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Histoire ecclésiastique
CHAPITRE X : LA VICTOIRE DES EMPEREURS AMIS DE DIEU
[1] Voici le motif qui l'y amena : la grandeur du 53 pouvoir souverain qui lui avait été remis sans qu'il le méritât, il ne lui était pas possible de la porter ; grâce à son ignorance de la modération et du sens impérial il maniait maladroitement les affaires, et par-dessus tout il élevait ses pensées avec une jactance orgueilleuse et d'une façon déplacée; môme à l'égard de ses associés à l'empire, qui le dépassaient en tout par leur origine, leur formation, leur éducation, par leur dignité comme par leur intelligence, et par ce qui est le sommet le plus élevé de tout, parleur sagesse et leur religion envers le vrai Dieu, il osait s'efforcer de prévaloir sur eux et de se proclamer lui-même le premier dans les honneurs. [2] Il poussa la folie jusqu'à la démence ; les conventions qu'il avait faites avec Licinius, il les viola, et il entreprit une guerre sans trêve. Ensuite en peu de temps, il bouleversa tout, troubla toutes villes, et, après avoir assemblé toute une armée composée d'innombrables myriades d'hommes, il sortit pour le combat, en ordre de bataille contre Licinius. Les espérances qu'il avait dans les démons qu'il croyait des dieux, et la multitude de ses hoplites avaient exalté son âme. [3] Dès qu'il en vint aux mains, il se trouva privé du secours de Dieu ; la victoire était promise par le seul Dieu unique de l'univers au prince d'alors. [4] Maximin perd tout d'abord l'infanterie en laquelle il s'était confié. Abandonné par ses gardes, laissé seul par tous ses soldats, qui passèrent à l'autre empereur, le misérable rejette au plus vile la marque de la dignité impériale qui ne lui convenait pas. Lâchement, sans dignité, sans courage, il s'enfonce dans la multitude et s'enfuit ensuite, se cachant dans les campagnes et les bourgades 55 pour échapper avec peine aux mains des ennemis. Se procurant son salut à lui-même il va çà et là, ayant montré par ses actions comment sont dignes de foi et véritables les oracles divins dans lesquels il est dit : [5] « Le roi ne trouve pas son salut dans une grande puissance et le géant ne se sauvera point, par la grandeur de sa force. Le cheval trompe celui qui attend de lui son salut et ce n'est pas dans la grandeur de sa puissance qu'il sera sauvé. Voici que les yeux du Seigneur sont sur ceux qui le craignent, sur ceux qui mettent leur espérance dans sa miséricorde, pour tirer leurs âmes de la mort. » [6] C'est donc ainsi que plein de honte, le tyran s'en va dans les pays qui lui appartenaient, Tout d'abord il est d'une colère furieuse; les nombreux prêtres et prophètes des dieux qu'il admirait autrefois, grâce aux oracles desquels il avait été séduit et avait déclaré la guerre, sont, en qualité de charlatans et d'imposteurs, et surtout pour être devenus traîtres à son salut, livrés à la mort. Ensuite il donne gloire au Dieu des chrétiens et il établit une loi en faveur de leur liberté, parfaitement et sans restriction. Mais alors aucun répit ne lui est accordé cl c'est par une mort misérable qu'il termine sa vie. La loi qu'il lança était celle-ci :
Copie de la traduction de l'édit du tyran concernant les chrétiens, mise de latin en grec.
[7] « L'Empereur César Gaïus Valérius Maximin, Germanique, Sarmétique, pieux, heureux, invincible 57 Auguste. Que nous ayons veillé de toutes manières et sans cesse sur ce qui est utile aux habitants de nos provinces, que nous ayons voulu leur procurer ce par quoi prospère le bien de tous, ce qui est profitable et avantageux à leur communauté, s'harmonise avec l'intérêt général et se trouve concorder avec les manières de voir de chacun, personne ne l'ignore, mais tout homme qui se reporte au passé reconnaît cela et a conscience que cela est évident, nous en sommes assurés.
