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De la trinité
CHAPITRE IV.
LE NOMBRE SIX.
- Ce rapport de l’unité à la dualité nous ramène au nombre trois, puisque deux et un font trois. Mais ce dernier nombre multiplié par lui-même nous donne six, car un, plus deux, et plus trois font six. Or, ce nombre six est dit un nombre parfait, parce qu’il est complet en toutes ses subdivisions, savoir l’unité, le tiers et la moitié; sans qu’on puisse le concevoir sous quelque autre rapport. Ainsi l’unité donne six, le tiers, deux, et la moitié, trois. Pareillement, un plus deux, et plus trois font six. L’Ecriture elle-même nous indique cette perfection numérique, quand elle nous dit que Dieu acheva l’oeuvre de la création en six jours, et qu’au soir du sixième jour il créa l’homme à son image ( Gen., I, 27 ). Nous voyons également que le Fils de Dieu s’est incarné au sixième âge du monde, et qu’il devint alors Fils de l’homme pour réformer l’homme selon l’image et la ressemblance du Créateur. Nous vivons en effet dans le sixième âge, soit (407) que l’on distribue les siècles écoulés par période millénaire, soit qu’on les divise par les grands événements de l’histoire sainte. Ainsi, le premier âge s’étend d’Adam à Noé; le second, de Noé à Abraham; le troisième, en suivant l’ordre établi par saint Matthieu, d’Abraham à David; le quatrième, de David à la captivité de Babylone; et le cinquième, du retour de la captivité à l’enfantement de la Vierge Marie. En admettant cette division chronologique, on trouve que le sixième âge a commencé à la naissance de Jésus-Christ pour se continuer jusqu’à ce jour qui nous est inconnu, et après lequel il n’y aura plus de temps.
Sous un autre rapport, ce nombre six nous représente dans sa triple division, celle des siècles écoulés. Car nous comptons l’ère d’avant la loi, l’ère de la loi, et l’ère de la grâce. C’est en cette dernière que l’homme a reçu le sacrement de la réconciliation, afin que la résurrection générale coïncidant avec le dernier jour de l’univers, il soit alors entièrement renouvelé en la beauté de son âme, et l’infirmité de son corps. Nous pouvons donc reconnaître une figure de l’Eglise en la personne de cette femme que Jésus-Christ guérit de l’infirmité par laquelle Satan la tenait courbée ( Luc, XIII, 16 ). Car, c’est de ce genre d’ennemis cachés et secrets que se plaint le psalmiste, quand il dit : « Ils ont courbé mon âme ( Ps., LVI, 7 ) ». Or, cette femme était infirme depuis dix-huit ans, c’est-à-dire depuis trois fois six ans. De plus, le nombre des mois qui composent cette période, depuis dix-huit ans, forme un total de deux cent seize; et ce total lui-même est le produit de six multiplié par trente-six. Nous lisons également dans l’Evangile que depuis trois ans le figuier stérile ne portait point de fruits, et que le jardinier obtint pour lui le délai d’une année, après laquelle il devait être coupé, s’il restait encore infructueux ( Luc, XIII, 6-17 ). Mais ici ces trois années se rapportent aux trois périodes que j’ai signalées, et le nombre des mois forme le carré de six,. c’est-à-dire six fois six.
- L’année civile elle-même avec son cycle de douze mois, qui comprennent chacun trente jours, selon que les anciens en avaient réglé le cours sur celui de la lune, l’année, dis-je, n’est qu’un multiple du nombre six. Et en effet, de même que six plus quatre font dix, soixante plus quarante font cent, en sorte que soixante est la sixième partie de l’année. Car si nous multiplions ensuite soixante par six, nous obtiendrons trois cent soixante, c’est-à-dire douze mois de trente jours. Toutefois, si le cycle lunaire détermine le nombre des mois, le cours du soleil règle celui de l’année. Or, il reste en plus cinq jours et un quart pour que le soleil et l’année terminent également leur révolution ; mais parce que ce quart multiplié par quatre, donne un jour entier, on l’intercale chaque cinquième année, et de là vient le nom de bis-sextile qui lui est affecté. Enfin ces cinq jours et quart nous offrent d’intimes relations avec le nombre six. D’abord, si nous voulons compter par nombres ronds, nous trouverons six jours plutôt que cinq en prenant le quart pour un jour entier. De plus ces cinq jours forment le sixième du mois, de même que six heures nous donnent le quart du jour. Et en effet un jour entier, c’est-à-dire le jour et la nuit, se compose de vingt-quatre heures, dont le quart est six. Telle est la corrélation du cours de l’année civile avec le nombre six.
