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De la royauté
24.
Comment donc ne trouverions-nous point de difficulté, aujourd’hui qu’il faut, pour reconquérir notre gloire passée,
Chasser ces chiens maudits qu’amena le Destin1?
Mais si tu veux m’en croire, cette œuvre qui paraît si difficile deviendra aisée ; il suffit d’accroître le nombre de nos soldats, et de leur rendre la confiance, Puis, quand nous aurons une armée indigène, ajoute à ta puissance une force qui lui manque aujourd’hui, et dont Homère a fait le signe distinctif des grands cœurs, quand il a dit :
Terrible est le courroux des rois, enfants des dieux.2
Ton courroux! déploie-le contre ces barbares; et bientôt, soumis à tes ordres, ils laboureront la terre, comme jadis les Messéniens, après avoir mis bas les armes, servirent d’Ilotes aux Spartiates; ou bien, reprenant la route par laquelle ils sont venus, ils fuiront, ils iront annoncer au delà de l’Ister qu’aujourd’hui les Romains ne sont plus aussi faciles, et qu’à leur tête est un prince jeune, vaillant,
Sévère, et devant qui l’innocent même a peur.3
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Rede an den Selbstherrscher Arkadios οder über das Königthum
24.
Ist es also nicht schwer, sich Ruhm zu erkämpfen und
Endlich hinwegzutreiben die wüthenden Hunde des Schicksals?
Willst du mich hören, so wird es sich zeigen, daß diese Schwierigkeit sich gar leicht heben läßt, wenn wir die Truppenzahl und zugleich den Muth erhöhen; und haben wir eigene Heere, so gieb du dem Reiche, woran es ihm gebricht. Homerοs weihte es den Edelsten:
Furchtbar ist der Eifer der gottbeseligten Herrscher.
Des Eifers nun bedarf es gegen diese Menschen, und sie werden auf Befehl das Land bauen, wie S. 106 einst die Messenier, nachdem sie die Waffen niedergelegt, den Lakedämoniern Helotendienste leisteten, oder zurückfliehen den nehmlichen Weg und denen, welche jenseits des Stromes sind, verkünden, daß nicht mehr jene Milde bei den Römern herrscht, sondern ein Mann sie anführt, jung und hochherzig,
Heftigen Sinns, der leicht Unschuldige selber beschuldigt.