[8] Aussi bien lorsque avant le temps présent il a été à notre connaissance que, sous prétexte qu'il avait été ordonné par les très divins Dioclétien et Maximien nos pères, de faire disparaître les assemblées des chrétiens, beaucoup de tracasseries et de confiscations avaient été opérées parles gens de l'officium, et que, par suite, cela s'était produit au détriment des habitants de nos provinces dont nous nous efforçons d'avoir le soin convenable et dont les biens propres avaient été détruits, nous avons donné des lettres aux gouverneurs de chaque province l'année dernière/ posant comme loi que, si quelqu'un voulait suivre de tels usages ou celte même observance de religion, il ne rencontrerait pas d'obstacle à son choix personnel, que nul ne l'en empêcherait ni ne l'en retiendrait, qu'il aurait la facilité de faire à l'abri de crainte et suspicion, ce qui lui plairait. [9] Du reste, il n'a pas pu nous échapper que quelques uns des juges ont transgressé nos ordonnances ; ils ont été cause que nos sujets ont eu des doutes sur 59 nos prescriptions et ils ont fait que ce n'a été qu'avec beaucoup d'hésitation que ceux-ci sont allés à ces cérémonies qui leur plaisaient. [10] Afin donc que, pour la suite, tout soupçon ou toute équivoque produisant la crainte, soit enlevé, nous avons décidé de publier cet édit, pour qu'il soit manifeste à tous qu'il est permis à ceux qui voudraient faire partie de cette secte et de cette religion, en vertu de notre concession présente, selon que chacun voudra ou qu'il lui agréera, d'aller à la religion qu'il a choisi de pratiquer d'habitude. Il est accordé aussi de bâtir les maisons du Seigneur. [11] Et afin que notre concession devienne encore plus grande, nous avons résolu aussi d'ordonner ceci : au cas où des maisons ou des terres se trouveraient avoir, avant ce temps, appartenu en propre aux chrétiens et seraient, par suite d'ordonnances de nos pères, tombées dans la possession du fisc, ou auraient été confisquées par quelques villes, soit que ces biens aient été complètement vendus ou qu'ils aient été donnés en présent à quelqu'un, nous avons ordonné qu'ils soient tous rapportés à l'ancien domaine des chrétiens, afin qu'en ceci encore tous aient conscience de notre piété et de notre sollicitude. »
[12] Ces paroles du tyran, après les édits publiés par lui il y a moins d'une année, sur des stèles, contre les chrétiens, venaient tard. Pour lui, peu auparavant, nous paraissions des impies et des athées et la peste du monde entier, si bien que non seulement pas une ville, mais pas une contrée, pas un désert ne nous était 61 laissé pour y habiter ; et maintenant il faisait des constitutions et une législation en faveur des chrétiens ; et ceux qui tout récemment étaient anéantis par le feu, le fer, la dent des bêtes fauves, les oiseaux de proie, sous ses propres yeux, ceux qui souffraient toute sorte de châtiments et de peines, des morts lamentables, en qualité d'athées et d'impies, maintenant reçoivent du même empereur l'autorisation de garder leur religion et la permission de bâtir des églises, et le même tyran leur ι reconnaît certains droits. [13] Et vraiment, après avoir fait de telles confessions, comme s'il avait obtenu une grâce en retour, il souffrit moins qu'il n'aurait fallu ; soudainement frappé par le fouet de Dieu il meurt dans la seconde période de la guerre. [14] Sa fin n'est pas celle des généraux en campagne, qui combattent avec courage pour l'honneur et pour ceux qui leur sont chers, et à qui il arrive souvent à la guerre d'endurer avec bravoure une mort glorieuse ; mais, comme un impie et un ennemi de Dieu, tandis que pour lui son armée est rangée devant le champ de bataille, lui il reste à la maison et s'y blottit. Il reçoit le châtiment qui convenait et est frappé tout à coup par le fouet de Dieu sur tout son corps. Des souffrances terribles et de vives douleurs le poussent la tête en avant vers le précipice ; la faim le ronge, toutes ses chairs sous un feu invisible et conduit par la divinité se fondent. La forme qu'avait autrefois son corps, s'étant écoulée, a disparu, et il n'en reste que des os desséchés et quelque chose qui ressemble à une vieille idole durcie par la longueur du temps. Aussi bien, ceux qui l'assistent ne pensent pas autre chose, sinon que pour lui le corps 63 est le tombeau de l'âme; celle-ci était enfouie dans une chose qui était déjà un cadavre et en train de disparaître complètement. [15] La chaleur qui venait du fond des moelles l'enflammait encore plus terriblement. Les yeux lui sortent de la tôle, et, tombant de leurs orbites, le laissent aveugle. Cependant, dans cet état, il respire encore et, en confessant le Seigneur, il appelle la mort; tout à fait à la fin, il reconnaît que c'est justement qu'il souffre ainsi à cause de ses violences contre le Christ et il rend l'âme.
