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Bibliothek der Kirchenväter
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Œuvres Augustin d'Hippone (354-430)

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Zweiundzwanzig Bücher über den Gottesstaat (BKV)

7. Die Greuel bei der Eroberung Roms sind auf den Kriegsbrauch zurückzuführen; die Erweise von Milde dagegen flossen aus der Kraft des Namens Christi.

Was sich also bei der jüngst erfolgten Vernichtung Roms zutrug an Verwüstung, Mord, Raub, Brand und Not, das hat der Kriegsbrauch verschuldet; was aber dabei Neues vorkam, die ganz ungewohnte Erscheinung, wonach sich rohe Barbaren so milde zeigten, daß man, um des Volkes zu schonen, die weiträumigsten Kirchen auswählte und zu Sammelplätzen bestimmte, an denen niemand getötet, niemand der Freiheit beraubt Band 1, S. 34werden sollte, wohin zu ihrer Rettung viele von mitleidigen Feinden geführt, von wo zur Gefangennahme auch von grausamen Feinden niemand fortgeführt werden durfte: das muß man dem Namen Christi und dem christlichen Zeitalter zuschreiben, und wer das nicht einsieht, ist blind, wer es einsieht und nicht anerkennt, ist undankbar, wer gegen die Anerkennung Widerspruch erhebt, ist nicht bei Trost. Kein Verständiger wird ein derartiges Verhalten wilden Barbaren als solchen zutrauen. Vielmehr wurde ihr blutdurstiger und grausamer Sinn zurückgeschreckt, gezügelt und wunderbar zur Milde gestimmt von dem, der durch den Mund des Propheten längst vorher gesprochen hat: „Ich suche mit der Rute ihre Frevel heim und mit Streichen ihre Sünden; doch meine Huld werde ich ihnen nicht entziehen“1.


  1. Ps. 88, 33 f. ↩

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La cité de dieu

CHAPITRE VII.

LES CRUAUTÉS QUI ONT ACCOMPAGNÉ LA PRISE DE ROSIE DOIVENT ÊTRE ATTRIBUÉES AUX USAGES DE LA GUERRE, TANDIS QUE LA CLÉMENCE DONT LES BARBARES ONT FAIT PREUVE VIENT DÉ LA PUISSANCE DU NOM DU CHRIST.

Ainsi donc, toutes les calamités qui ont frappé Rome dans cette récente catastrophe, dévastation, meurtre, pillage, incendie, violences, tout doit être imputé aux terribles coutumes de la guerre; mais ce qui est nouveau, c’est que des barbares se soient adoucis au point de choisir les plus grandes églises pour préserver un plus grand nombré de malheureux, d’ordonner qu’on n’y tuât personne, qu’on n’en fit sortir personne, d’y conduire même plusieurs prisonniers pour les arracher à la mort et à l’esclavage; et voilà ce qui ne peut être attribué qu’au nom du Christ et à l’influence de la religion nouvelle. Qui ne voit pas une chose si évidente est aveugle; qui la voit et n’en loue pas Dieu est ingrat; qui s’oppose à ces louanges est insensé. Loin de moi l’idée qu’aucun homme sage puisse faire honneur de cette clémence aux barbares. Celui qui a jeté l’épouvante dans ces âmes farouches et inhumaines, qui les a contenues, qui les a miraculeusement adoucies , est celui-là même qui a dit, dès longtemps, par la bouche du Prophète: « Je visiterai avec ma verge leurs iniquités, et leurs péchés avec mes fléaux; mais je ne leur retirerai point ma miséricorde 1 »


  1. Psalm. LXXXVIII, 33, 34 ↩

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