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Commentaire sur la première épitre à Timothée
4.
Leur corps aussi laisse échapper la corruption de toutes parts. — Mais ils mangent et boivent? Est-ce donc là le témoignage de la vie humaine, puisque les bêtes aussi mangent et boivent? Quand l'âme est morte, quel besoin est-il d'aliments et de boisson? Quand un corps est devenu cadavre, le vêtement parfumé qui l'enveloppe ne lui sert de rien, et quand une âme est morte, un corps parfumé ne lui sert pas davantage. Si sa pensée ne se préoccupe que de cuisiniers, de maîtres d'hôtel, de boulangers, si elle ne prononce pas une parole de piété, n'est-elle pas morte ? Qu'est-ce en effet que l'homme? Les (326) philosophes païens nous disent que c'est un animal raisonnable, mortel, susceptible d'intelligence et de science; mais ce n'est pas par leur témoignage, c'est par l'Ecriture sainte que nous déterminons sa nature. Or, comment la détermine-t-elle? Ecoutez-la : « Il était un homme », et qu'était-il? «juste, véridique, pieux, s'éloignant de tout ce qui est mal ». (Job, I, 1.) Voilà le type de l'homme. Un autre écrivain sacré nous dit : « C'est une grande chose que l'homme, et l'homme miséricordieux est un objet précieux ». Mais ceux qui ne sont pas tels, quand ils seraient doués d'intelligence, et mille fois aptes à la science, l'Ecriture ne les reconnaît pas pour dés hommes, mais pour des chiens, des chevaux, des vipères, des serpents, des renards, des loups et des animaux plus odieux que ceux-là, s'il en existe. Si donc tel est l'homme, le voluptueux n'est pas un homme; et comment le serait-il, puisqu'il ne se préoccupe de rien de tel? On ne peut être à. la fois voluptueux et sobre : l'un exclut l'autre. Les païens eux-mêmes le disent :
A ventre épais, jamais esprit subtil 1.
L'Ecriture a bien su désigner les hommes dépourvus d'âme par ces mots : « Parce qu'ils sont chair. » (Gen. VI, 3.) Ils avaient cependant une âme, mais elle était morte. Car de même que nous disons des hommes vertueux qu'ils sont tout âme, tout esprit, bien qu'ils aient un corps , nous pouvons employer l'expression inverse. C'est ainsi que Paul a dit : « Pour vous, vous n'êtes pas dans la chair » (Rom. VIII, 9), parce qu'ils n'accomplissaient pas les oeuvres de la chair. De même les voluptueux ne sont point dans l'âme ni dans l'esprit.
« Celle qui vit dans les délices est morte « toute vivante ». Ecoutez, vous qui passez tout votre temps dans les festins et dans l'ivresse, vous qui n'arrêtez point vos regards sur les pauvres qui languissent et meurent de faim , mais qui mourez sans cesse dans les délices. Vous produisez une double mort par votre intempérance, la mort de ces infortunés et la vôtre ; et si vous aviez uni votre superflu à leur misère, vous auriez produit une double vie. Pourquoi donc gonfler votre estomac par vos excès et faire languir le pauvre par sa détresse?, Vous gâtez l'un en dépassant la mesure, et c'est outre mesure aussi que vous faites sécher l'autre. Pensez à ce que sont les aliments, comment ils se transforment et ce qu'ils deviennent. Ah! cela vous blesse de m'entendre ? eh bien, pourquoi tant d'empressements à en produire plus largement la réalité, en vous gorgeant de nourriture? La nature a ses bornes, et ce qui les dépasse n'accroît pas l'alimentation, mais devient inutile et nuisible. Nourrissez votre corps , ne le tuez pas. Nourriture ne veut pas dire ce qui tue, mais ce qui alimente. L'économie de la digestion est ainsi disposée, je pense, pour que nous ne soyons pas amis de l'intempérance; car si la nourriture ne pouvait devenir inutile et nuisible, nous nous serions sans cesse dévorés les uns les autres : si l'estomac recevait tout ce que nous voulons lui donner, s'il le transformait en notre substance, combien ne verrait-on pas de guerres et de combats? Si en effet, bien que tout né