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Kirchengeschichte (BKV)
10. Kap. Der Sieg der gottgeliebten Kaiser.
Die Ursache, die ihn dazu führte, war folgende: Maximinus war dem hohen Amte, das ihm die ohne sein Verdienst übertragene Herrschaft auferlegte, nicht gewachsen. Da ihm kluge und fürstliche Gesinnung fehlte, S. 409 hatte er in der Führung der Staatsgeschäfte keine glückliche Hand und überhob sich zu allem hin in törichtem und stolzem Übermute. Allmählich wagte er in keckem Dünkel sogar gegen seine Mitregenten aufzutreten, die ihm in jeder Weise durch Geburt, Erziehung, Bildung, Würde, Verstand und, was das Wichtigste von allem ist, durch Gesittung und Frömmigkeit gegen den wahren Gott überlegen waren, und sich öffentlich als den ersten an Rang und Würde zu erklären. Da er seinen Hochmut bis zum Wahnsinn gesteigert, brach er den Vertrag, den er mit Licinius geschlossen, und entfesselte einen unversöhnlichen Krieg. In kurzer Zeit brachte er alles in Verwirrung, setzte alle Städte in Schrecken, zog seine ganze Streitmacht, eine Schar von ungezählten Tausenden, zusammen und rückte zum Kampfe gegen Licinius vor im stolzen Vertrauen auf die Dämonen, die er für Götter hielt, und die große Zahl seiner Krieger. Aber mitten im Ringen sah er sich von der Hilfe Gottes verlassen, und der Sieg ward durch Fügung dessen, der der eine und einzige Gott des Alls ist, dem Licinius verliehen, der damit der Herr war. Zunächst verlor Maximinus seine Legionen, auf die er seine Hoffnung gesetzt hatte. Dann ließ ihn, wehrlos und entblößt von allem, seine Leibwache im Stiche und ging zum Sieger über. So rasch er konnte, warf da der feige Mann den kaiserlichen Schmuck ab, der ihm nicht gebührte, und verschwand mutlos und bar edler und tapferer Gesinnung in der Menge. Sodann floh er und verbarg sich, auf seine Rettung bedacht, in Flecken und Dörfern und entkam nur mit Mühe den Händen der Feinde1 , eben durch seine Taten bekundend, wie glaubwürdig und wahr die göttlichen Sprüche sind, in denen gesagt ist.2 „Nicht wird ein König durch seine große Macht gerettet und nicht ein Riese durch die Fülle seiner Kraft. Nicht verlässig zur Rettung ist das Pferd; in der Fülle seiner Kraft wird er nicht gerettet werden. Siehe, die S. 430 Augen des Herrn ruhen auf denen, die ihn fürchten, und auf denen, die auf sein Erbarmen hoffen, daß er vom Tode ihre Seelen errette.“
Mit solcher Schande bedeckt, kehrte der Tyrann in seine eigenen Gebiete zurück. Hier ließ er zunächst in wütendem Zorne zahlreiche Priester und Propheten der von ihm einst bewunderten Götter, durch deren Orakelsprüche aufgereizt er den Krieg entfesselt hatte, als Zauberer, Betrüger und vor allem als Verräter seines Heiles hinrichten. Nachdem er noch dem Gott der Christen die Ehre gegeben und diesen durch ein Gesetz die vollkommenste und unbeschränkteste Freiheit geschenkt, starb er rasch, ohne daß ihm eine Frist gewährt ward, eines schrecklichen Todes. Das von ihm erlassene Gesetz lautet:
Abschrift des aus dem Lateinischen ins Griechische übersetzten Erlasses des Tyrannen zugunsten der Christen:
