12.
« Bienheureux le peuple qui a le Seigneur pour son Dieu1». Il n’y a qu’un seul peuple, celui de la cité céleste, qui ne se choisit point d’autre Dieu que le Seigneur. «Heureux le peuple que le Seigneur s’est choisi pour héritage ». Ce peuple ne s’est point élu, mais Dieu l’a choisi dans sa miséricorde, afin de le posséder, et de n’y rien souffrir d’inculte ou de misérable.
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Id. 12. ↩