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Werke Johannes Chrysostomus (344-407) De virginitate

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Traité de la virginité

52.

Supposons qu'un mari soit naturellement jaloux, ou qu'il le devienne, même sans aucun motif réel; est-il un être plus malheureux? Le toit conjugal sera désormais un vrai champ de bataille, et une mer furieuse tout y est plein de tristesse et de soupçons , de querelles et de troubles. Cette passion insensée produit tous les effets d'une démence furieuse : celui qu'elle possède est inquiet, agité, brusque, violent et emporté contre tous ceux qui l'entourent, coupables ou innocents, esclaves ou enfants. Pour lui plus de plaisirs; il ne rencontre sous ses pas que le deuil, la tristesse et l'amertume. Au seuil du foyer domestique , sur la place publique et en voyage, un noir chagrin l'accompagne; l'aiguillon de la jalousie déchire son coeur, et une douleur poignante trouble son repos. Faut-il donc s'étonner que cette humeur sombre et mélancolique amène souvent une véritable frénésie? Une seule de ces tortures si diverses et si nombreuses suffirait pour rendre un homme malheureux : que sera-ce donc si elles se réunissent pour l'attaquer et le presser sans relâche? est-il une mort plus cruelle? Oui, la plus extrême indigence, la maladie la plus douloureuse, et le supplice du glaive ou du bûcher ne sont rien en comparaison de telles souffrances : il faut les avoir éprouvées pour les comprendre.

Hélas ! il suspecte une épouse qu'il aimé, et pour laquelle il donnerait son sang; qui pourrait guérir la blessure de son coeur? Les mets de sa table lui semblent receler un perfide poison, et le sommeil ne visite jamais une couche sur laquelle il se roule dans sa douleur et dans son angoisse comme sur des charbons ardents. C'est en vain que l'amitié l'entoure, que lés affaires l'appellent, que la crainte de périls imminents le presse, et que le plaisir l'entraîne; rien ne saurait dissiper sa constante inquiétude , et le tourment qui l'agite le rend insensible à tous les maux de la vie, non moins qu'à toutes ses fêtes. Aussi Salomon avait-il bien raison d'assurer que la jalousie est inflexible comme l'enfer. (Cant. VIII, 6.) L'époux outragé, dit-il encore, est implacable dans sa fureur; il ne pardonnera pas au jour de la vengeance; les prières ne pourront le fléchir, et les présents ne le désarmeront point. (Prov. VI, 34, 35.) Tel est même le caractère particulier de cette passion que la vengeance devient impuissante à cicatriser les blessures du coeur. Plusieurs ont frappé un rival odieux, et n'ont pu bannir la douleur, ni le souvenir de l'affront reçu. Plusieurs ont égorgé une épouse soupçonnée et n'ont fait qu'alimenter la flamme qui les dévorait.

