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Bibliothek der Kirchenväter
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Works John Chrysostom (344-407) In epistulam i ad Timotheum argumentum et homiliae 1-18

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Homilien über den I. Brief an Timotheus (BKV)

V.

Dort in den Klöstern ertönt kein Heulen und Wehklagen. Rein ist jener Wohnraum von solch unangenehmen Tönen, rein von solchem Geschrei. Es sterben auch dort Leute. Sie haben keine unsterblichen Leiber, aber der Tod ist für sie kein Tod. Mit Lobgesängen geleiten sie die Hingegangenen zum Grabe. Eine Prozession (προπομπήν) nennen sie es, keinen Grabgang (ἐκφοράν). Und wird die Meldung gemacht, daß Der oder Jener gestorben sei, dann herrscht Freude und Frohlocken. Oder vielmehr, es getraut sich gar Niemand zu sagen: Der oder Jener ist „gestorben“, sondern: „er hat’s vollbracht.“ Dann hört man Danksagung, Äusserungen der Beglückwünschung und Freude, indem Jeder wünscht, ein solches Ende zu haben, so aus der Rennhahn dieses Lebens auszutreten, so auszurasten von Mühe und Kampf, Christum zu schauen. Und ist Einer krank, — keine Thränen, keine Klagen, sondern Gebete. Nicht die Hand des Arztes, sondern der Glaube allein hat schon oftmals den Kranken gesund gemacht. Und wenn auch ein Arzt nothwendig wird, so zeigt sich auch in diesem Falle viel Philosophie, viel Heroismus. Da steht kein jammerndes Weib mit aufgelösten Haaren, keine Kinderschaar, welche über die bevorstehende Verwaisung jammert, keine Dienerschaft, die den Sterbenden anfleht, ihre Zukunft zu sichern, sondern aller derartigen Scenen enthoben blickt die S. 190 Seele bloß ihrem letzten Athmenzuge entgegen, daß sie in Freundschaft mit Gott hinübergehe. Und wenn eine Krankheit entsteht, so ist sie nicht die Folge von Überfüllung des Magens und Beschwerniß des Kopfes, sondern die Ursachen der Krankheit selber sind durchaus löblicher Art, nicht tadelnswerth wie die eben genannten. Denn entweder ist allzu eifriges Wachen oder Fasten oder etwas Derartiges, was die Krankheiten hervorruft; deßhalb sind sie auch leicht heilbar. Es reicht ja hin, sich nicht mehr in dem Grade zu kasteien, um aller krankhaften Zustände los zu werden.

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Commentaire sur la première épitre à Timothée

5.

Là, point de crainte des magistrats, point d'orgueil insensé des maîtres, point de terreurs des esclaves, point d'agitation des femmes ni de tapage des enfants, point de multitude de coffres ni de réserve inutile d'habits, point d'or ni d'argent, point de garde ni de précautions, point d'office ni rien de semblable; tout respire la prière, les hymnes, la bonne odeur spirituelle; rien de charnel ne s'y trouve. Ils ne craignent point l'arrivée des voleurs, car ils n'ont rien à perdre; point de richesses, ils n'ont que leurs corps et leurs âmes; si on leur prend la vie, ils n'en éprouvent point de tort, mais plutôt un avantage. « Ma vie, c'est le Christ, et la mort m'est un gain » (Phil. I, 21) : ils seraient alors délivrés de leurs liens. Vraiment, « la voix de l'allégresse est dans les tentes des justes». (Ps. CXVII, 15.) On n'entend là ni sanglots ni lamentations ; leur toit est exempt de ces peines et de ces clameurs. Ils meurent dans les mêmes sentiments, car leurs corps ne sont point immortels, mais ils ne pensent pas que la mort soit une mort. Ils accompagnent avec des hymnes ceux qui sont décédés, et ils appellent cette cérémonie une conduite et non des funérailles. Si on leur apprend que tel ou tel est mort, c'est une grande et douce joie; on n'ose pas même dire : Il est mort, mais plutôt : Il a achevé sa carrière. Puis ce sont des actions de grâces, on le glorifie, on se réjouit; chacun prie Dieu d'avoir une semblable fin, de sortir ainsi du combat, pour voir le Christ à la fin de ses combats et de ses travaux. Si quelqu'un d'eux est malade, ce ne sont point des larmes et des lamentations, mais des prières; et souvent ce ne sont pas les soins des médecins, mais la foi seule qui guérit le malade. Mais s'il est besoin de médecins, on trouve là une grande philosophie et une grande fermeté. On ne voit pas auprès du malade une femme qui s'arrache les cheveux, des enfants qui se lamentent d'avance d'être orphelins, des serviteurs qui conjurent le mourant de les léguer à un bon maître; l'âme est libre de ce spectacle et ne pense qu’à se préparer au dernier instant pour paraître devant Dieu agréable à ses yeux. Et si une maladie survient, elle n'a pas pour cause la gourmandise ni l'appesantissement de la tête, mais l'origine en est digne de louange et non de flétrissure : un excès de veilles ou de jeûne ou quelque chose de semblable; aussi est-elle facile à guérir, car il suffit de ne plus se fatiguer pour être délivré de tout.

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Commentaire sur la première épitre à Timothée
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