„Imperator Cäsar Gaius Valerius Maximinus, Besieger der Germanen und Sarmaten, der Fromme, Glückliche, Unbesiegte, Augustus. Daß wir auf jegliche Art unablässig auf das Wohl der Bewohner unserer Provinzen Bedacht nehmen und ihnen bereitwillig alles gewähren, was das Interesse der Allgemeinheit in besonderer Weise fördert und zu ihrem gemeinschaftlichen Nutzen und Vorteil gereicht, und zwar so, daß es dem Wohle des Volkes in seiner Gesamtheit entspreche und auch die Wünsche des einzelnen erfüllte, ist, wie wir glauben, niemand unbekannt, muß vielmehr jeder, der die Tatsachen überblickt, erkennen und wissen. Da uns nun vor einiger Zeit zur Kenntnis gekommen ist, daß unter dem Vorwande des Befehles, den unsere erhabensten Väter Diokletian und Maximian zur Aufhebung der Versammlungen der Christen erlassen, zahlreiche Mißhandlungen und Konfiskationen von Seiten der Beamten3 stattgefunden haben, und dies Gebaren gegenüber den Bewohnern unserer Provinzen, die S. 431 gemäß unseren Bemühungen in vorzüglichem Grade die gebührende Fürsorge erfahren sollten, immer mehr um sich greift und sie um Hab und Gut bringt, so haben wir im vergangenen Jahre durch Schreiben an die Statthalter eines jeden Kreises verfügt: Wer dieser Sitte oder dieser Art von Gottesverehrung folgen will, möge ungehindert seinem Entschlüsse stattgeben, und niemand soll ihm Schwierigkeiten oder Hindernisse in den Weg legen. Jedem stehe es frei, ohne Furcht und Argwohn das zu tun, was ihm beliebt. Aber auch jetzt konnte es uns nicht verborgen bleiben, daß einige Richter unsere Befehle außer acht ließen und so bei unseren Untertanen Mißtrauen gegen unseren Erlaß hervorriefen und Anlaß wurden, daß diese sich nur zögernd den religiösen Bräuchen anschließen, die ihnen zusagen. Damit nun in Zukunft jeder Argwohn und jedes ängstliche Bedenken aufhöre, haben wir die Veröffentlichung dieses Ediktes angeordnet. Es soll darin allen kundgetan werden, daß es denen, die dieser Sekte und dieser Religion folgen wollen, auf Grund dieses unseres Gnadenerlasses verstattet sei, sich so, wie es jeder wünscht und wie es ihm angenehm ist, der Religion hinzugeben, die er gemäß eigener Wahl zu üben gewohnt ist. Auch ist es ihnen erlaubt, ihre Gotteshäuser aufzubauen. Und damit sich unsere Gnade noch mehr offenbare, geruhten wir auch folgendes zu bestimmen: Wenn die Christen früher Häuser und Grundstücke als rechtliches Eigentum besaßen, diese aber gemäß dem Befehle unserer Väter in die Rechte des Fiskus übergingen oder von einer Stadt in Besitz genommen wurden, sei es durch Kauf oder geschenkweise, so gaben wir Befehl, daß das alles den Christen als den ursprünglichen Inhabern zurückerstattet werde. Auch darin sollen alle unsere wohlwollende und fürsorgliche Gesinnung erkennen.“
Nicht einmal ein ganzes Jahr war zwischen der an den Säulen kundgegebenen Verordnung des Tyrannen gegen die Christen und dem obigen Erlaß verstrichen. S. 432 Der gleiche Mann, der uns noch kurz zuvor als ruchlose und gottlose Menschen und als Pest der menschlichen Gesellschaft ansah, so daß er uns in keiner Stadt, ja nicht einmal auf dem Land und in der Wüste zu wohnen verstattete, gab jetzt Verordnungen und Gesetze zugunsten der Christen. Die noch eben durch Feuer und Schwert, durch wilde Tiere und Raubvögel vor seinen Augen dahinstarben und jegliche Art von Strafe und Folter und Tod als gottlose und ruchlose Menschen in erbärmlicher Weise erleiden mußten, erhielten jetzt von demselben Manne die Erlaubnis zu freier Religionsübung und zur Erbauung von Kirchen. Der Tyrann selbst gewährte ihnen Anteil an gewissen Rechten.
