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Histoire Lausiaque (Vies d'ascètes et de pères du désert)
XIII - APOLLONIUS
[1] Un certain Apollonius de nom, ex-négociant, ayant renoncé au monde et habité la montagne de Nitrie, ne pouvant apprendre ni un art ni le métier de l'écriture à cause qu'il était avancé en âge, vécut sur la montagne vingt ans et eut cette occupation. Achetant à Alexandrie de ses biens particuliers et de ses travaux familiers toutes sortes d'objets médicaux ou de cellule, il les fournissait à toute la communauté des frères dans les maladies. [2] Et il était possible de le voir du matin jusqu'à l'heure de none, circulant à travers les monastères, entrant à chaque porte, de peur que quelqu'un ne soit alité. Or il portait des raisins secs, des grenades, des œufs, des pains de fleur de farine, ce dont les débilités ont besoin, ayant trouvé pour sa vieillesse ce genre de vie qui lui était avantageux. En mourant il laissa ses drogues à un pareil à lui, après l'avoir exhorté à remplir le même office. C'est que cinq mille moines habitant la montagne, il était besoin aussi de cette surveillance-là, parce que l'endroit est désert.
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Leben der Väter (BKV)
13. Apollonius.
Apollonius, der Krämer genannt, entsagte der Welt und zog sich in das Natrongebirge zurück. Er suchte, weil infolge vorgerückten Alters unfähig, ein Handwerk oder die Arbeit des Schreibens1 zu lernen, folgende S. 342 Beschäftigung. Er sparte weder Geld noch Mühe, reiste stets nach Alexandrien, kaufte daselbst alle Sorten Arzneien und guter Kost und versorgte damit die ganze Brüderschaft, sobald einer krank war. Vom frühen Morgen bis um die neunte Stunde2 sah man ihn rings in alle Klöster wandern. Er trat zum Tor hinein und sah, ob jemand zu Bette sei, brachte getrocknete Weintrauben, Granatäpfel, Eier, feines Weizenbrot und andere Dinge, die für Kranke passen. Diese Übung, die für ihn selbst verdienstvoll war, behielt er auch im hohen Greisenalter bei. Sterbend übergab er seine Waren einem anderen seines Schlages und bat, er solle sein Amt übernehmen. Eine solche Fürsorge war in der Tat nicht überflüssig, weil das Gebirge sehr abgelegen ist und die Zahl der Mönche fünftausend betrug.