Übersetzung
ausblenden
On the Mortality
8.
But nevertheless it disturbs some that the power of this Disease attacks our people equally with the heathens, as if the Christian believed for this purpose, that he might have the enjoyment of the world and this life free from the contact of ills; and not as one who undergoes all adverse things here and is reserved for future joy. It disturbs some that this mortality is common to us with others; and yet what is there in this world which is not common to us with others, so long as this flesh of ours still remains, according to the law of our first birth, common to us with them? So long as we are here in the world, we are associated with the human race in fleshly equality, 1 but are separated in spirit. Therefore until this corruptible shall put on incorruption, and this mortal receive immortality, and the Spirit 2 lead us to God the Father, whatsoever are the disadvantages of the flesh are common to us with the human race. Thus, when the earth is barren with an unproductive harvest, famine makes no distinction; thus, when with the invasion of an enemy any city is taken, captivity at once desolates all; and when the serene clouds withhold the rain, the drought is alike to all; and when the jagged rocks rend the ship, the shipwreck is common without exception to all that sail in her; and the disease of the eyes, and the attack of fevers, and the feebleness of all the limbs is common to us with others, so long as this common flesh of ours is borne by us in the world.
Übersetzung
ausblenden
De la mortalitaté
VIII.
1° Mais il en est qui s’étonnent de voir que les fidèles tombent aussi bien que les idolâtres sous les coups de la contagion. — On se fait donc chrétien pour se mettre à l’abri des maux de cette vie, pour jouir de toutes les félicités du siècle, et non pour souffrir ici-bas toutes sortes d’adversités, en vue de la joie future? Il en est qui s’étonnent de voir que la mort nous frappe comme les autres. — Mais, dans ce monde, tout nous ‘est commun avec le reste des hommes puisque, selon les lois de la nature, nous avons la même chair. Tant que nous restons sur cette terre, nous appartenons au genre humain par te corps, nous en sommes séparés par l’esprit. Ainsi, en attendant que cc corps corruptible revête l’incorruptibilité, que cette chair sujette à la mort devienne immortelle et que l’Esprit nous conduise à Dieu le Père, toutes les incommodités corporelles, quelles qu’elles soient, nous sont communes avec les autres hommes. Lorsque la terre nous refuse ses fruits, la, faim n’épargne personne. Lorsqu’une ville tombe entre les mains des ennemis, tous les citoyens deviennent captifs. Lorsque l’implacable sérénité du Ciel empêche l’action des pluies, la sécheresse est la nième pour tous. Qu’un navire se brise sur les écueils, tous les passagers, sans exception, périront dans un naufrage commun. Il en est de même de toutes les maladies: douleurs des yeux, accès de fièvre, infirmités des membres; elles nous sont communes avec le reste des hommes, parce que nous avons la même chair.