XV. (Ib. VI, 20, 21. )
Suite. — « La moitié le matin, et la moitié après midi; » le grec porte deilinon, le soir. « Elle sera préparée dans l'huile, dans la poële, le prêtre l'offrira détrempée, et par morceaux; » il s'agit de la fleur de farine. Nous lisons fresa à la fin : ce mot traduit sans doute convenablement l'expression grecque epikta, et se trouve au pluriel neutre. Remarquons en effet, que l'Écriture ne dit pas fresam, comme si ce terme se rapportait à similaginem, aussi bien que conspersam. Ce qu'elle appelle fresa est un sacrifice composé de morceaux. Mais sont-ce ces morceaux qui doivent être réduits en poudre, fresa, ou bien ce mot s'applique-t-il à la poudre trés-fine de la fleur de farine? cela n'est pas clairement indiqué.