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Contre les Valentiniens
XXXIV.
Quelques-uns, plus respectueux, et se souvenant de l'honneur dû à Dieu, afin de lui épargner la honte même d'un seul hymen, aimèrent mieux n'assigner aucun sexe à Bythos: peut-être même le regardent-ils comme quelque chose de neutre. D'autres, au contraire, font plus. Ils affirment que leur Dieu est mâle et femelle, afin sans doute que Fénestella, le commentateur des Annales, ne s'imagine plus qu'il n'y a d'hermaphrodite qu'à Luna1.
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Ptolémée cite deux villes de ce nom, l'une en Etrurie, l'autre en Lusitanie, dont les habitants adoraient La Lune sous le nom d'Androgyne, c'est-à-dire homme-femme. ↩
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Gegen die Valentinianer. (BKV)
34. Cap. Andere sprechen demselben jede eheliche Verbindung ab.
Andere sind anständiger, haben noch eine Erinnerung an die Ehre Gottes und wollen dem Bythos die Schmach auch nur einer ehelichen Verbindung ersparen, schreiben ihm lieber gar kein Geschlecht zu und sagen womöglich: Das liebe Gott, nicht: Der liebe Gott. Andere nennen ihn im Gegentheil Mann und Weib, damit der Annalenschreiber Fenestella nicht mehr glaube, bei den Lunensern allein fänden sich Hermaphroditen.