LIVRE VINGT-DEUXIÈME. LE DIEU DE L’ÉCRITURE.
Le Dieu de l'Ecriture, d'après Fauste. — Crimes attribués aux Patriarches et aux Prophètes. — Augustin rétablit l'idée de Dieu, contre les reproches Manichéens. — Notions sur le péché. — Justification d'Abraham, de Sara, de Loth, d'Isaac, de Jacob, de Lia, de Rachel. — Sens mystique à saisir dans ces deux femmes et dans leurs servantes, Bala et Zelpha. — La Mandragore. — L'inceste de Juda et de Thamar. — Bénédiction de Juda. — Bons et méchants. — David. — Eloge de Moïse, de Paul, de Pierre. — Dépouillement des Egyptiens. — Sacrifice d'Abraham. — La guerre. — Moise justifié du reproche de cruauté. — Osée. — Salomon. — Sens prophétique de certaines actions même coupables, du dépouillement des Egyptiens, du veau d'or. — L'Ecriture irréprochable en tout. — apostrophe aux Manichéens.