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Werke Augustinus von Hippo (354-430) De musica

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Traité de la musique

6.

L’E. C'est vrai. — Le M.. La fin du vers doit donc se reconnaître à une marque plus sûre que celle qui ne consiste qu'en un spondée. — L’E. Oui. —Le M. Eh bien ! doutes-tu que cette marque essentielle, quelle qu'elle soit, ne consiste dans la différence d'un pied, d'un temps, ou de tous deux à la fois? — L’E. Peut-il y avoir une autre différence? — Le M. Mais encore, à laquelle des trois t'arrêtes-tu? Pour moi, quand je songe que la terminaison destinée à borner le vers dans de justes limites, n'a trait qu'à la durée du temps, il me semble qu'on ne peut chercher ailleurs que dans le temps cette marque essentielle. N'es-tu pas de mon avis ? — L’E. Loin de là, j'y souscris entièrement. — Le M. Ne vois-tu pas encore que le temps ne pouvant être ici distingué que par le plus ou le moins de durée, il faut que le vers, où la terminaison est destinée à servir de point d'arrêt, ait pour fin saillante un temps plus court? — L’E. Je le vois bien; mais à quoi bon ajouter le mot ici? — Le M. Parce que nous ne faisons pas consister toujours et partout la différence des temps dans une durée plus ou moins longue. Crois-tu par hasard qu'il n'y ait entre l'été et l'hiver d'autre différence que celle de leur durée relative? Ne distinguerais-tu pas plutôt ces deux saisons par la différence spécifique du froid ou du chaud, du sec ou de l'humide, et toute autre propriété essentielle ? — L’E. J'entends maintenant et je suis parfaitement d'avis qu'un temps plus court doit former la terminaison du vers.

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De musica (PL)

6.

D. Verum dicis. Quare aliam termini hujus notam quaerendam esse autumo, non hanc quae in spondeo ponitur approbandam. M. Quid hoc? num dubitas, quaecumque ista sit, aut in pedis esse, aut in temporis differentia, aut in utroque? D. Qualiter potest? M. Quid tandem horum trium probas? Ego enim, quoniam idipsum finire versum ne longius quam oportet excurrat, non pertinet nisi ad temporis modum; non arbitror aliunde istam notam debere sumi quam ex tempore. An tibi aliud placet? D. Imo assentior. M. Videsne etiam illud, cum tempus hic differentiam habere non possit, nisi quod aliud est longius, aliud brevius; quia cum versus finitur, id agitur ne pergat longius, in breviore tempore notam finis esse oportere? D. Video quidem: sed quo pertinet quod additum est, Hic? M. Eo scilicet quod non ubique temporis differentiam in sola brevitate ac longitudine accipimus. An tu aestatis ac hiemis differentiam, aut esse temporis negas, aut in spatio potius breviore vel longiore, ac non in vi frigoris calorisque constituis, vel humoris et siccitatis, et si quid tale aliud? D. Jam intelligo, et hanc quam quaerimus termini notam, a temporis brevitate ducendam esse consentio.

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