soit pas absorbé, mal. gré ce qui se transforme soit en sang, soit en graisse inutile et parasite, nous sommes si avides des plaisirs de la table, si souvent nous consumons dans un festin tout un héritage, que ferions-nous sans cela? Nous nous infectons nous-mêmes en nous livrant à ces excès où notre corps devient semblable à une outre qui laisse échapper le vin 2. Si les autres en sont incommodés, que ne doivent pas souffrir et le cerveau sans cesse atteint par ces vapeurs, et les vaisseaux obstrués d'un sang qui bouillonne, et le foie et la rate qui doivent le recevoir, et les intestins eux-mêmes? Chose désolante, nous songeons à prévenir l'obstruction des égouts, de peur qu'ils ne regorgent; nous avons grand soin de les dégager avec des crocs et des hoyaux, et, pour ceux de notre estomac, loin de les tenir libres , nous les obstruons et les engorgeons : les immondices montent à la résidence du roi, je veux dire au cerveau, et nous n'y veillons pas. Nous agissons comme si nous n'avions pas là un roi ami de la décence, mais un chien immonde. Le Créateur a relégué au loin ces organes, afin qu'ils ne nous incommodent pas; mais nous troublons son oeuvre et gâtons tout par notre intempérance. Mais que dire des maux qui en résultent? Bouchez les canaux des égouts, et vous verrez bientôt naître la peste. Elle est produite par l'infection qui vient du dehors; mais celle qui est au dedans, qui est concentrée par le corps et n'a point d'issue, ne produit-elle pas mille maux pour le corps et pour l'âme? Ce qu'il y a de terrible, c'est que plusieurs murmurent contre Dieu pour les nécessités auxquelles notre corps est soumis, et eux-mêmes les accroissent. Dieu nous a donné ces lois, afin de nous détourner de l'intempérance , afin de nous persuader même par ces moyens de ne pas nous égarer dans les choses de ce monde. Mais vous ne vous laissez pas même par là détourner de l'intempérance; vous vous y plongez jusqu'au gosier, tant que dure le temps du repas, ou plutôt vous n'attendez pas jusque-là. Le plaisir du goût ne s'éteint-il pas, dès que l'aliment a dépassé la langue et la gorge? La sensation disparaît alors, mais le malaise se prolonge, parce que l'estomac n'opère pas ou opère avec grand'peine.
L'apôtre a donc dit avec raison : « Celle qui vit dans les délices est morte toute vivante». Elle ne peut ni se faire entendre, ni entendre, l'âme qui vit ainsi; elle est amollie, sans générosité, sans courage, sans liberté, timide et impudente, vile flatteuse, ignorante, colère, irascible, pleine de tous les maux et privée de tous les biens. « Celle qui vit dans les délices est morte toute vivante. Et prescrivez-leur d'être irréprochables ». (I Tim. V, 6, 7.) Vous le voyez, c'est une loi; il ne le livre pas à leur choix. Prescrivez-leur, dit-il , de ne pas vivre dans les délices, car c'est assurément un mal, et l'on ne peut admettre aux mystères ceux qui vivent ainsi: « Prescrivez-leur d'être irréprochables » ; vous voyez donc qu'il met cette conduite au nombre des péchés; car ce qui est libre, quand on ne le pratiquerait pas, n'empêche pas d'être irréprochable. Ainsi , obéissant à Paul, nous aussi nous vous avertissons que les veuves qui vivent dans les délices ne sont pas au nombre des veuves. Car si un soldat qui donne son temps aux bains, aux théâtres et à ses affaires est regardé comme un déserteur, combien plus le doit-on dire des veuves? Ne cherchons point ici notre repos , afin de le trouver dans l'autre vie; ne vivons pas ici dans les délices , afin de jouir dans la vie future des délices véritables, des véritables plaisirs qui ne produisent aucun mal et nous mettent en possession de tant de biens, que je souhaite à vous tous en le Christ Jésus Notre-Seigneur avec qui soient au Père et au Saint-Esprit, gloire, puissance, honneur, maintenant et toujours, et aux siècles des siècles. Ainsi soit-il.