Mais si de simples soupçons sans fondement suffisent pour amener à ce triste état un époux prévenu, comment dépeindre la situation de sa malheureuse épouse? elle est mille fois plus pénible encore. Celui qui devrait être son consolateur et son soutien, dans ses peines et ses chagrins, est devenu pour elle un tyran barbare et un ennemi cruel. Infortunée ! où aller? quel asile s'ouvrira à sa détresse? et quel refuge abritera son malheur? Hélas ! tout port de salut lui est fermé; et elle se heurte aux nombreux écueils du désespoir. Ses serviteurs eux-mêmes l'humilient bien plus encore que son époux, car ils sont naturellement ingrats et soupçonneux, et ils exploitent la mésintelligence de leurs maîtres pour secouer le joug de l'obéissance, et satisfaire leurs instincts méchants. Ils peuvent mentir impunément; et ils s'étudient à entretenir par la calomnie les soupçons d'un mari jaloux; et celui-ci n'est que trop disposé à prêter une oreille facile à tous leurs rapports. Il ne sait plus distinguer la vérité d'avec le mensonge, ou plutôt il admet comme réel tout ce qui entretient son aveuglement, et rejette comme faux tout ce qui pourrait le dissiper. Ainsi cette malheureuse épouse craint et redoute ses serviteurs non moins que son mari; elle est même contrainte de céder à leur influence, et de se rendre leur esclave. Mais quand cessera pour elle l'amertume des larmes? Quelle nuit, quelle journée et quelle fête ne s'écoulent pas dans les pleurs, les gémissements et la douleur? Que dire des menaces, des insultes et des reproches dont l'accablent un époux qui se croit offensé, et une troupe de valets insolents? Elle est comme gardée à vue, et dominée par la crainte et la terreur. Tous ses mouvements sont épiés, son regard et ses paroles sont observés, et ses soupirs eux-mêmes sont interrogés avec- une scrupuleuse curiosité. Il faut donc que, froide comme un marbre, elle dévore silencieusement tous ces outrages, et qu'elle vive prisonnière et enchaînée dans sa maison. Elle ne peut faire un pas, ni dire une parole, ni pousser un soupir, sans en rendre compte aux juges corrompus qui l'entourent et la surveillent. Et maintenant mettez en parallèle, avec ces tribulations, la fortune, le luxe des festins, et le grand nombre des esclaves, l'éclat de la naissance, la splendeur des dignités, la gloire personnelle et l'illustration de la famille; ajoutez encore tout ce qui peut rendre l'existence douce et agréable, et dites-moi si en face de ces douleurs multipliées, le plaisir ne s'évanouit pas promptement tout entier : ah ! une goutte d'eau est moins perdue dans l'abîme de l'Océan !

Tels sont les maux que cause la jalousie dans le coeur d'un époux. Si elle attaque celui de la femme, et combien en voyons-nous d'exemples ! le mari sera moins malheureux, je l'avoue; quant à son épouse, elle verra ses douleurs s'accroître comme dans une progression indéfinie. Elle ne peut soutenir la lutte à armes égales; quel mari supporterait qu'on lui interdît toute sortie au dehors? Et quel serviteur oserait surveiller un maître qui pourrait le châtier rigoureusement? Ainsi pour elle nulle consolation, pas même celle de l'espionnage, ou des récriminations. Et en effet son époux lui permettra peut-être quelques reproches une ou deux fois; mais si elle les renouvelle, il lui apprendra que le meilleur pour elle est de ronger son frein en silence. J'ai supposé jusqu'ici que les soupçons des deux époux sont également injustes : admettons au contraire qu'ils sont fondés à l'égard de la femme. Qui pourra l'arracher à l'implacable vengeance d'un mari offensé? Nos. lois le favorisent, et il livrera à toute leur rigueur cette femme qu'il aime avec passion. Mais est-ce lui qui est le coupable? il échappe facilement à la justice humaine, et ne ressort que du tribunal du souverain Juge. Cette certitude n'est d'ailleurs pour cette infortunée qu'une bien faible consolation; et elle s'éteint chaque jour sous l'action délétère du philtre que lui verse une main perfide. Souvent même il devient inutile d'employer tous ces charmes; le chagrin la tue, et. prévient un crime.

Je conseillerais donc à une femme de refuser tous ceux qui prétendraient à sa main, quel qu'en fût le nombre. Elle ne peut être admise à dire que les joies du mariage l'entraînent irrésistiblement, puisque ces prétendues joies ne recèlent que de véritables douleurs. Je viens de le prouver. Mais ces tribulations, dira-t-on, se rencontrent-elles dans tous les mariages? presque dans tous; tandis que l'état de virginité en est entièrement exempt. Si une épouse n'est point présentement malheureuse, elle redoute de le devenir. Et qui peut se marier sans s'exposer à tous les inconvénients du mariage? Une vierge au contraire jouit de son bonheur, et ne craint point de le perdre. Sans doute, je le reconnais, tous les époux ne sont pas jaloux; mais l'union conjugale ne connaît-elle que ces tribulations? Si vous en évitez une, vous vous heurtez contre vingt autres. Quand on suit un sentier étroit et.bordé d'épines, on ne peut se garantir des unes qu'en se déchirant aux autres; c'est ainsi que dans le mariage une souffrance évitée en amène une autre plus grande encore, et que vous n'échappez à une douleur que pour tomber dans un malheur plus sensible. Ah ! qu'il est difficile de trouver une union parfaitement heureuse !

