13.
« Mais vous, Seigneur, vous demeurez éternellement1 ». Mes jours ont décliné comme l’ombre, tandis que vous demeurez éternellement: que celui qui est éternel, sauve l’homme de quelques jours. Ce n’est point parce que je décline que vous vieillirez aussi; car votre force doit me délivrer, comme votre force m’a humilié. « Mais vous, Seigneur, vous demeurez éternellement, et votre mémoire passe de race en race ». «Votre mémoire», car il n’y a rien d’oublié, « de race en race », et non dans une foule, mais « de génération en génération ». Nous avons la promesse de la vie présente et de la vie à venir2.