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Le grec forme un vers iambique trimètre, emprunté sans doute à quelque poète comique. ↩
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Sans avoir rien d'alarmant pour la pudeur la plus stricte, la phrase suivante ne peut se traduire qu'en latin et en note : Eructat aliquis adeo ut vel extra conclave cerebrum audientis concutiat, ùndique e corpore caliginosus effluit quasi e camino fumus, calore intus in putredinem verso. ↩
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Homilien über den I. Brief an Timotheus (BKV)
IV.
Frägst du jetzt noch, wie man behaupten kann, daß ein solcher Körper in allseitiger Auflösung begriffen ist? Aber er ißt und trinkt ja! Aber Das ist kein Beweis für ein menschliches Dasein, da auch das unvernünftige Vieh ißt und trinkt. Wenn also die Seele als Leichnam daliegt, wozu noch essen und trinken? Denn gleichwie es, wenn der Körper todt daliegt, Nichts hilft, eine bunte Hülle darüberzuwerfen, so nützt auch ein blühender Körper nicht, der die Hülle für eine todte Seele bildet. Und ist sie nicht todt, wenn man nur von Köchen, Tischdeckern und Brodbäckern zu reden weiß und über Gottseligkeit keine Silbe verliert? Was ist denn der Mensch? wollen wir sehen! Die Heiden sagen: ein mit Vernunft begabtes Thier, sterblich, fähig zu denken und geistig aufzufassen. Wir aber wollen uns nicht von den Heiden eine Definition geben lassen, sondern von wem? Von der heiligen Schrift. Wo hat also die heilige Schrift eine Definition von dem Menschen gegeben? Höre, was sie sagt: „Es war ein Mann, gerecht, wahrhaft, gottesfürchtig, von allem Bösen sich enthaltend.“1 Das ist der Mensch. Und anderswo heißt es: „Etwas Großes ist der Mensch und etwas Kostbares ein barmherziger Mann.“2 Diejenigen aber, welche solche Prädikate nicht verdienen, und wenn sie auch Verstand besitzen, und wenn sie tausendmal geistige Befähigung haben, für diese hat die heilige Schrift nicht das Wort „Mensch“, sondern „Hund, Pferd, Natter, Schlange, Fuchs, Wolf“ und sonstige noch schlimmere Thiernamen. Wenn also der Begriff „Mensch“ darin liegt, dann ist der Schlemmer kein Mensch. Wie wäre es denn möglich, da er an jene Dinge gar nicht denkt? Es ist nicht möglich, daß Schlemmerei S. 170 und Nüchternheit zusammengehen. Davon hebt eines das andere auf. Sogar die Heiden haben das Sprüchwort: „Aus fettem Bauche stammt kein feiner Geist.“3
Die heilige Schrift weiß auch entseelte Menschen zu zeichnen: „Mein Geist wird nicht in diesen Menschen bleiben, deßhalb, weil sie Fleisch sind.“4 Sie hatten ja eine Seele; aber weil sie dieselbe als einen Leichnam mit sich herumtrugen, werden sie „Fleisch“ genannt. Gleichwie wir bei tugendhaften Menschen, obschon sie einen Körper haben, doch sagen: „Er ist ganz Seele, ganz Geist,“ so gilt von Denen, die nicht so sind, das Gegentheil. So sagt auch Paulus: „Ihr seid nicht im Fleische,“ da sie keine Werke des Fleisches übten. Und so sind auch die Schlemmer „nicht in der Seele, nicht im Geiste“. „Die üppige Wittwe ist lebendig todt,“ heißt es.