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Vom jungfräulichen Stande (BKV)

52. Welch’ großes Uebel die Eifersucht sei.

Wenn Jemand von Natur aus zur Eifersucht hinneigt und aus irgend einem, auch unwahren Grunde von diesem Uebel ergriffen wird, was ist wohl bedauerungswürdiger, als eine solche Seele? Wenn wir Krieg und Sturm mit einem solchen Hause vergleichen, so werden wir ein genaues Bild dieses Zustandes zu erlangen vermögen: Alles ist voll Trauer, Alles voll Verdacht und Streit und Verwirrung. Denn wer von diesem Wahnsinn befallen ist, dem ergeht es nicht besser, als den Besessenen und Irrsinnigen. So springt er fortwährend auf, wirft sich nieder, ist gegen Alle aufgebracht und läßt seinen Zorn ohne Ausnahme, selbst an den Schuldlosen aus, sei es Knecht oder Sohn oder irgend ein Anderer. Der Friede wird gänzlich verscheucht, dagegen Alles erfüllt von Kummer und Trauer und Unannehmlichkeit. Ob er zu Hause bleibt, ob er auf den Markt geht oder eine Reise unternimmt, überall ergreift das Uebel seine Seele, indem sie ihn heftiger stachelt und reizt, als jeglicher Stachel, und nie zur Ruhe kommen läßt; denn diese Krankheit pflegt nicht bloß Trauer, sondern auch eine unerträgliche Wuth zu erzeugen. Aber jede dieser Folgen dürfte schon allein hinreichen, den von dieser Krankheit Ergriffenen zu Grunde zu richten; wenn sie nun aber, mit einander verbunden, ihn überfallen, ohne Unterlaß quälen, ihm keinen Augenblick Ruhe gestatten, wäre das nicht ärger, als sterben ? Denn nenne man mir die äußerste Armuth, eine unheilbare Krankheit, Feuer oder Schwert, so kommt das diesem Uebel nicht gleich: und das weiß nur jener genau, der es erfahren hat; denn keine Zunge vermag die Größe des Uebels zu schildern. Denn wenn der Mann jene, welche ihm unter Allen die Theuerste ist und für die er sogar sein Leben gerne hingeben würde, stets im Verdachte zu haben genöthigt wird: was sollte ihn dann noch überhaupt S. 239 zu trösten vermögen? Denn sei es, daß er sich zur Ruhe begeben, sei es, daß er Nahrung und Trank zu sich nehmen soll: er wird eher meinen, daß der Tisch mit tödtlichem Gifte, als mit Speisen besetzt sei. Auf seinem Lager wird er auch nicht einen Augenblick rasten, sondern Unruhe empfinden und sich hin und her werfen, als läge er auf glühenden Kohlen; und weder der Umgang mit Freunden, noch die Besorgung von Geschäften, noch die Furcht vor Gefahren, noch große Lustbarkeiten, noch etwas Anderes kann ihn von diesem Sturme befreien; vielmehr beherrscht dieser Sturm seine Seele tyranischer, als jegliche Trübsal und Trauer. Nachdem Salomon dieses erkannt, rief er aus: „Hart wie die Hölle ist die Eifersucht;“1 und wiederum: „Der eifernde Grimm des Mannes schonet nicht am Tag des Gerichtes, noch wird er sich von Jemand erbitten lassen, auch nicht noch so viele Gaben zum Lösegeld annehmen.“2 Denn so groß ist die Wuth dieser Krankheit, daß der Schmerz selbst nach der Bestrafung des Schuldigen nicht nachläßt. Viele haben daher, selbst nachdem sie den Ehebrecher aus dem Wege geräumt, den Zorn und Kummer oft nicht zu stillen vermocht. Andere wurden, nachdem sie ihre Weiber geschlagen, fortwährend auf gleiche Weise, ja noch heftiger von diesem Feuer verzehrt; und der Mann seufzt unter diesen Uebeln, auch wenn nichts wahr ist. Die Unglückliche und Geplagte aber hat noch weit Härteres als der Mann zu ertragen. Denn wohin soll sie sich wenden, da sie den, welcher der Trost in allen Trübsalen sein und von dem sie Hilfe erwarten soll, wild und auf das Furchtbarste ergrimmt gegen sich erblickt? Zu wem soll sie ihre Zuflucht nehmen? Wo Hilfe im Unglücke suchen, da ihr dieser Hafen verschlossen und mit unzähligen Hindernissen angefüllt ist? Sodann benehmen sich selbst Knechte und Mägde übermüthiger, als der Mann, gegen sie; denn diese Menschenklasse ist zwar ohnehin schon argwöhnisch und undankbar; wenn sie aber mehr Freiheit bekommt und die Herr- S. 240 schaft unter einander entzweit sieht, so nimmt sie aus der Zwietracht jener nicht geringen Anlaß für ihre eigene Schlechtigkeit. Denn jetzt ist es ihnen gestattet, was