4.
Je vois que je vous suis incommode ; vous avez mieux à penser et de plus grandes choses à faire, sans compter le poids de votre sainte vieillesse et de vos infirmités. Mais, au nom de Notre-Seigneur Jésus-Christ, qui vous a si volontiers fait part de sa sagesse, je demande que vous accordiez cette grâce aux ecclésiastiques ignorants, vous qui vous reconnaissez « redevable aux savants et aux simples 1, » et qui aurez le droit de dire : « Voyez que je n'ai pas travaillé pour moi seul, mais pour tous ceux qui aiment la vérité 2. » Je pourrais encore vous adresser les instantes prières de beaucoup d'autres et me présenter à vous, entouré d'ignorants comme moi; mais j'aime mieux écouter votre réponse que de vous obliger à me lire plus longtemps.