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Des Mystères
55.
C'est donc par ces sacrements que le Christ nourrit son Église, par eux sont affermies les ressources de l'âme, et c'est à bon droit que, voyant ses progrès constants dans la grâce, il lui dit : « Que tes seins sont beaux, ma soeur, mon épouse, qu'ils sont plus beaux que le vin, et comme l'odeur de tes vêtements dépasse celle de tous les parfums. Tes lèvres sont comme un rayon de miel qui coule. Il y a du miel et du lait sous ta langue, et l'odeur de tes vêtements est comme l'odeur du Liban. Tu es un jardin clos, ma soeur, mon épouse, un jardin clos, une fontaine scellée. » II signifie par là que le mystère doit être scellé chez toi, qu'il ne soit pas violé par les oeuvres d'une vie mauvaise, ni par la perte de la chasteté, qu'il ne soit pas divulgué à ceux à qui cela ne convient pas, qu'il ne soit pas répandu parmi les incroyants par un vain bavardage. Tu dois bien garder ta foi, afin que demeurent inviolés ta vie et ton silence.
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Über die Mysterien (BKV)
55.
[Forts. v. S. 301 ] Mit diesen Mysterien nährt Christus seine Kirche, daraus schöpft die Seelensubstanz ihre Kraft. Und mit Recht jubelt er ihr zu, da er sie in der Fülle des Gnadenfortschrittes schaut: „Wie herrlich sind deine Brüste, meine Schwester Braut! Wie herrlich sind sie geworden vom Weine! Und der Duft deiner Kleider übertrifft alle Gewürze. Träufelnder Honigseim sind deine Lippen, o Braut, Honig und Milch unter deiner Zunge, und der Duft deiner Kleider gleich dem Dufte des Libanon. Ein verschlossener Garten bist du, meine Schwester Braut, ein verschlossener Garten, eine versiegelte Quelle“1. Versiegelt, das will er damit andeuten, muß das Geheimnis in dir bleiben: nicht darf es durch einen schlechten Lebenswandel und durch Entweihung der Keuschheit verletzt, nicht Unberufenen mitgeteilt, nicht durch Altweiberklatsch in die Kreise der Ungläubigen ausgestreut werden. Treu also muß deines Glaubens Hut sein, daß die Unversehrtheit deines Lebens und deines Schweigens rein bewahrt bleibe.
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Hohes Lied 4, 10—12. ↩