sie nur immer wollen, ohne alle Gefahr auszuführen und sich zu verstellen und den Verdacht durch ihre Verläumdungen noch zu verstärken. Denn eine Seele, welche einmal von dieser pestartigen Krankheit angesteckt ist, glaubt Alles leicht und kann, weil sie das Ohr Allen gleichmäßig öffnet, die Verleumder nicht von denen unterscheiden, die es nicht sind; ja es scheinen ihr mehr jene die Wahrheit zu sagen, welche den Verdacht vergrößern als die, welche ihn zu beseitigen suchen. Sie muß sich daher von nun an vor jenen entlaufenen Sklaven und ihren Weibern mehr fürchten und mehr zittern als vor ihrem Gatten und, nachdem sie die ihr gebührende Stellung ihnen abgetreten, dafür deren Stelle einnehmen. Und wann wird sie nun ohne Thränen leben können? In welcher Nacht? An welchem Tage? An welchem Feste? Wann ohne Seufzer, ohne Wehklagen, ohne Jammer? Fortwährend Drohungen, Beschimpfungen, Lästerworte: jetzt von dem grundlos verletzten Manne, dann von dem schlechten Gesinde; Eine, zwei Wachen; Alles voll Furcht und Zittern! Denn nicht bloß ihr Aus- und Eingehen, sondern sogar ihre Worte, ihre Mienen, ihre Seufzer werden genau und neugierig ausgeforscht und sie muß unempfindlicher als die Steine sein. Alles mit Stillschweigen ertragen; sie muß, schlimmer wie ein Gefangener, beständig das Gemach hüten oder, wenn sie reden, seufzen, ausgehen will, über Alles Rechenschaft geben und Rede stehen und zwar bei nichtswürdigen Richtern, ich meine die Mägde und die Schar der Bedienten. Vergleiche nun, wenn du willst, mit diesen Uebeln, die größten Schätze, herrliche Tafel, einen Haufen Dienerschaft, Glanz der Familie, große Macht, die höchsten Ehren, berühmte Ahnen; übergehe nichts von dem, was dieses Leben beneidenswerth macht, sondern sammle Alles sorgfältig und stelle es diesem Schmerz gegenüber, und du wirst das aus ihnen fließende Vergnügen nicht einmal wahrnehmen; es wird vielmehr so verschwinden, wie ein kleiner Funke, der in den weiten Ocean S. 241 fällt, natürlich erlischt. Und das geschieht, wo der Mann von der Eifersucht ergriffen ist. — Wenn nun aber diese Krankheit das Weib befällt (denn das pflegt nicht selten zu geschehen), so wird sich jener zwar in einer bessern Lage befinden, als das Weib; der größere Theil des Schmerzes wird aber auf dieses wieder zurückfallen; denn es wird nicht im Stande sein, gegen den Verdächtigen die nämlichen Waffen zu brauchen. Denn welcher Mann würde es ertragen, stets zu Hause zu bleiben, weil das Weib es befiehlt? Welcher Sklave dürfte es wagen, seinen Herrn zu belauschen, ohne sogleich in den Abgrund geschleudert zu werden? Sie wird sich daher weder mit diesen Kunstgriffen trösten, noch auch ihrem Zorn durch Worte Luft machen können, sondern der Mann wird es vielleicht ein- oder zweimal dulden, daß sie ihren Unwillen an ihm ausläßt; sollte sie ihm aber beständig Vorwürfe machen, so wird er sie schnell belehren, es sei besser für sie, solche Dinge mit Stillschweigen zu ertragen und sich zu verzehren. Und solches geschieht, wenn bloßer Verdacht obwaltet. Wenn aber das Uebel wahr ist, dann wird Niemand das Weib aus den Händen des Verletzten entreißen, sondern er wird die ihm günstigen Gesetze benutzen und die ihm unter Allen Theuerste vor Gericht schleppen und tödten. Der Mann wird der Strafe der Gesetze entrinnen, aber dem erhabenen und göttlichen Urtheilsspruche aufbewahrt werden. Das ist aber nicht geeignet, die Unglückliche zu trösten, sondern sie muß sich einem langen und erbarmungswürdigen Tod unterziehen durch die Zaubermittel und Gifttränke, welche ihr die ehebrecherischen Weiber bereiten. Viele hatten jedoch der Nachstellungen gegen die Gekränkten nicht nöthig, weil diese durch die Heftigkeit des Schmerzes schon vorher hinweggerafft wurden, so daß, wenn auch alle Männer der Ehe zueilen, die Frauen nicht nöthig haben ein Gleiches zu thun. Denn sie können nicht behaupten, daß die Tyrannei der Begierlichkeit bei ihnen so groß sei, und haben außerdem den größten Theil der Mübsale, die mit der Ehe verbunden sind, zu ertragen, wie unsere bisherige Darstellung gezeigt hat.

