Übersetzung
ausblenden
On Monogamy
Chapter XIII.--Further Objections from St. Paul Answered.
"But again, writing to Timotheus, he wills the very young (women) to marry, bear children, act the housewife.'" 1 He is (here) directing (his speech) to such as he denotes above--"very young widows," who, after being, "apprehended" in widowhood, and (subsequently) wooed for some length of time, after they have had Christ in their affections, "wish to marry, having judgment, because they have rescinded the first faith,"--that (faith), to wit, by which they were "found" in widowhood, and, after professing it, do not persevere. For which reason he "wills" them to "marry," for fear of their subsequently rescinding the first faith of professed widowhood; not to sanction their marrying as often as ever they may refuse to persevere in a widowhood plied with temptation--nay, rather, spent in indulgence.
"We read him withal writing to the Romans: But the woman who is under an husband, is bound to her husband (while) living; but if he shall have died, she has been emancipated from the law of the husband.' Doubtless, then, the husband living, she will be thought to commit adultery if she shall have been joined to a second husband. If, however, the husband shall have died, she has been freed from (his) law, (so) that she is not an adulteress if made (wife) to another husband." 2 But read the sequel as well in order that this sense, which flatters you, may evade (your grasp). "And so," he says, "my brethren, be ye too made dead to the law through the body of Christ, that ye may be made (subject) to a second,--to Him, namely, who hath risen from the dead, that we may bear fruit to God. For when we were in the flesh, the passions of sin, which (passions) used to be efficiently caused through the law, (wrought) in our members unto the bearing of fruit to death; but now we have been emancipated from the law, being dead (to that) in which we used to be held, 3 unto the serving of God in newness of spirit, and not in oldness of letter." Therefore, if he bids us "be made dead to the law through the body of Christ," (which is the Church, 4 which consists in the spirit of newness,) not "through the letter of oldness," (that is, of the law,)--taking you away from the law, which does not keep a wife, when her husband is dead, from becoming (wife) to another husband--he reduces you to (subjection to) the contrary condition, that you are not to marry when you have lost your husband; and in as far as you would not be accounted an adulteress if you became (wife) to a second husband after the death of your (first) husband, if you were still bound to act in (subjection to) the law, in so far as a result of the diversity of (your) condition, he does prejudge you (guilty) of adultery if, after the death of your husband, you do marry another: inasmuch as you have now been made dead to the law, it cannot be lawful for you, now that you have withdrawn from that (law) in the eye of which it was lawful for you.
Übersetzung
ausblenden
De la monogamie
XIII.
---- Mais, dis-tu, l'Apôtre écrivant à Timothée, aime «mieux que les jeunes veuves se marient, qu'elles aient des enfants et qu'elles soient mères de famille.»
---- Ces mots s'adressent aux jeunes veuves qui, surprises par la foi dans le veuvage, l'ont suivie quelque temps, «mais qui, après avoir vécu avec mollesse, secouent le joug de Jésus-Christ et veulent se remarier, encourant ainsi la condamnation et rendant vaine leur première foi,» cette foi apparemment qui les surprit dans le veuvage, et qu'elles ont abandonnée après l'avoir professée un moment. Voilà pourquoi il veut qu'elles se marient, de peur qu'elles ne violent ensuite les engagements du veuvage auquel elles se sont consacrées, mais non pas qu'elles se marient autant de fois qu'elles ne voudront pas persévérer dans un veuvage éprouvé par la tentation, ou pour mieux dire, voué à la mollesse. Nous lisons dans son épître aux Romains: «Une femme mariée est liée par la loi du mariage à son mari tant qu'il est vivant; mais s'il vient à mourir, elle est dégagée de la loi du mari. Si donc elle va avec un autre homme pendant la vie de son mari, elle sera appelée adultère; mais quand son mari est mort, elle est affranchie de la loi du mariage, parce qu'elle peut aller à un autre sans être adultère.» Mais connais par ce qui suit quel est le sens de ce passage qui semble te donner gain de cause. «C'est pourquoi, mes frères, vous êtes vous-mêmes morts à la loi par le corps de Jésus-Christ pour être à un autre qui est ressuscité d'entre les morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu; car lorsque nous étions assujettis à la chair, les passions criminelles, étant excitées par la loi, agissaient dans les membres de notre corps et leur faisaient produire des fruits par la mort. Mais maintenant nous sommes affranchis de la loi de la mort dans laquelle nous étions retenus; de sorte que nous servons Dieu dans la nouveauté de l'esprit, et non dans l'ancienneté de la lettre.» Si donc l'Apôtre nous ordonne de mourir à la loi par le corps de Jésus-Christ, c'est-à-dire par l'Eglise qui réside dans la nouveauté de l'Esprit, et non par l'ancienneté de la lettre, c'est-à-dire de la loi, en l'affranchissant de la loi qui ne lie pas la femme à l'époux qu'elle a perdu et ne l'empêche pas S'appartenir à un autre homme, il l'assujettit à la condition opposée et le défend de le remarier après la perle de ton premier mari. Autant tu serais loin de l'adultère, en le donnant à un autre époux après la perle du premier, si tu devais vivre encore sous le régime de la loi, autant, par la différence de l'institution nouvelle, l'Apôtre t'accuse d'adultère, si, après la mort de ton premier mari, tu en épouses un autre Déjà morte à la loi, tu ne peux plus profiter de ces condescendances depuis que tu as quitte la loi qui les autorisait.