3.
Dans le douzième 1, ce que j’ai dit en manière d’explication des paroles de l’Apôtre « Tout péché que fait l’homme est hors de son corps , » ne me satisfait pas. Je ne pense pas non plus qu’il faille interpréter la parole: «Celui qui commet la fornication pèche contre son propre corps 2» en l’appliquant à celui qui agit pour obtenir ce qui procure des sensations au corps et y placer son bonheur. En effet, cette pensée s’étend à un bien plus grand nombre de péchés que la fornication, qui s’exécute par un commerce illicite et que, ce semble, l’Apôtre avait en vue. Cet ouvrage, en exceptant la lettre qui a été ensuite ajoutée à son début, commence ainsi : « Celui qui lira ce traité sur la Trinité. »