S. 242 „Wie nun,“ sagt man, „ist dieß bei allen Ehen der Fall?“ Es fehlt auch nicht bei allen; wohl aber ist jede Jungfrauschaft davon gänzlich befreit. Mag auch die Verheirathete nicht in dieses Unglück gerathen, so wird sie doch der Furcht vor demselben verfallen. Denn die, welche mit einem Manne umzugehen im Begriffe steht, kann nicht umhin, alle Uebel, welche mit dem Umgang verbunden sind, zu erwägen und zu fürchten. Die Jungfrau ist aber nicht bloß von den niedrigen Dingen, sondern auch von dem Verdachte frei. — „Das findet sich aber doch nicht in jeder Ehe.“ Das behaupte auch ich nicht; wenn es sich aber auch nicht findet, so stellt sich doch vieles Andere ein; und gesetzt, du entrinnst auch dem Einen, so wirst du doch sicherlich nicht Allem zu entrinnen vermögen. Gleichwie nämlich derjenige, welcher durch ein Dorngestrüpp geht, wenn er sich umdreht, um von den in seinen Kleidern steckenden Dornen den Einen herauszuziehen, von mehreren anderen erfaßt wird, so wird auch, wer in der Ehe dem Einen entkommen, von dem Andern verletzt; wer aber diesem entkommen, wird über etwas Anderes straucheln; kurz, es ist nicht möglich, eine Ehe zu finden, die von jedem Unglück frei wäre.


  1. Hohel. 8, 6. ↩

  2. Sprichw. 6, 34. 35. ↩

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