12.
L'ABBÉ GERMAIN. Nous désirions savoir, mon Père, comment on peut acquérir et conserver cette patience , afin que nous gardions cette paix du coeur, comme nous gardons le silence dans nos monastères; car souvent on retient sa langue, mais l'âme crie à l'intérieur. Il semble qu'on ne peut bien conserver la douceur, qu'en vivant seul dans une cellule solitaire.