11.
«Mais le dessein du Seigneur demeure éternellement1 ». Il est immuable pour l’éternité ce dessein du Seigneur, qui n’accorde la félicité qu’à ceux qui lui sont soumis. « Les pensées de son coeur subsistent dans les siècles des siècles ». Les desseins de sa sagesse ne sont point assujettis au changement, mais ils demeurent dans le cours des siècles.
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Id. 11. ↩