Höret es, ihr, die ihr den ganzen Tag bei Gastmälern und Zechgelagen hinbringt, die ihr die Armen nicht beachtet, welche vor Hunger verschmachten und hinsterben, während ihr vor Völlerei hinsterbet. Ihr begeht einen zweifachen Mord, an Denen, die ihr verhungern lasset, und an euch selber, beides in Folge von Unmäßigkeit. Würdet ihr aber eueren Überfluß mit der Armuth der Andern vermischen, dann würdet ihr doppeltes Leben schaffen. Warum ist dein Bauch durch Völlerei gespannt wie eine Trommel? Warum fällt der des Armen zusammen vor Hunger? Den einen lässest du übermäßig fett, den andern übermäßig mager werden.
Betrachte die Residuen der Speisen, in was die letzteren sich verwandeln, was aus ihnen wird! Wird dir nicht S. 171 übel beim bloßen Hören davon? Nun, warum bestrebst du dich, daß sie noch mehr solche Abfälle erzeugen? Das Mehr in der Völlerei ist Nichts als eine größere Anhäufung von Koth. Die Natur zieht ihre bestimmten Grenzen, und was darüber hinausgeht, ist nicht mehr Nahrung, sondern Schmutz, ein größer gewordener Kothhaufen. Nähre deinen Leib, aber tödte ihn nicht! Darum das Wort „Nahrung“, nicht damit wir den Körper zu Grunde richten, sondern damit wir ihn nähren. Ich glaube, daß die Nahrung deßhalb Kothabsonderungen verursacht, damit wir uns nicht der Völlerei ergeben. Wäre Jenes nicht der Fall, würde nicht Etwas unverbraucht abgehen und dem Körper unzuträglich sein, dann würden wir einander fortwährend aufzehren. Würde nämlich der Magen Alles, was wir verlangen, aufnehmen und verarbeiten und dem Körper übermitteln, dann gäbe es Krieg und Kampf ohne Ende. Denn wenn wir jetzt, wo ein Theil der Speisen als Koth abgeht, der andere aber in Blut und in unnütze schlechte Säfte sich verwandelt, dennoch der Schlemmerei huldigen und oft ein ganzes Vermögen bei einer einzigen Mahlzeit verschlingen: was würden wir dann nicht Alles treiben, wenn der letzte Akt der Völlerei nicht in solcher Weise verliefe? Wir füllen uns bloß mit mehr Gestank an, je mehr wir schlemmen, und der Körper rinnt auf allen Seiten wie ein alter Schlauch. Da übergibt sich Einer so, daß selbst andere Leute Kopfweh bekommen. Stinkende Dünste dringen allenthalben aus dem Körper wie aus einem Ofen, der warme Fäulnißdämpfe entsendet. Wenn aber schon andere Leute so belästigt werden, was muß das Gehirn des Unmäßigen selber leiden, an das diese Dämpfe fortwährend hinbranden! was die Adern, in denen das siedende Blut wallt! was Leber und Milz, diese Blutbehälter! was der Kanal des Kothes selber! Und was ein erschwerender Umstand ist: für die Unrathskanäle im Hause tragen wir fleissig Sorge, daß sie sich nicht verstopfen und nicht etwa den Koth nach aufwärts S. 172 treiben; wir stoßen mit Stangen hinein und räumen mit Hacken durch; aber den Kanal in unserem Körper reinigen wir nicht, sondern füllen und verstopfen ihn. Und um das Empordringen des Kothes nach oben, wo der König selber sitzt, das Gehirn nämlich, darum kümmern wir uns nicht im geringsten. Wir handeln durchweg so, als ob wir es nicht mit einem glänzenden König, sondern mit einem schmutzigen Hunde zu thun hätten. Deßhalb hat Gott jene Körpertheile so weit weggerückt, damit wir von ihnen nicht beschmutzt werden. Aber wir lassen