Nachdem Maximinus ein solches Bekenntnis abgelegt, wurde er plötzlich von Gottes Geißel getroffen und ging in der zweiten Schlacht des Krieges (mit Licinius) zugrunde, zur Belohnung gleichsam für eben dieses Bekenntnis weniger leidend, als er zu leiden verdient. Doch fand er nicht das Ende, wie es Feldherrn im Kriege beschieden ist, die, oftmals für Tugend und Freunde männlich im Kampfe streitend, mutig eines ruhmvollen Todes zu sterben pflegen. Er erlitt vielmehr die Strafe, wie sie dem ruchlosen Kämpfer gegen Gott gebührt. Da seine Truppe noch in Reih und Glied im Felde stand, hielt er sich zu Hause verborgen. Da schlug ihn plötzlich Gottes Geißel am ganzen Körper. Von furchtbaren Schmerzen und Qualen gepeinigt, stürzte er, das Gesicht nach unten, zu Boden. Er siechte vor Hunger dahin, und all sein Fleisch wurde von unsichtbarem, von Gott gesandtem Feuer verzehrt. Die ganze Gestalt, die der Körper einst besessen, schwand dahin und zersetzte sich, und es blieb infolge des langen Siechtums nur noch ein Skelett mit ausgedorrten Knochen übrig. Den Anwesenden erschien so sein Körper nur mehr als Grab der Seele, die in einem nun toten und zerronnenen Leibe begraben lag. Da ihn aus dem innersten Marke heraus S. 433 die Hitze immer noch mehr verbrannte, traten ihm die Augen heraus und fielen aus den Höhlen, so daß er blind wurde. Und da er trotzdem noch lebte, rief er, dem Herrn bekennend, nach dem Tode. Im letzten Augenblick gestand er, daß er verdientermaßen dies gelitten wegen seines törichten Verhaltens gegen Christus. Und so gab er seinen Geist auf.4
-
Leben Konstantins I 58. ↩
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Ps. 32, 16—19. ↩
-
ὀφφικιάλιοι. ↩
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Eusebius hat hier zwei widersprechende Berichte über den Tod des Maximinus verbunden. Während Maximinus nach dem einen Bericht zur Belohnung nur wenig zu leiden hatte, verfiel er nach dem anderen in ein langes Siechtum. Während ferner nach dem einen Bericht die Bekehrung dem kurzen Leiden vorausgeht, folgt nach dem anderen die Bekehrung auf das lange Siechtum. Da Eusebius von dem im letzten Edikt des Maximinus sich kundgebenden Umschwung des Kaisers erst später erfahren hatte, hat er bei Neubearbeitung seiner Kirchengeschichte zugleich mit diesem Edikt nun auch einen neuen Bericht über das Lebensende des Maximinus seinem Werke eingefügt. „Natürlich wäre es das einzig Richtige gewesen, die alte Darstellung, die mit der neuen Auffassung unvereinbar war, restlos zu tilgen; aber zu dieser wirklichen Heilung konnte sich Euseb hier ebensowenig wie anderwärts entschließen; vielmehr behielt er die alten Daten bei und korrigierte sie durch Einschub von Erweiterungen (Laqueur, S. 102). Vgl. Leben Konstantins I 59. ↩