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Fünfzehn Bücher über die Dreieinigkeit
4. Kapitel. Die Beziehung der Eins zur Zwei ist begründet in der Vollkommenheit der Sechszahl.
7. Diese Beziehung aber der Eins zur Zwei hat ihren Ursprung in der Dreizahl. Eins und zwei ist nämlich drei, und die Gesamtheit der Zahlen, die ich nannte, führt zur Sechszahl. Denn eins und zwei und drei ist sechs. Diese Zahl heißt deshalb vollkommen, weil sie die Summe jener Zahlen darstellt, durch die sie teilbar ist. Sie besteht aus drei derartigen Teilen: dem sechsten, dem dritten Teil und der Hälfte. Durch eine weitere Zahl ist sie nicht teilbar. Der sechste Teil von ihr ist eins, der dritte zwei, die Hälfte drei. Eins und zwei und drei ergeben die Summe sechs. Die Vollkommenheit der Sechszahl deutet uns die Heilige Schrift an, vor allem dadurch, daß Gott in sechs Tagen seine Werke vollbrachte und am sechsten Tag der Mensch nach dem Bilde Gottes geschaffen wurde.1 Im sechsten Zeitalter des menschlichen Geschlechtes kam der Sohn Gottes und wurde Menschensohn, um uns nach dem Bilde Gottes zu erneuern. In diesem Zeitalter stehen wir jetzt, mag man jedem einzelnen Zeitalter tausend Jahre zuweisen oder in der Heiligen Schrift gleichsam nach beachtenswerten und erkenntlichen Zeitabschnitten spüren, so daß man von Adam bis Noe das erste Zeitalter annimmt, daraufhin bis Abraham das zweite, dann nach der Einteilung des Evangelisten Matthäus von Abraham bis David eines, von David bis zum babylonischen Exil ein weiteres, von da an bis zur Jungfrauengeburt ein S. 150 letztes.2 Diese drei letzten Zeitalter geben mit den beiden ersten zusammen fünf. Das sechste begann sonach mit der Geburt des Herrn; es läuft jetzt ab bis zum unbekannten Ende der Zeiten. Daß die Sechszahl ein gewisses Bild der Zeit ist, erkennen wir auch an jener Dreiteilung, nach welcher wir die Zeit vor dem Gesetze, die Zeit unter dem Gesetze und die Zeit unter der Gnade rechnen. In dem letzten Zeitalter haben wir das Geheimnis der Erneuerung empfangen, auf daß wir am Ende der Zeit, wenn wir durch die Auferstehung auch des Fleisches die volle Erneuerung gewinnen, von jeglicher Schwäche nicht nur der Seele, sondern auch des Leibes geheilt werden. Das gleiche findet man bei der ein Vorbild der Kirche darstellenden, vom Herrn geheilten und aufgerichteten Frau, welche der Satan mit einer Krankheit heimgesucht hatte, die sie ganz verkrümmt hatte. Über solche verborgene Feinde klagt das Psalmwort: „Sie haben meine Seele gekrümmt.“3 Diese Frau aber litt achtzehn Jahre, das heißt dreimal sechs Jahre an ihrer Krankheit. Wenn man die Monate von achtzehn Jahren berechnet, so ergeben sich sechs mal sechs mal sechs, das heißt insgesamt sechs in der dritten Potenz. Gleich daneben steht im gleichen Evangelium an derselben Stelle die Erzählung vom Feigenbaum, dessen betrübliche Unfruchtbarkeit sich schon drei Jahre zeigte. Es wurde für ihn um Schonung für dieses Jahr gebeten unter der Bedingung, daß es sein Bewenden haben solle, wenn er Frucht bringe, daß er aber ausgehauen werden solle, wenn er keine bringe.4 Auch diese drei Jahre weisen wieder auf die Dreiteilung hin, und die Monate von drei Jahren ergeben sechs mal sechs, das heißt sechs im Quadrat.
8. Auch ein Jahr weist, wenn man die zwölf Monate in ihrer Gesamtheit ins Auge faßt, sofern sie je dreißig Tage haben — die Alten nämlich berechneten die Monate nach dem Mondumlauf —, die Sechszahl auf. Was S. 151 nämlich die Sechs in der ersten Zahlenreihe ist, die aus Einern besteht und bis zur Zehn reicht, das ist die Zahl sechzig für die zweite Zahlenreihe, die aus Zehnern besteht und bis zu hundert reicht. Sechzig Tage bilden so den sechsten Teil des Jahres. Die Sechs der zweiten Reihe wird daher durch die Sechs der ersten Reihe vermehrt. Das ergibt sechs mal sechzig oder dreihundertsechzig Tage. So viele Tage haben die Monate in ihrer Gesamtheit. Wie der Monat vom Mondumlauf bestimmt wird, so das Jahr vom Sonnenumlauf. Doch bleiben fünf und ein viertel Tage übrig, bis die Sonne ihren Lauf vollendet und das Jahr abschließt. Vier viertel Tage geben einen ganzen Tag. Daher muß man jedes vierte Jahr einen Tag einschalten. Infolgedessen heißt es Schaltjahr. So wird eine Unordnung in der Zeitberechnung verhütet. Wenn wir nun die fünf Tage und einen viertel Tag ins Auge fassen, so hat auch hier die Sechszahl ihre große Bedeutung. Einmal weil man das Ganze nach dem Teil zu berechnen pflegt und es daher nicht fünf, sondern sechs Tage sind, sofern man die Vierteltage für einen Tag rechnet. Dann weil die fünf Tage den sechsten Teil des Monats ausmachen, andererseits der Vierteltag sechs Stunden hat. Der ganze Tag einschließlich der Nacht hat nämlich vierundzwanzig Stunden, wovon der vierte Teil, den ein Vierteltag darstellt, eben sechs Stunden ausmacht. So hat die Sechszahl im Jahreslauf ihre große Bedeutung.