es nicht dabei und zerstören die ganze Ordnung durch unsere Unmäßigkeit. Wie könnte man das andere Unheil alles aufzählen? Verstopfe die Abzugskanäle einer Stadt und du wirst sofort eine Pestkrankheit ausbrechen sehen! Wenn nun ein von aussen kommender übler Geruch schon eine Epidemie erzeugt, werden dann die in unserem Innern qualmenden Miasmen, eingepfercht durch die dichte Wand des Körpers und ohne eine Abzugsöffnung, nicht tausend Krankheiten im Körper und in der Seele erzeugen? Und was schlimm genug ist, Viele beschweren sich gegen Gott und sagen: „Was ist doch Das? Gott hat es so eingerichtet, daß wir den Koth in uns herumtragen.“ Sie selber jedoch häufen diesen Koth noch mehr an. Deßhalb hat Gott es also eingerichtet, damit er vielleicht auf diese Weise uns die Schwelgerei verleide, damit er uns vielleicht auf diese Weise dazubringe, daß wir uns nicht an’s Irdische hängen. Aber du bringst es trotzdem nicht über dich, von der Schlemmerei zu lassen, sondern obschon das Vergnügen nicht länger dauert, als der Schlund lang ist und die Tischzeit währt, oder vielmehr nicht einmal so lange, so beharrst du doch bei der Schwelgerei. Oder ist das Vergnügen nicht vorüber, sowie die Speise den Gaumen und die Kehle passirt hat? Eine angenehme Empfindung ist nur vorhanden im Momente des Essens, nach demselben aber nicht mehr; im Gegentheil, es entsteht S. 173 ein sehr unangenehmes Gefühl, indem der Magen entweder gar nicht arbeitet oder es mit großer Beschwernis thut.
Mit Recht also sagte der Apostel: „Die üppige Wittwe ist lebendig todt.“ Denn eine schlemmende Seele hat das Vermögen, zu hören und zu sprechen verloren. Sie wird weichlich, niedrig gesinnt, schwächlich, unfrei, feige, voll von Frechheit, Schmeichelei und Unwissenheit, mit aufbrausendem und trägem Wesen und allen Lastern angefüllt, baar der entgegengesetzten Tugenden. Daher sagt der Apostel: „Auch Das schärfe ein, daß sie tadellos seien!“ Man sieht, es ist der Ton des Gesetzgebers; er stellt Das nicht dem Belieben anheim. Schärfe ihnen ein, will er sagen, daß sie nicht üppig leben, da Dieß anerkannter Maßen ein Laster ist, und da der üppig Lebende nicht zu den Mysterien zugelassen werden darf. „Und auch Das schärfe ein, daß sie tadellos seien!“ Man sieht, daß die Sache, um die es sich da handelt, zu den Sünden gehört. Denn Dasjenige, was dem Belieben anheimgestellt ist, verhindert im Unterlassungsfalle nicht die „Tadellosigkeit“. Deßhalb wollen auch wir dem heiligen Paulus folgend den Befehl ertheilen, daß die üppig lebenden Wittwen aus der Liste der Wittwen gestrichen werden sollen.5 Denn wenn ein Soldat, der in Bädern und Theatern herumstreunt und sich mit Handelschaft abgibt, als Deserteur behandelt wird, so gilt Das um viel mehr noch bei den Wittwen.
Suchen wir nicht hinieden die Bequemlichkeit, damit wir sie dort oben finden! Wollen wir nicht hinieden im Überfluß leben, damit wir dort oben den wahren S. 174 Überfluß, ein wahres Leben in Freuden haben, das kein Übel erzeugt, das tausend Güter in sich schließt, und dessen wir alle theilhaftig werden mögen in Jesus Christus, mit welchem dem Vater mit dem heiligen Geiste sei Lob, Herrlichkeit und Ehre jetzt und allezeit und in alle Ewigkeit. Amen.