24.
« Mais toi, tu as pris en haine le châtiment1 ». Tu hais les corrections. Le pardon te fait chanter mes louanges ; le châtiment soulève tes murmures; comme si je n’étais pas ton Dieu et quand je châtie, et ton Dieu encore quand je pardonne. «Car je réprime et corrige ceux que j’aime2 ». Mais toi, tu hais le châtiment, tu as rejeté loin de toi mes discours. Tu rejettes loin de toi ce que je dis par ta bouche. « Tu as donc rejeté mes discours derrière toi », de manière que sans les voir, tu en sentiras le poids. « Tu as rejeté mes discours derrière toi».