8.
«Le Seigneur est plein de douceur et d’équité 1 ». De douceur, puisqu’il prend en pitié les pécheurs et les impies, jusqu’à leur pardonner leurs fautes passées, mais aussi de justice, car après la grâce de la vocation et du pardon, grâce que nous n’avons point méritée, il exigera au jour du dernier jugement des mérites proportionnés à ces grâces. « Aussi fera-t-il connaître sa loi à ceux qui s’égarent en chemin », car c’est pour les conduire dans la voie, qu’il leur a fait miséricorde.
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Id. 8. ↩