LXXXII. (Ib. 21, 35.)
Sur le taureau qui blesse et tue un autre taureau. — « Si le taureau de quelqu'un frappe de sa corne le taureau du voisin, et qu'il en meure, ils vendront le taureau qui est vivant ; et ils en partageront le prix, et ils partageront le boeuf. » Est-ce que cette loi ne devait avoir d'application que pour le taureau, et non pour tous les autres animaux en pareil cas ? Il est évident qu'ici encore la partie est mise pour le tout; seulement si la chair de l'animal tué était de celle dont on ne mangeait point, la loi n'avait plus en ce point de raison d'être.