenitentiae moechi ad exorandum fraternitatem in ecclesiam inducens. Fraternitatem ist abhängig von inducens und paenitentiae moechi ist dativus finalis, der abhängig ist von ad exorandum, vgl. de paen. 10: Aeque illi (fratres) cum super te lacrimas agunt, . . . Christus patrem deprecatur. Paenitentiae moechi ist = der büßende Ehebrecher, vgl. Hoppe 19. ↩
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inque eum hominis exitum . . . contionaris. Kellner übersetzte : „damit es mit dem Mensehen den gewünschten Verlauf nehme” nach der Erklärung von Oehler: in hunc finem, ut pax ecclesiae paenitenti moecho reddatur. Übrigens ist die Lesart nicht sicher. Contionaris darf nicht übersetzt werden: „Du läßt dich titulieren”; die Bemerkung von Hoppe, contionari werde hier passivisch gebraucht = appellaris ist unrichtig. ↩
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Daß die Worte: bonus pastor et benedictus papa ungezwungen auf den Bischof von Karthago gehen können, habe ich gezeigt in der Schrift: Der Adressat der Schrift de pudicitia usw. Bonn 1914. ↩
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in parabola ovis unter Verwendung der Parabel vom verlorenen Schaf, oder wohl besser im Gewände der Parabel = du suchst dir den Anschein zu geben, als wärest du der Hirt in der Parabel, der das verlorene Schaf sucht. In dem Ausdruck capras tuas quaeris liegt eine spöttische Verhöhnung. ↩
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quasi non exinde iam liceat, quod nec semel licuit muß -- das fordert der Zusammenhang -- übersetzt werden, als ob erst von jetzt an nicht erlaubt wäre, was (doch eigentlich) auch nicht einmal erlaubt war. Jetzt setzest du deine Schafe in Furcht, drohest ihnen, als ob es erst von jetzt an unerlaubt wäre, sich durch eine schwere Sünde von der Herde zu trennen. Man erwartet nach „quasi non exinde iam liceat” „quod semel licuit” = als ob nicht auch fernerhin erlaubt sei, was einmal erlaubt war. Oder hat T. geschrieben „quasi non exinde iam non liceat, quod nec semel licuit” ? = als ob nicht fernerhin nur das nicht erlaubt ist, was keinmal erlaubt war. Du kannst nur das für die Zukunft als unerlaubt hinstellen, was auch das erstemal nicht erlaubt war. T. will seinen Gegner der Inkonsequenz beschuldigen, daß er die Wiederaufnahme nur einmal gestattet; vgl. de paen. 7 sed iam semel, quia iam secundo; sed amplius nunquam, quia proxime frustra, eine Stelle, die von Kellner unrichtig übersetzt worden, ist, „aber nur einmal, weil es schon das zweite Mal ist; aber nun nicht mehr, weil das nächste Mal schon vergebens”; es muß heißen; „aber weiterhin nicht mehr, weil vorher vergebens”. Die Stelle, richtig übersetzt, beweist, daß T. in de paen. die kirchliche Eekonziliation im Auge hat, sonst konnte er „quia proxime frustra” nicht schreiben. ↩
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Der Satz enthält nicht, wie Eauschen meint, Worte des Gegners, sondern Worte T.'s. Wie das Verfahren des Apostels nach der negativen Seite, insofern er nichts von Bußübungen sagt, beweist, daß die Stelle in 2 Kor. nicht auf den Blutschänder gehen kann, so auch das positive Verfahren. Er beschwört sogar die Korinther, dem betreffenden Sünder Liebe zu erweisen, was unmöglich wäre, wenn es sich um den Blutschänder handelte. ↩
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2 Thess. 8, 14 ff. ↩
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Hic bezeichnet die in Frage stehende Stelle im 1. Korintherbrief. Die Deutung des „in carnis interitum” auf die Bußdisziplin findet sich ebenfalls bei ürigenes an mehreren Stellen. ↩
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quod videatur etc. darf nicht übersetzt werden: weil jener Mensch usw.; quod bezieht sich auf officium paenitentiae. ↩
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1 Tim. 1, 20. ↩
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2 Kor. 12, 7. ↩
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elata darf nicht übersetzt werden „sich überhebt”; denn T. will keineswegs sagen, daß der Apostel sich überhoben habe, sondern daß seine Seele so hoch erhoben war, daß die Gefahr des Sichüberhebens eintreten konnte. ↩
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totos homines sind die genannten Menschen, der Blutschänder und die 1 Tim. 1, 20 genannten. ↩
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2 Kor. 12, 9. ↩
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Matth. 12, 31. ↩
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de fide, d. h. wenn sie vorher den wahren Glauben hatten und in der Kirche waren. Gegen die mildere Behandlung jener Häretiker, die von Anfang an in der Häresie aufgewachsen sind, hat T. nichts einzuwenden. Er stellt sie den Heiden an die Seite, weil er die von Häretikern gespendete Taufe als ungültig ansah; vgl. Kap. 19. ↩
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Die reinste Sophistik. Selbst in der Schrift de fuga Kap. 2 sagt er das Gegenteil. ↩
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Ipse steht hier statt idem Hoppe 104. ↩
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Nach T. kann der Geist ohne den Leib nichts leiden. In dieser Beziehung hat er aber nicht immer einheitlich gesprochen. ↩
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1 Kor. 5, 6. ↩