19.
Nous voici au terme d’un psaume qui a pu causer un peu de fatigue et d’ennui à quelques-uns d’entre vous; mais cet. ennui est passé , et je me réjouis d’avoir exposé le psaume tout entier. Vers le milieu, j’avais eu la pensée de quitter, afin de ne pas vous surcharger; mais j’ai cru que l’attention serait partagée, et que l’on écouterait moins bien la seconde partie, que si l’on parcourait le psaume tout entier. J’ai donc mieux aimé vous être un peu à charge, que de réserver quelque partie d’un discours imparfait. Demain encore il faut vous parler; priez pour nous, afin que nous puissions le faire encore, et revenez-nous avec une soif ardente et des coeurs fervents.