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Œuvres Cyprien de Carthage (200-258) De zelo et livore

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Über Eifersucht und Neid (BKV)

Kap. 12. Auch mit der Bezeichnung der Seinigen als Lämmer und Schafe hat Christus uns eingeschärft, gehorsam seine Gebote, besonders das der Liebe, zu erfüllen.

Wir müssen bedenken, mit welchem Ausdruck Christus sein Volk benennt, mit welchem Namen er seine Herde bezeichnet. „Schafe„ heißt er sie1 , damit die christliche Unschuld der der Schafe ähnlich werde; „Lämmer“ nennt er sie, damit ihr schlichter Sinn das einfältige Wesen der Lämmer sich zum Vorbild nehme. Was verbirgt sich der Wolf unter dem Schafskleide2 , was schändet mancher den guten Ruf der Herde Christi, der nur fälschlich vorgibt, ein Christ zu sein? Christi Namen sich beizulegen, ohne auf Christi Weg zu wandeln was ist das anderes als ein Betrug am göttlichen S. 324 Namen, als ein Abirren vom Wege des Heils? Lehrt und sagt er doch selbst, nur der gelange zum Leben, der die Gebote Gottes halte3 , und nur der sei weise, der seine Worte höre und danach tue4 ; auch werde nur der ein wirklich großer Lehrer im Himmelreich genannt, der nach seiner Lehre auch handle5 , und dem Prediger werde das, was er treffend und mit Nutzen verkündigt habe, nur dann zugute kommen, wenn er dem, was sein Mund spricht, nachher auch die Tat folgen lasse. Was aber hat der Herr seinen Jüngern häufiger ans Herz gelegt, was hat er ihnen unter seinen heilsamen Mahnungen und himmlischen Lehren gewissenhafter zu halten und zu beobachten geboten, als daß mit derselben Liebe, die er selbst seinen Jüngern entgegenbrachte, auch wir uns gegenseitig lieben sollten?6 Wie aber bewahrt der den Frieden oder die Liebe des Herrn, der vor lauter Eifersucht weder friedlich noch liebreich sein kann?


  1. Joh. 10, 12; 21, 15ff. ↩

  2. Matth. 7, 15. ↩

  3. Matth. 19,17. ↩

  4. Matth. 7, 24. ↩

  5. Matth. 5, 19. ↩

  6. Joh. 13, 34f: 15, 12 f. ↩

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De la jalusie et de l'envie

XII.

Rappelons-nous le nom que le Christ donne à son peuple. Il nous appelle ses brebis, parce que la douceur chrétienne doit être celle de la brebis; il nous appelle ses agneaux, parce que notre simplicité doit être celle de l’agneau. Eh quoi donc! un loup se cacherait sous la toison de la brebis! un faux frère attirerait l’infamie et la honte sur le troupeau du Christ! Porter le nom du Christ et ne pas suivre la route qu’il nous a tracée est-ce autre chose que forfaire à sa vocation et abandonner le chemin du salut?

Le Seigneur nous dit que, pour arriver à la vie éternelle, nous devons observer ses commandements; il nous dit encore que le vraI sage est celui qui entend ses paroles et les met en pratique; il ajoute que le docteur le plus grand dans le royaume du Ciel est celui qui accomplit d’abord la loi et l’enseigne ensuite. Nous devons comprendre par là que la prédication n’est utile à. celui qui la fait qu’autant qu’il met en pratique les leçons qui sortent de sa bouche. Or, quel est le précepte que Jésus-Christ a renouvelé le plus souvent et avec le plus d’insistance? n’est-ce pas celui de la charité? Il veut que nous nous aimions les uns les autres, comme il nous a aimés lui-même., Mais comment conservera-t-il ce dépôt sacré, celui qui, en proie aux fureurs de l’envie, ne peut avoir ni la paix ni la charité?

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De la jalusie et de l'envie
On Jealousy and Envy Comparer
Über Eifersucht und Neid (BKV)

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